Journal d'une futanari (Histoire -18)

Chapitre 1 : Libération de désirs

Avant ses 18ans, Fir Mart était tout à fait normale. C'était une jeune brune à la taille fine, mais aux très gros seins, qui auraient pu donner du plaisir à des hommes si elle n'était pas lesbienne. Comme tout le monde, elle avait des fantasmes et des gros, comme par exemple les gros seins (Elle fantasme sur quelque chose qu'elle a déjà), les femmes fontaines ou encore les femmes qui jouissent vite et longtemps. Mais celui qu'elle rêverait d'avoir, c'est de devenir une futanari, une femme avec une queue et de pouvoir baiser les femmes de ses fantasmes.
Sauf que pour elle, les futanaris n'existaient pas. Enfin, jusqu'à ses 18ans où elle devint une.
Ce jour-là, elle venait de se réveiller comme tous les matins. Mais quelque chose clochait : sa couverture était plus haute que d'habitude, au niveau de son bassin. La couverture était soulevée par en-dessous et faisait un cône. Lorsqu'elle toucha ce qui faisait cette bosse dans la couverture, cela la dit gémir, comme si c'était une zone sensible. C'est là qu'elle fit le rapprochement et qu'elle retira sa couverture, dévoilant une énorme queue bien tendue. Elle était devenue une futanari, ce qu'elle rêvait le plus et ce qui semblait le plus impossible pour elle.
En voyant son nouvel engin très bien formé, elle commença à s'imaginer tout ce qu'elle pourrait faire, tous les fantasmes qu'elle pourrait assouvir.
Mais, ce plaisir et cette excitation fut de courte durée lorsqu'une voix féminine sensuelle et sexy lui dit :
« Fir, toi qui rêve de sexes entre femmes à volonté, je te propose un marché : si pendant 2 années complètes, tu ne succombes pas au moindre de tes désirs, je te récompenserai pour l'éternité. Mais si tu échoues, tu redeviendras une femme tout ce qui a de plus normale. Qu'en penses-tu ?
- Qui que vous soyez, si vous pouvez le garantir, j'accepte le marché.
- Tu as ma parole que tu auras une récompense à la hauteur de la difficulté auquel tu as surmonté. Ainsi, le contrat est fait. Nous nous retrouverons dans 2 ans jour pour jour. »
Et c'est ainsi que pendant 2 ans, Fir ne succomba à aucuns de ses désirs, malgré le fait que cela devenait de plus en plus dur à fur et à mesure que les jours passaient. Au début, cela était facile. Mais le dernier jour, cela était insoutenable. Plusieurs femmes aux poitrines plus que généreuses l'ont accostée et ont tout fait pour qu'elle succombe et les baise, ce qui faisait que Fir bandait toute la journée. Mais, c'est lorsqu'elle que la dernière minute passa qu'elle s'endormit et fut transporter dans ce qu'il semblait être une salle du trône. Sur ce trône se tenait une femme d'une beauté divine, au point où Fir éjaculerait sur place juste en la regardant si elle ne s'était retenue le plus possible. Cette femme avait le physique d'une jeune femme aux longs cheveux blonds, aux corps plantureux et à la poitrine énorme. Son corps était recouvert une robe dorée, légèrement transparente.
Cette femme regarda Fir en souriant et parla, de la même voix qui lui avait proposé ce marché :
« Tu as réussi le marché. Ce n'était pas facile, loin de là. Tu dois être en manque extrême.
- Vous n'avez pas idée d'à tel point j'ai envi de baiser là.
- Je n'en doute pas. Et bah, sache que je vais t'offrir ta récompense.
- Quelle est-elle ?
- Pendant le reste de ta vie, je t'enverrai dans un monde où ta vie antérieure est identique, mais où toutes les femmes ont des seins presque aussi gros que les miens, vu que je te vois les fixer beaucoup et que tu fantasmes dessus.
- Désolée mais ma queue en demande. J'en peux plus de me retenir...
- Je le sais, je le sais. Bref, ce monde sera créé pour une seule chose : que tu puisses laisser parler tes désirs. Quiconque verra, mais sous tes vêtements, et/ou sentira contre elle ta queue en érection sera envouté et te permettra de la baiser.
- Mon dieu. N'importe quelle femme ?
- N'importe quelle femme. Tu as ma parole. Et ses femmes envoutées constitueront ton harem idéal. Qu'en dis-tu ?
- Votre récompense va au delà de mes espérances. Vous avez ma gratitude éternelle.
- Je t'en remercie. Il se pourrait un jour que je vienne te voir pour qu'on discute à nouveau. Aller, amuse toi bien, ma chère... »

Fir se réveilla donc dans son lit, nue sur sa couverture, sa queue déjà en érection. Après tout, la déesse dans son rêve était magnifique. Si comme elle disait, elle viendrait la voir, elle pourrait alors la baiser et la faire sienne. Bien qu'elle savait qu'elle devait aller à l'école, faisant des études générales, elle resta un peu au lit et caressa sa queue, lâchant quelques gémissements avant de commencer par se masturber lentement. Elle se rallongea puis ferma les yeux. C'est à ce moment-là que la voix de sa mère retentit près de la porte de sa chambre.
« Ma Fir chérie, c'est l'heure de se réveiller. Tu vas être en retard.
- D'accord M'man. Je me dépêche. »
Par chance, sa mère n'était entrer dans la chambre, car elle aurait vu son érection et ça aurait dégénérer.
Fir s'habilla, après avoir calmer son érection, d'un tee-shirt noir et d'un jean bleu foncé. Elle alla prendre son petit-déjeuner. Entre temps, sa mère était déjà partie au travail, tandis que Fir partit à son tour vers son campus.
Elle fit une découverte mi-agréable mi-dérangeante : absolument toutes les femmes qu'elle croisait avaient des gros seins. Durant son trajet, elle vit une policière dans une tenue inhabituelle et aguicheuse pour une force de l'ordre. Cette policière était une jeune femme extrêmement bien gaulée, comme toutes les femmes. Elle avait de longs cheveux violets et de belles formes. Sa tenue était constituée d'une brassière et un mini short de police, une tenue qui mettait bien en valeur son énorme poitrine et son gros cul.
Elle détourna aussitôt le regard afin de ne pas bander à nouveau, mais elle avait l'intuition que cette policière fera parti son harem un jour. Elle se dépêcha donc pour aller en cours.