5.Le monde.

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Le fait d'être sociopathe nous fait voir le monde plus différement des personnes "normales". Je m'explique: les guillemets de ""normales"" c'est parce qu'il y a les gens "normaux" et les autres mais dites moi ce que veut dire "normal" chez une personne?

J'ai moi même une certaine maturité. Donc je méprise pas mal de monde... Je suis réflexchis, pour moi je suis le cerveau supérieur. Je me rend compte que je me crois au dessus de tout le monde. Mais je me fiche tellement du regards des autres: rien ne m'atteins. Personnes n'arrive à me cerné je ne sais même pas si Mya elle même arrive à me cerné: je ne pense pas. Presque personnes ne sais qui sont les sociopathes. Donc presque personnes ne peux me cerné.

Nous autres: sociopathes somme des personnalités antisociales. C'est vrai dans un sens, mais pas tout le temps. On peut se lier quand même... mais pas vraiment de la même manière qu'une personne normale. On aime avoir le contrôle, même si on essaye de ne pas se mélé: on le fait sans s'en rendre compte. Ca devient spontanné chez nous. On aime jouer avec les limites. On aime être franche: cassant. On aime se vanter -parfois même trop. Il est difficile d'établir une relation stable avec un sociopathe. Très très difficile. Il faut pouvoir nous supporter. Il peut nous arriver de ne plus parler, de rester très distant pendant un certains temps, de regarder son ami dans les yeux en lui mentant, de le voir souffrir et de le regarder sans rien ressentir. Presque rien ne nous atteins. On a tous notre carapace on vit -viverra- toujours avec.

Mya, Mya elle est très courageuse. Elle a beaucoup de problèmes et arrive à être à peu près normale tous les jours. Elle me supporte, elle entreint une relation "sentimentale", elle garde le sourrir et rigole tout le temps. Mya rigole tout le temps, elle fait comme si elle n'était pas touché par ce qui lui arrive mais elle est hyperémotive, c'est sa carrapace: elle elle a choisit de se cacher dérrière se" mur de joie de vivre". Je la regarde chaque jours et rien; Aucuns sentiments. Pourtant c'est la seule envers qui j'éprouve de l'empathie. Mais rien, toujours rien. Une fois j'ai été franche avec elle, sa l'a fait pleurer. Je l'ai regarder dans les yeux: rien. C'est elle qui a du venir à moi à chaque fois lorsqu'il y avait un problème. Je n'ai jamais cédé. Ma "légendaire" détermination.

Rien ne nous atteins, rien ne nous fait cédé.

LA Sociopathe.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant