Dans le noir

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Je ferme les je vois...

Des yeux noirs, un chemin vers les profondeurs pour celui qui s'y perd dévoilant ses peurs 
Un bouquet de fleurs couché sur le sol comme un cadavre abandonné qui meurt
Le noir louche effleure la rétine dans un mouvement lancinant et volumineux
Les pensées brumeuses laisse place aux pulsions dictant des mots et des actions indélébiles
La jetée reflet de la passion, le vent pousse les vagues à s'y fracasser
Le mur s'effrite et se brise l'océan souhaite recouvrir le mal de ce monde
Le monde et les gens se fonde pour figé une perpective de ceux là
Les parents en notre seing a jamais, qu'il soit des inconnus ou des tachesjamais il ne s'en irons
L'enfant d'autre fois en nous oublié adoucit nos moments compliqués
Les émotions passent comme les quatre saisons amenant des transitions inattendues
L'isolement apporte des moments de lucidités effrayants puis plus tard apaisant
Faire face à ça, cette chose, cette sensation, ce sentiment, cette pensée, ce souvenir, cette objet, cette discussion, cette personne, cette culture, cette histoire, cette foule, cette évidence
Que l'on fuit.

Le soleil me réveille en douceur ses rayons me caresse la peau
La journée commence
Je ne suis pas de ce qui déjeune
Hier était une sacré nuit.

Je suis un Zèbre.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant