PROLOGUE

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je n'arrivais pas à dormir ,je serais contre moi les draps froid    ,mon souffle était blanc dans la pièce ,et je n'arrivais pas à arrêter les tremblement de mon corp

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je n'arrivais pas à dormir ,je serais contre moi les draps froid    ,mon souffle était blanc dans la pièce ,et je n'arrivais pas à arrêter les tremblement de mon corp.

 Cela devais faire un peu moins d'un mois je dormais sur ce futon sale et inconfortable. La douleur que je ressentais augmentait à chaque fois que je me couchais, alors je n'avais plus l'impression de me reposais. Si je pouvais dormir au moins dans un endroit où le vent ne souffle pas à travers les fissures du mur, ce serais un peu mieux. Avec un sentiment de dégoût, je levais les yeux et regardais dans le noir de la pièce.

elle était aussi petite que six tatami, et quatre adultes dormais à l'intérieur.

Dans cet endroit où les plus anciens faisait la loi, il était naturel que la place la plus froide soit donné aux nouveaux arrivants, sans objection possible.

Je me retournais encore mais le sol toujours aussi dur me fit gémir de douleur.

-Merde...Comment j'ai pu atterrir ici?

Il y a seulement six mois, j'étais en prison dans la capital de Redaku. Même sans liberté, le minimum vital était garanti, et l'endroit était beaucoup plus sur et plus confortable qu'ici.

Cependant, un jour, j'ai été transféré de nulle part. Il avait été convenu que ce serais pour un travail dans les montagnes. Que de plus, étant un travail fatiguant, il ne pouvais être assuré que par de jeunes prisonniers en bonne santé. 

C'était une installation d'observation astronomique en pierre située au sommet d'une chaine de montagnes. L'institut d'astronomie de Tataru. Cela semblait être une installation de recherche datant de très longtemps et son nom venais de Janmaru Tataru qui avais vécut durant la même période que l'Ermite Rikudo. L'endroit était tellement froid que même au début du printemps il pouvais atteindre des température en dessous de zéro. La nourriture était infame, les vêtement miteux et les chambre creusé dans la pierre des montagnes...dans de tel conditions même le bétails se porterais mieux que nous.

-comment peut ont vivre...Dans de tels conditions?

Je claquais des dents en serrant fermement mes draps contre moi. Mes ongles souillés s'enfonçaient dans la paume de ma main meurtri par le train quotidien.

Il y avait trois ans, un soir d'hivers, je m'étais introduit dans la maison d'un couple et de leurs deux enfant. N'ayant pas la possibilité d'acheter de la nourriture ou de la trouver dans la nature, je pris le droits de dévaliser leurs garde manger et de leurs voler tout l'argent qu'ils possédaient, avant de m'enfuir à vive allure en laissant la famille complète attachée à une corde.

Le couple et leurs deux enfants furent retrouvé deux jours plus tard, mort de froid. Voilà comment j'avais réussi à me retrouver ici...je n'avais pas voulu leurs faire le moindre mal mais par ma faute ces quatre personnes étaient morte.

Je me demandais encore comment il était possible d'accumuler autant de malchance dans une vie. Je me sentais pris au piège et j'était triste mais il fallait que je fasse taire mes sentiment ici.

Je continuais à fixer le plafond inlassablement en pensant à ce que nous vivions tous et à la façons dont nous le vivions.

"Notre vie es régit par le son d la cloche"

Pensais-je avant de sombre dans un sommeil léger

j'étais épuisé quand j'entendis le son sourd de cette même cloche résonnait dans ma cellule. Tout les prisonniers y compris moi commencèrent à ce lever comme des zombies.

Ici vous n'aviez pas intérêt à dormir de trop si vous n'aviez pas envie d'être passer à tabac, avant le petit-déjeuner, par les gardes qui nous surveillais. Tout le monde devais respectais sans dire un mot.

Je sortis de ma cellule et rejoignis la file d'attente en baillant. Nous n'avions le droit qu'à deux repas par jour et je me disais que j'allais surement encore manger du porc ou plutôt une sorte de viande suspecte qu'on nous offrais en guise de repas.

Toujours debout dans la file d'attente qui menais la salle à manger, je pris une grande inspiration tout en réprimant une nouvelle vague de sentiment qui s'apprêtait à déborder, on pourrais me marcher dessus ou vomir a quelques centimètre de moi rien ne me ferais changer d'avis.

"Aujourd'hui je part d'ici."

Après avoir pris mon plateau repas, sur lequel je ne posais même pas les yeux, je fit rapidement le tour de la salle.

Elle était pleine à craquer de prisonnier un seul m'intéressait...Si je voulais quitter cet endroit maudit il fallait que je parle à ce gars.

Après plusieurs coups d'œil je finit par trouvais celui que je cherché. Il venais de prendre place sur son siège habituel, près de la fenêtre.

Son numéro de détenu:487. Son nom Sasuke.

Son apparence était inhabituelle que son nom. Des yeux et des cheveux noir incomparables. Les traits fin, le nez droit, un profil d'une grande Beauté. Son visage était digne d'un chef-œuvre quelque soi l'angle sous lequel vous le regardiez. Il était vraiment difficile de croire qu'il n'était qu'un simple mortel au même titre que nous tous.

Sasuke dérangeait de par son hostilité mais également de par sa façon de regarder tout ce qui l'entourait de travers comme s'il était près à tuer à la moindre occasion. Tout le monde ici connaissait sa force et personne n'osais lui chercher des ennuis. L'avertissement qu'il avais donné à son arrivais était simple et chair.

"Ne vous mettez pas sur mon chemin"

Pour la plupart des prisonnier, Sasuke était l'homme le plus dangereux et inabordable de ses lieux.

Fin du prologue

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