Lundi 3 juin 1974

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Cette première journée de travail aura été plutôt difficile pour moi. Déjà, quand je suis rentré dans ce bâtiment, les premières choses qui t'accueillent sont des crient de souffrance qui te glace le sang et des malades qui tape sur des barreaux. Certains criés à l'aide, d'autres criés des insultes en tout genre et des menaces de mort à des docteurs qui essaie de les aider. Mise à part ça, j'ai aidé le dr. Schmick comme prévu. Cependant un patient a attiré mon attention. Il ne parlait pas. Enfin... Il ne nous disait pas ce qu'on voulait savoir. C'était frustrant, il nous disait seulement ce qu'il pensait qu'on voulait savoir. Le dr. Schmick a dû avoir recours à des méthodes pas très saines. Le patient en question s'appelle James Marshal. Durant son enfance, il a été violé et torturé par son père, alors que sa mère essayée de l'aider, elle a été tuée sous ses yeux par son père. Il avait tendance à filmer tous ses meurtres, alors on a décidé de montrer les vidéos à James. D'abord la vidéo du meurtre de sa mère, puis la vidéo de son viol. Il insistera sur le fait que tout ça n'ait pas réelle, avec un mélange de rire et d'énervement. Tout ça n'aura servi à rien et on a sans doute contribué encore plus à son traumatisme avec ces méthodes irrationnelles. Je déteste déjà cet endroit.

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