𝐁𝐚𝐛𝐲𝐬𝐢𝐭𝐭𝐞𝐫

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- Aimez-vous non pas pour le meilleur et jusqu'au pire, mais pour le meilleur et pour le pire. Vous voulez vous aimer comme au premier jour tout au long de votre mariage ? Beaucoup en ont le désir, mais peu s'en donnent les moyens. Comme la croissance d'une plante, l'amour dépend des soins qu'on lui donne. Nous sommes, aujourd'hui, réunis pour célébrer l'union entre deux être éperdument amoureux : Tp Tn et Payton Moormeier. *récite le prêtre*

C'est le moment de vérité.

- Tp Tn, voulez-vous prendre Payton Moormeier pour époux, dans le meilleur comme dans le pire ?

T- Oui, je le veux.

- Payton Moormeier, voulez-vous prendre Tp Tn pour épouse ici présente, dans le meilleur comme dans le pire ?

P- Oui, je le veux.

- Vous pouvez embrasser la mariée.

C'est là, où Payton a posé ses belles lèvres pulpeuses contre les miennes. On pouvait entendre tous le public applaudir. Ma belle-mère et ma mère criaient de joie, tandis que mon père sifflait en compagnie de l'oncle de Payton. Après notre long baiser passionner, nos regards se posèrent dans les yeux de l'un l'autre. Il me regardait avec amour et moi aussi.

On était tous assis dans un magnifique restaurant, réservé à notre nom : Moormeier. Nos deux grands-parents étaient en face de nous. Nos amis en diagonale et nos parents à côté de nous. Je vois tous les êtres qui me sont chères parler et rigoler ensemble. Ils étaient tous bien habillés. Mais le plus beau, c'était mon mari.

- Ça va chérie ? *me demande Payton*

T- Je te vois autrement. On dirait que tu es plus mûre.

P- C'est sûrement parce que j'ai eu 20 ans il y a plus d'un mois ?

T- Non. Ce n'est pas ça.

Je l'embrasse et lui souris. Il me sourit en retour, ayant compris ce que je voulais dire. 

{...}

On a dû danser devant tous le monde. C'était assez gênant au début, mais Payton avait un regard rassurant. On a dansé sur un slow, au milieu du restaurant. Il avait sa main posé sur mes hanches, tandis que les miennes étaient posées autour de sa nuque.

Après cette belle et longue soirée, on partit en voiture de couleur noire direction une maisonnette sur une plage privé. C'est là qu'on va passer notre nuit de noce. 

La maisonnette contenait trois pièces : une chambre, une mini-cuisine et une salle de bain. Tout se dont on avait besoin pour une nuit et une matinée. La chambre avait des portes-fenêtres comme mur, qui donnaient place à une magnifique vue sur le plage vide. Le lit à double-place était recouvert de draps rouges et blancs avec des pétales de roses. La salle de bain était moderne, comme la cuisine.

- Il y a des maillots de bain dans le placard, si tu veux faire un petit saut dans l'eau. *me chuchotait mon mari*

Je lui pris la main, tout en le regardant dans les yeux, pour aller se changer dans la salle de bain. Enfin prêts, nous sortons dehors, dans l'air frais. Éclairés par le reflet de la pleine lune, nous nous embrassons enlacés, dans la mer. Je sens sa main se poser sur mon ventre et le caresser.

P- On est bien tous les trois non ? *me sourit-il*

Je l'embrasse en guise de réponse.

P- Tu n'as beaucoup parlé depuis notre arrivée.

T- Tu veux m'entendre ?

Il hoche la tête de haut en bas.

T- Car ça peut changer. *lui souris-je de malice*

P- Tu vas être puni de m'avoir provoqué. *me chuchote-t-il sensuellement*

C'est la où je me retrouve sur le lit, couchée sur le dos, avec lui au-dessus de moi. Comment ? Il m'a porté tout en m'embrassant avec les mains baladeuses. Son long et langoureux baiser se stoppe pour descendre sur ma clavicule. Pendant que je profite, je l'entends ouvrir un tiroir.

T- Qu'est-ce que tu fais ? *dis-je en me mordant les lèvres*

Il plaque mes deux bras au-dessus de ma tête

P- Je t'avais dit que tu allais être puni.

Je peux voir son excitation à travers sa bouche entre-ouverte et ses mouvements impatients. Des menottes relient mes poignets au lit, tandis qu'il approche dangereusement ses mains vers le bas.

P- J'aime bien ce maillot, mais tu es bien mieux sans.

Je me retrouve nu, devant lui. 

Il commence à défaire son maillot, tandis que je suis toujours attachée. Mais il le fait avec la plus grande lenteur. Et moi, impatiente, je lui dis :

- Dépêche-toi...

Il me regarde dans les yeux, avec un regard rempli de désir.

P- On a *il marque une pause en se mordant les lèvres* toute la nuit. *ajoute-t-il sensuellement*

Son bas se retrouve au sol. Il se penche vers moi, à quatre pattes, et m'embrasse de partout. Ses mains baladeuses parcourent mes courbes tout en me répétant qu'il nous aime. Sans que je m'y attende, il la rentre. Il donne des coups de hanches, toujours aussi lentement.

T- Plus vite...

P- Dit le.

T- Non...*lui souriais-je*

P- Je veux t'entendre le dire.

Ces coups de reins ralentissent. Il me lance un regard de fierté, voyant que je vais céder.

T- Je veux que tu me fasses l'amour...

Il sourit de malice et accélère comme je lui avait demandé. Les menottes commencent à me déranger alors je chuchote :

- S'il te plaît...laisse-moi te toucher les cheveux. *dis-je entre deux gémissements*

P- Tout de suite bébé.

Il me détache et mes mains se posent dans ses cheveux. Pour les tirer, gentiment.

P- Je t'aime Tp Moormeier.

T- Moi aussi je t'aime, Payton.

On jouit en même temps. 

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