Twisted

Chapitre 2

Moi: "Bien..."

Je suis mariée à un homme qui travail au même poste de police que moi. Son nom est Alex Schmitt. Il avait un frère, Mike. Il avait 24 ans. Il avait arrêté ses études après le lycée et pendant 6 ans, il habitait chez Alex. Leurs parents ont été obligés de quitter la ville pour des questions d'argent vu qu'une fois que Mike eu 18 ans, ils n'avaient plus d'aides financières donc plus assez pour le loyer. Alex s'engueulait souvent avec son frère pour qu'il trouve un job et qu'il se casse de son appartement.

Après un certain temps de conflits incessants, Mike décide de se mettre sérieusement à la recherche d'un travail pour se faire de l'argent. Je n'en sais pas plus sur comment il a décroché le job, mais par l'intermédiaire d'une annonce au journal, Mike avait réussi a décroché un poste en tant que gardien de nuit dans la Fazbear Fritz. Il nous racontait rien sur son job. Mais visiblement, tout se passait assez bien, hormis le fait qu'il tremblait de temps en temps une fois ses heures fini. Il y resta quatre nuist. La cinquième était aussi la dernière. Le lendemain matin, on retrouva le corp de Mike déchiqueté et broyé dans un costume d'animatronics défectueux. Une enquête à bien été évidemment menée, mais elle ne débouchait sur rien. Le gérant de la Fazbear Fritz à été forcé de fermer l'attraction.

Comment à t-il fini là dedans ? Est ce un suicide ? Pourquoi ? Comment ? Toutes ses questions n'étaient qu'une infime partie de celles que se posait Alex, horrifié.

Pendant des jours et des jours, Alex était devenu violent et agressif. On ne pouvait plus parlé avec lui, il se posait trop de questions. Tellement qu'un jour, il décida de partir dans la Fazbear Fritz pour voir de ses propres yeux ce qui c'était passé, de chercher ses propres indices et de mener sa propre enquête. Biensur, je m'y était totalement opposée. Nous avons parler et disputer pour savoir si oui ou non il devait y aller. J'étais contre et je restais sur ma position. Puis un soir, alors que je dormais, il est parti laissant derrière lui une note écrite:

Désolé Ana, mais c'en est trop pour moi. Je veux avoir les idées claires, je veux savoir ce qui c'est passé.
Désolé.

Depuis ce soir là, je ne l'ai jamais revue.

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Journaliste: "Ça à dû être terrible pour vous."

Moi:"En effet. Du jour au lendemain, la personne qui partage votre vie depuis 5 ans part sans vous prévenir. Et une dispute était vos derniers échanges."

Je prend une longue aspiration est continue.

Moi: "Mais je ne suis pas resté les bras croisés..."

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Le soir même, je suis partis directement dans les bureaux de Houston et demande de mener une enquête sur la disparition de mon mari. Le réponse fût sans appel: ils ont dit oui. Alors pendants des jours et des jours, nous avions envoyé des équipes dans la Fazbear Fritz, mais pendant des jours et des jours, aucun indices ne pouvait avancer l'affaire. L'enquête à durer des mois et des mois, 1 ans et demie pour être plus précise. On avait beau remuer tout le bâtiment, la ville et les alentours, rien ne débouchait sur quelque chose.

L'enquête fût alors suspendu pour faute de preuves. Là aussi, je m'y étais opposée et demanda de grès ou de force de ne pas abandonner les recherches. Mais malgré mes revendications, rien n'y faisait. Je continuai à chercher de mon côté en interrogeant des centaines et des centaines de personnes, mais là aussi, rien n'y faisait. Ma famille me disait d'abandonner et la famille Schmidt aussi d'ailleur. Je savais aussi qu'au fond de moi, mes recherches seraient veines. Alors, après des semaines et des semaines de recherches acharnées, d'insomnies qui suivaient une autre et de dépressions qui n'en finissaient pas, j'ai abandonné. J'ai tout lâché, j'avais exploré toutes les possibilités. J'étais désespérée.

    Puis un jour, alors que je parlais avec une collègue, je reçut un coup de fil d'un numéro inconnu. Le hic dans tout ça, c'est qu'on m'appelait sur mon téléphone professionnel, donc personne ne connaissait mon numéro à part mon mari, mes collègues et mes subordonnés. Au début, je ne savais pas si je devais répondre à l'appel ou non, mais la collègue avec qui j'étais me disait que cette appel devait sûrement être important pour que ce soit sur mon portable pro. Alors je décroche et mets l'appel sur "haut-parleur" pour que ma collègue l'entende aussi.

  ??: "Bonjour Mme Kruger. Ici M.Afton à l'appareil. Je me permet de vous appeler pour vous parler de la disparition d'il y a 2 ans maintenant de votre mari, Alex Schmidt. Je suis au courant de cette affaire car je sais ce qui c'est vraiment passé, dans la Fazbear Fritz."

Moi: "QUOI !? Comment avez vous trouvez mon numéro privé!? Qui êtes-vous !? En quoi vous savez ce qu'il c'est passé lors de sa disparition !?"

??:" Désolé de ne pas vous en dire plus sur mon identité. Je sais que ce n'est pas très fair-play de ma part, et j'en suis désolé d'avance. Sachez que je sais qui vous êtes, ce qui c'est passé ce qu'il ce passe en ce moment. Sachez aussi que si vous voulez savoir ce qu'il c'est passé, je vous donne rendez-vous ce soir au 67 rue Greenbed. Vous entrez dans le bâtiment par derrière et vous attendrez derrière la porte rouge."

Moi:"Attendez...quoi !?"

??:" Au revoir."

Bip...bip...bip...

La personne, prénommé Afton, racrocha à mon nez. Ma collègue et moi se regarda une fois, puis deux avant que je plonge ma tête entre mes mains. Je ne savais plus quoi faire: un gars inconnu qui connait mon numéro privé m'appel au sujet de la disparition de mon mari il y a 2 ans et me dis qu'il sait ce qu'il c'était passé. J'étais au bout. je ne savais plus quoi faire.

Collègue:" Anastasia, tout va bien ?"

Moi::"Comment veux tu que j'aille bien, on m'appelle pour l'enlèvement de mon mari... cette homme n'avait pas l'air de rire...il le sait, il sait ce qu'il c'est réellement passé.."

Collègue:" Attend, réfléchi Ana. Comment il connaît ton numéro déjà? Puis..."

Moi:"MAIS ON S'EN FOU BORDEL !! Ça fait maintenant 6 mois que l'affaire est suspendue et que je me mène d'arrache-pied pied pour la continuer ! Tu crois vraiment que cette appel est un putain de hasard !"

Collègue:" Non mais enfin, ça pourrait être un canular, pose toi et réflé..."

Moi:"RÉFLÉCHIR À QUOI !De toute façon, j'y vais seule, personne ne voudra continuer l'enquête avec moi, et en temps qu'enquêtrice à la police d'Houston, je suis bien placé pour pouvoir aller à ce rendez-vous !"

Collègue"ANASTASIA  KRUGER, ARRÊTEZ !"

   Je me leva de ma chaise. Je pris ma veste, un sac où j'y est mis  mon portable et ma lampe torche. Bien sûr, je n'étais pas qu'inconciente et je pris avec moi mon "block 17" (arme à feu). Ma collègue me pris par le bras pour me retenir.

Moi:" Mets toi à ma place, c'est mon dernier espoir."

    Je la transperça du regard et lui dit ce dernier mot avant qu'elle me lache.

Moi:" Je veux en avoir le cœur net."

  Elle me lâcha le bras et me laissa partir. J'appris plus tard qu'elle avait eu des ennuis avec la direction pour m'avoir laissé partir sans permission. Je suis vraiment désolé pour elle.

   Une demie heure plus tard, me voilà devant le 67 rue Greenbed d'Houston: la Fazbear Fritz.