𝐐𝐮𝐞𝐥 𝐜𝐮𝐥𝐨𝐭. [Reader X Bakugo]

II. Luxure.

Au moment où tu te détacha enfin de son membre, et te relevât par la même occasion, le blondinet maintenant à nu te prit subitement par le cou, sa main était tellement grande que si il le voulait il pourrait te tuer en quelques secondes si il serrait. Bakugo contrôlait si bien sa force tel que tu te sentais piégé entre ses mains, mais cela n'était pas douloureux pour autant, il était violent et doux à la fois, un contraste que malgré tes efforts tu n'arrivais ni à suivre, ni à comprendre, quoi que tu fasses tu n'arrivais pas à le cerner.

" Qui t'a permit de te relever ? "

Tu ne répondit pas, il se dirigea en direction de son lit te tenant toujours par le cou et ne quittant pas une seul fois ton visage du regard, il voulait te voir souffrir, aimer et jouir, au moment où tu fus juste devant le lit, il te fit tomber sur celui-ci, il allait entrer en toi, sans même penser à ton plaisir.

Il se pencha en avant retirant alors le reste de tes vêtements, il fit glisser ta culotte le long de tes jambes, et une tache humide s'y trouvait déjà, Bakugo afficha un sourire narquois suite à la vu de ton intimité ce qui te fit légèrement rougir, alors que tu pensais qu'il allait te pénétrer, il se mit à genoux devant le lit et approcha son visage de ton entre-jambe, tu sentis un frisson d'excitation parcourir tout ton corps de tes pieds jusqu'à ta tête.

Il sortit sa langue et humidifia tes lèvres déjà humide, cyprine et salive ne firent qu'un, il aimait ton goût, cela se voyait à l'expression qu'arborait son visage normalement habillé d'un teint si neutre, si froid. Toi qui le pensait si égoïste, il prit alors une légère distance avec ton vagin.

Le blond explosif plaça ses mains à l'intérieur de tes cuisses pour légèrement les écartés et passa une de tes jambes au dessus de son épaule, tu te laissais faire, et pour rien au monde tu ne contesterais, c'était la première fois que quelqu'un goûtait à ton intimité. Tu étais impatiente, tellement impatiente et il le voyait. Il s'amusait avec toi, il te faisait attendre en faisant passer délicatement ses mains sur l'intérieur de tes cuisses venant à te rendre tellement désireuse que tes hanches se mirent à bouger à la recherche de cette sensation qu'il fallait absolument que tu ressentes.

" B-Bakugo, vas-y "

Bafouilla-tu entres deux gémissement d'envie, tu ne montrait pas si impatiente d'habitude. Le blond aimait te voir t'agiter et perdre tes moyens, il s'amusait en te regardant bouger d'envie.

" Répète mon nom.  "
Et tu t'exécutas, tu ferais à ce moment tout ce qu'il demanderait, il était le dictateur de ton coeur.

" Vas-y Bakugo "
Bégaya-tu d'envie, mais même après avoir obéit, il n'y allait pas, mais qu'est ce qu'il lui fallait ?

" Tu n'oublies pas quelque chose ? "

" S'il te plaît, l-lèche-moi Bakugo "

Après avoir lâché un léger ricanement, sa bouche fut de retour sur toi, sa langue caressait ton clitoris et tu pouvais sentir sa respiration contre tes parois lui appartenant, c'était si bon que tu ne pus te retenir de te mordre la lèvre inférieur de plaisir, il ne s'arrêtait pas, maintenant tu l'avais supplié, il te donnait ce que tu lui avait demandé.

"Putain" Haletais-tu te retenant de gémir pour ne pas réveiller le reste de l'internat.

Il agitait sa langue sans laisser de rythme s'imposer, il ne te laissait pas t'habituer au plaisir et s'assurait que tu savourais chaque coup de langue qu'il émettait entre tes plie humide de plaisir, ta respiration était irrégulière et le plaisir tellement intense que ta main droite serrait les draps du lit et que ton autre main s'accrochait aux doux cheveux du jeune homme, il souriait. Tu pouvais le sentir dans ton intimité, savoir qu'il te procurait tant de plaisir, ça l'excitait.

"J-Je vais "

Tu allais jouir, mais tu n'arrivais pas à le dire tellement la sensation était bonne, alors au moment où l'orgasme allait s'installer, il s'arrêta brutalement avant que tu ne ressentes le plaisir ultime et recula en replaçant ta jambe droite sur le lit avant de passer sa langue sur ses lèvres et de se redresser, sa bite était toujours aussi dur.

"Je t'ai pas donné l'autorisation de jouir. "
Murmura le jeune blond d'un air cette fois-ci bien plus sérieux, en même temps qu'il te parlait, il saisit un préservatif ranger dans l'un de ses tiroirs.

"Tu t'es arrêté au meilleur momen-"
Repondis-tu tout en te redressant toujours sur le lit.

" Ferme ta gueule."
"T'as eu peur qu'on nous entendes tout à l'heure ? "
Reprit Bakugo debout, te fixant après qu'il t'est privé de l'orgasme.

" C'est pas ça, j'avais juste peu- "

"oui, ou non." Interrompit le blond alors qu'il enfilait le préservatif.

" Oui "

" Tu vas le regretter, si tu te retiens encore une fois, c'est pas le paradis que tu atteindras avec moi, mais l'enfer.  "

Ses paroles te firent frissonner, pas de peur, mais de plaisir, avec lui que tu ailles en enfer ou au paradis, ça importait peu, tant que tu étais avec lui, c'est ce qui comptait.
Le blond prit alors tes chevilles et les tira violemment vers lui, ce qui avait pour conséquence de te remettre à une position allongé puisque tu t'étais redressé, tu étais devenu silencieuse, toi qui parlait beaucoup normalement. Ce connard explosif avait le don de te la faire fermer bien facilement.

Il mit en te regardant deux doigts dans sa bouche, il se positionna au dessus de toi sur le lit, et avec sa main gauche il prit tes poignet qu'il immobilisa au dessus de ton visage, il collait son étreint au tiens et enfouit son visage entre l'espace de ton épaule et de ton visage, et il enfonça doucement ses doigts en toi après avoir caresser ton entrée.

Tu ne pu t'empêcher de lâcher un petit cri de plaisir, il aimait ça, quand tu l'obéissais, mais malgré ce qu'il t'avait dit, tu te retenait encore de gémir, malgré ses vas et viens si bon qu'il faisait en toi, le lit qui grinçait, tu ne pouvais pas crier de plaisir comme tu le voulais, si les autres vous entendez, tu ne pourrais plus retourner en classe. En même temps que tu te mordais les lèvres pour ne pas gémir, à chaque balancement que le blond faisait en toi, tu sentais son corps se frottait contre le tiens, vous bougiez en rythme avec le matelas.

Ta lèvre inférieur commençait à te faire souffrir tellement tu martyrisais celle-ci avec tes dents te retenant de lâcher vocalement tout le plaisir que tu ressentais par ses doigts, tu voulais qu'il sache que tu te retenais, tu ne voulais pas être au paradis avec lui, mais en enfer, tu voulais cette douleur mélangé à cette douceur qui te faisait sentir vivante et qui pendant un instant, te faisait tout oublier.

" Tu te retiens encore. "

Bakugo sortit alors les deux doigts de ton entre-jambe qu'il mît ensuite devant ton visage avec pour seul but que tu goûtes ta propre semence divine, tu ouvris la bouche et en sortit la langue avant de lécha ses doigts comme prévu sans quitter son regard. On aurait presque dit qu'il lisait tes pensées.

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Suite ..