Nouvelle contre-utopique

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Salut ! Cette histoire est censé être pour le lycée. Je devais écrire une contre utopie ou utopie pour le directeur. Je me suis dit pourquoi le mettre sur wattpad. Des amies m'ont convaincu de le mettre. Bonne lecture

xx Racherouminasai xx

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Catégorie I, Kimochi

Proverbe 1

Vivre sans sentiment, c’est vivre sainement. Tel est notre devise.

 

Catégorie I, Kimochi

Proverbe 74

Les sentiments sont une maladie tellement puissante qu’ils nous illusionnent. Ils nous éblouies et nous aveugle lorsqu’on a le plus besoin de nos yeux.

 

Catégorie I, Kimochi

Proverbe 25

L’amour est un sentiment. Il nous fait délirer, et nous perdons notre force pour une faiblesse sans importance.

 

Catégorie XXI, Kimochi

Proverbe 1555

La guerre fait des ravages et tue. Notre guerre s’est déclarée à cause des sentiments. Libera Nevrosa Sentia nous protège de tous dangers extérieurs, de tous sentiments capables de re-provoquer des guerres aussi atroces que la précédente.

 Je levai la tête du livre des lois que j’avais dans les mains. Mon horloge m’indiquait huit heures. Je me levai de mon lit et pris quelques vêtements pour mon premier jour de travail. J’enfilai un jean noir avec un chemisier blanc. J’attachai mes longs longue boucle couleur feu en queue de cheval. Mes yeux sont d’un vert émeraude presque indescriptible.

A côté de moi se trouvait Lyo. C’était un homme âgé de vingt ans. Nous avions le même âge et nous sommes nés exactement le même jour. Il avait les cheveux châtains foncés avec des yeux marron. Aujourd’hui, pour tous les deux, c’était notre premier jour de travail comme pour ceux qui ont vingt ans. Ainsi, c’était mon compagnon de foyer.

A partir d’aujourd’hui, comme la société l’avait décidé, je serai chargée d’enregistrer chaque naissance et de les confier à des foyers avec des personnes de vingt-cinq ans.

Il me fit un signe de la main pendant que je sortis du foyer. Le foyer était la maison où l’on dormait.

 J’entrai dans la salle de réunion pour que le directeur me présente à mes collègues. Je détaillai la salle au premier regard. Elle était composée de moquette rouge sur le sol avec des murs blancs. Une grande table ovale trônait au milieu avec tout autour des chaises. Il y avait de nombreuses personnes et tous discutaient entre eux. C’était surement la salle commune du bâtiment. J’entendis quelques conversations, tous parlaient de dossiers qu’ils étaient en train de régler. Soudain, le directeur, Mr Miller arriva dans la pièce, il me fit signe de m’avancer. Mr Miller était petit et trapu. Il avait les cheveux bruns avec les yeux noirs.

- Je vous présente Leia Morgans, votre nouvelle collègue. Mme Morgans, je vous présente tout d’abord Mr Elwood, votre associé.

Il se leva et avança vers moi. Il avait les cheveux rebelles et sombres avec des reflets cuivrés. Ses yeux étaient d’un bleu vif qui me regardaient avidement. Il était habillé d’un costume noir avec une chemise blanche qui épousait parfaitement ses muscles. Une cravate arborait son torse. Il me dépassait au moins d’une tête et demie. Selon mes suppositions, il devait avoir pas loin de vingt-quatre ans.

Libera Nevrosa SentiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant