Un amour timide (Terminer)

Des doutes ? (hors série)

PDV (t/p)

(t/p): Pudding! (criai-je )

Kenma: oui oui, c'est bon, j'arrive! (je l'entendis souffler depuis les escaliers)

Kenma m'a inviter chez lui pour notre soirée jeu vidéo. Ses parents, eux, ils partent de la maison à chaque fois. Quand c'est chez moi, ma mère vient chez Kenma, et quand c'est chez Kenma, ses parents vont chez moi. On les vire pas de la maison, mais on va dire qu'on est légèrement bruyant...... Bon on enlève le légèrement. On est EXTREMEMENT bruyant. C'est pour ça qu'il nous fui.
Kenma arrive enfin, un plateau de sandwich dans une de ses mains, et des verres dans l'autre. Il déposa le plateau -je me jette déçu- et les verres. 

Kenma: Mademoiselle est-elle satisfaite? 

(t/p): Elle l'est, oui. (souriais-je en pleine dents)

Il me sourit légèrement. Je me lasserai jamais de le voir sourire. Mon dos était contre le rebord du lit. Kenma se mit dans la même position que moi. Pour le remercier, je me leva légèrement et l'embrassa sur le coin de la bouche. Cruelle? Moi? Noonnnn. Il piqua un fard. 

(t/p): Hehehehe!

Je rigolais pendant que lui se cachait le visage. Ça fait pourtant quelques mois qu'on est ensemble, et il s'est pas habituer à ça. Aux yeux des autres, on passe pas trop pour un couple. On a seulement une amitié ambigu pour eux. On se tient rarement la main, on s'embrasse pas en publique -on s'embrasse rarement- et se dit pas des "je t'aime" ni d'autres mots doux. On s'en dit quasiment jamais. Et la plupart du temps c'est moi qui prend les devants. Kuuro et Nina, eux, c'est le couple parfait. Ils ne se lâchent jamais. Ils se disent des "je t'aime" tout les matin et tout les soir, un sorte de rituelle. J'étais totalement dans mes pensées. 

Kenma: Mais put...punaise, (t/p)! On a perdu à cause de toi. 

Je releva la tête, j'avais complètement oublier la partie. Pourquoi je doute maintenant? Il faut que je me reprenne! Kenma m'observait, en silence. J'avais la tête baisser. Allez reprend toi! Je secoua la tête et la tourna vers lui avec un sourire d'excuse.

(t/p): Désoler! (dis-je en me grattant l'arrière de la tête)

PDV Kenma

Moi: Mais put...punaise, (t/p)! On a perdu à cause de toi! (dis-je jetant la manette à côté de moi)

Elle avait la tête baisser depuis le début la partie. Je l'observa, inquiet. Elle releva enfin la tête et me sourit. 

(t/p):  Désoler! (dit-elle en se grattant la tête gêner)

Il y a quelque chose. Je m'assis en face d'elle. 

Kenma: Par...Parles. Il y a quelque...quelque chose qui te...tracasse, non? (dis-je d'une voix non assurer) 

Elle mit du temps avant de répondre. 

(t/p): Rien...Enfin, je pense...

Elle rebaissa la tête. Il y a quelque chose qu'elle ne m'a pas dit? Pourtant on se dit toujours tout. 

(T/p) : Dé..désoler...pudd...pudding...(sa voix craquer)

Elle était en entrain de pleurer. Je dois faire quoi? C'est depuis notre dispute d'il y a quelque mois que je n'ai le pas vu pleurer. Je ne sais pas quoi faire. Elle ne fais que de s'excuser depuis quelque minutes. Et moi je ne sais toujours pas quoi faire. Au bout d'un certain temps, je la pris dans mes bras. Au début, elle essaya de me repousser, mais ses gestes étaient peu contradictoire. Certes elle me repoussait, mais je sentais qu'elle voulait que je la sers dans mes bras. Et c'est ce que je comptais faire. Elle enroula ses bras autour de ma nuque et mis sa tête dans mon cou. Je sentais ses larmes couler. Ne pouvant supporter tout son poids, je tomba à la renverse. Elle, elle était toujours dans mes bras. Je pense qu'on va devoir s'arrêter la avec les jeux. Je la garda dans mes bras jusqu'à qu'elle arrête de pleurer. Dès que se fut le cas, je l'écarta de moi doucement. 

Moi: Explique toi. Maintenant. (dis-je calmement mais durement, c'est le seul moyen pour qu'elle parle)

La seule façon pour qu'elle parle est d'être calme, rassurant, mais dure. J'ai été surpris au début, la normal veut qu'on soit plutôt tendre, rassurant des choses dans ce genre. Tout le contraire du mot dure. Mais avec (t/p), il faut être dure et calme. Elle est comme elle est. 

(t/p): Je suis la pire petite amie! (s'écriait-elle)

Je dirai tout le contraire. Mais je la laissais parler. 

(t/p): J'ai douté de toi. Seulement parce que je nous ai comparer. Je nous ai comparer! J'ai douté de toi! 

Elle recommença à pleurer. C'est normal de douter. 

Moi: Eh, c'est normal de douter. Certes, moi je n'ai jamais douter de toi car...

Elle ne me laissa pas finir. 

(t/p): T'as vu? Tu n'as pas douter. Toi! Moi, oui! 

Moi: Mais laisse moi finir! Il faut vraiment que tu apprennes à laisser parler les autres. (je souffla). Moi je n'ai jamais douter car ça se voit que tu m'aimes. Et surtout, tu ne te serais jamais mis dans un état comme ça il y a quelques mois. Mais moi, je n'ai jamais rien fait pour toi. La plus part du temps c'est toi qui prend les devant. Et moi je rougis. (dis-je les joues certainement rouge). 

Elle ne pleura plus. 

Moi: Mais je peux t'assurer que je t'aime. (je suis bel et bien rouge)

Elle ne fit aucun geste. Pour accentuer ce que je dis, je plaça une de mes main sous son menton et le releva doucement. Elle était rouge. Pas seulement à cause de ses larmes. J'approcha lentement son visage et posa délicatement mes lèvres sur les siennes. J'ai pu la sentir être surprise mais elle répondit très vite à ce baiser. 
A court de souffle, je décala mes lèvres et posa mon front contre le sien. 

Moi: Je n'ai jamais pris les devant, mais pour toi, je ferais mon maximum. Tu es tellement importante pour moi. 

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Salut tout le monde! 
Comment vous allez? 
Moi comme d'habitude. 
Chose promis, chose du. 
Je vais commencer à écrire des hors série. Les hors séries ne se suivront pas, mais pour plus de compréhension, c'est plus préférable de lire tout les hors séries. Ca ne sera pas mais alors pas du tout régulier. Il se  peut que le prochain hors séries sort dans trois mois. (C'EST UN EXEMPLE). Il se peut que je fasse plusieurs parti pour certain hors série. Dites moi si vous voulez la suite de celui-là d'hors série.

Et n'oubliez pas, puisse le sort vous être favorable!