Jungkook vit dans un monde paisible, un monde idéal où le bonheur semble être chose évidente.
Mais tout s'effondre lorsque, pendant une escapade, Jungkook et Taehyung découvrent la vraie noirceur de leur vie pourtant si parfaite.
Et dans ce monde a...
Avant de lire, j'aimerais vous partager l'histoire sur le ship Yeonbin de mon acolyte adorée 🥰 sa fanfic est vraiment bien écrite et tous les personnages sont très bien développés et elle y a mis vraiment tout son cœur ! Passez voir s'il vous plaît vous ne serez pas déçus ! 😍
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« Monsieur Jeon ! Un nouveau patient dans un état critique vient d'arriver » dit un homme, vêtu d'une blouse blanche, portant un homme se déversant de son sang.
« Il n'y a plus de place dans les chambres, ouvrez la salle commune et mettez les là ! » cria une femme en courant dans le couloir, réceptionnant les nouveaux arrivants.
« Les non-blessés venez vous installer dans le réfectoire, nous avons besoin de place ! » Hurla une troisième personne, peinant à se faire entendre sous le bruit des explosions.
« Jungkook, va t'occuper des blessés les plus graves, je reste auprès de Madame Yoo » me dit Jin avec douceur, son bras bandé devenant rouge car il m'avait interdit de le soigner pour économiser mon pouvoir et aider ceux qui en avaient le plus besoin.
« Très bien j'y vais, appelle-moi au moindre soucis, Dame Yoo doit rester en vie. » Je me relevai avec vitesse, posant ma main sur l'épaule intacte du plus vieux qui me fit un doux sourire, puis je partis en vitesse aider les médecins avec mon pouvoir, refermant les blessures qui ne présentaient aucun corps étrangers.
On m'avait toujours interdit l'accès à l'hôpital pour une raison que je n'avais jamais comprise. Car après tout, j'avais la particularité, avec mon clausus, de venir en aide aux blessés et de restaurer les parties de leur corps comme elles étaient avant. C'était un don essentiel dans la médecine, qui pouvait sauver énormément de vie si je savais l'utiliser correctement. Mais on m'avait toujours éjecté, me disant que mon aide n'était pas nécessaire, qu'ils se débrouillaient bien sans moi, que je n'avais rien à faire là. Mais actuellement je voyais bien que tout cela était faux. Ils étaient débordés. Ils ne savaient pas comment réagir, comment s'organiser, et ils me demandaient conseils pour tout et n'importe quoi depuis que j'avais mis un pas dans cet établissement. Comme si c'était moi le médecin, moi le spécialiste, et que eux, ils faisaient tout, sauf soigner des gens.
Était-ce vraiment un hôpital ? Pourquoi n'avais-je pas le droit d'aller au premier étage voir les anciens patients qui devaient être en état de choque à cause de tout ce vacarme ? Pourquoi gardions nous la populace au rez-de-chaussée alors que le lieu comptait deux étages ? Pourquoi on me forçait à rester ici ?
