J'avais juste envie... Tome 2

Les surprises

J'étais nue, complètement nue. J'avais la sensation que ma peau ne répondait
plus, qu'elle me jouait des tours, car à chaque fois que ses mains me
touchèrent, ma peau frémissait et mon cerveau était submergé par un vibrant
plaisir.
J'avais les jambes écartés et les yeux mi-clos, je sentais quelque chose
de dur pénétrer ma chair, en laissant une chaleur intense envahir tout mon
être.
Je poussais des petits cris, des plaintes, des gémissements, j'étais comme
dans l'incapacité de respirer, je manquais d'air, j'allais m'évanouir... mais ce
n'était qu'une simple sensation enivrante, car j'en voulais toujours de cette
chose si dur, qui allait et venait dans ma chair... mais brusquement, la porte
s'ouvrit et une bouffée d'air glacial envahit la maison, et avec une soudaine
impression que le malheur allait s'abbatre sur moi.

- Chérie! Nous sommes rent..., en laissant tomber ses clés par terre

- Maman! Que.. Je... fis-je décontrolé

- Mais, quel est ce bordel dans la maison, dit mon père

Brusquement, le monde semblait tournoyé autour de moi, mes sens étaient en
alerte, je ne savais quoi faire, quoi dire, mais instictivement je prenais mes
vêtements et la honte m'envahissait en un instant. Étonnés, Ils me regardaient
figés, et dans les yeux de mon père je voyais de la colère et la déception , et
dans ceux de ma mère du dégout, tout allait si vite...

                                    ***
J'allais et venais en elle, quand j'ai entendu le mot ''Maman!'' dans sa bouche,
et me retournant j'ai vu ses parents, je fus à l'instant térifié, étonné, et j'ai
commencé à faire une crise de panique, j'avais la sensation que je tombais
dans un trou sans fin, et je crois que le temps m'avait devancé, comme
l'impression d'avoir raté une épisode. Et en cet instant, mon cerveau refusait
de fonctionner normalement une seule chose trotinait dans ma tête,
disparaître, m'enfuir à toutes jambes.

Mais la réalité était bien là et je devais
l'affronter. Mon corps pris le dessus, car je me suis habillé sans m'en rendre
compte...

- Papa, maman! Je vais tout vous expliquer, disait Amanda

- Tais toi! fit le père, et fini de te rhabiller.

Sa mère était toujours abasourdie, elle était debout, ne disant rien. J'avais fini de me rhabiller et l'envie de partir - même sous la pluie- occupait mon esprit.

- Euh... je crois que je vais partir, je suis désolé... disais-je

- Mais où vas-tu comme ça jeune homme? Asseyez-vous! Toi et Amanda,
m'ordonna le père.

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