OS DRAMIONE [ TERMINÉE POUR L'INSTANT ]

Aurors

Je sors avec Ron depuis deux ans mais rien ne va entre nous. Nous ne sommes pas fait pour être ensemble. Je travaille au ministère depuis la fin de la guerre. Harry et Ginny se sont mariés et ils ont eu Albus. Dont je suis la marraine et je suis folle de ce petit bout de chou. Je rentre dans l'ascenseur ayant fini ma journée. 

Je vois Malefoy et sa conquête du jour en train de se galocher. Putain, il fallait que ça tombe sur moi. Les gémissements de la fille me dégoûtent surtout quand je reconnais précisément ma secrétaire. Il fallait qu'il l'a prenne elle. Pour bien me faire chier. Lui et moi on s'entend toujours aussi bien. Notez l'ironie. 

On travaille au ministère tous les deux. Mais le pire c'est qu'il travaille indirectement avec moi vu qu'on est tous les deux aurors. Mais il est dans une autre équipe. Encore heureux que Harry - qui est notre chef - ne nous ai pas mis ensemble. Je l'aurais tué. 

L'ascenseur s'arrête au niveau des cheminées où on descend tous les trois. Malefoy emmène ma secrétaire avec lui, je pense que ça va se finir chez elle car d'après ce que j'ai compris il n'invite personne chez lui. Je rentre chez moi et je vois Ron affalé dans son canapé en train de manger un paquet de bonbons. Il m'énerve vraiment !

- Salut.

- Ouais, salut. T'as reçu du courrier.

- Ok.

Et voilà c'est comme ça depuis un an maintenant et je songe à le quitter vivement et au plus vite. J'ouvre mon courrier quand je tombe sur un qui me donne un hoquet de surprise et de peur.

Je vais te tuer espèce de sale Sang-De-Bourbe !

Tu as survécu pendant la guerre, maintenant tu vas mourir !

Bien à toi.

Ton tueur anonyme.

Je cours vers mon téléphone et j'appelle Harry. Même si il est 22 heures passés, il me répond :

- Hé Mione ça va ?

- Pas vraiment.

- Qu'est ce qu'il se passe ?

- J'ai reçu une lettre anonyme.

- Encore ?

- Oui.

- C'est beaucoup en à peine deux semaines Mione.

- Je sais ça commence à me faire peur.

- Ron est là ?

- Oui mais il ne pourra rien faire, il est dans le canapé.

- Comme d'habitude.

- Bien évidemment. Je fais quoi ? On a beau analyser ces lettres, rien n'en ressort.

- J'arrive.

- Quoi ? Non, ne t'inquiète pas, on va attendre demain.

- D'accord mais préviens moi au moindre problème.

- Pas de soucis. Merci. Bonne nuit.

- Bonne nuit à toi.

Je vais me coucher avec un mauvais pressentiment. Dans la nuit, le hurlement de Ron me réveille. Je ne vais pas voir car je sais qui est chez moi. J'appelle directement Harry qui me décroche à la deuxième sonnerie. Je lui dis juste :