Elle Meurt A La Fin

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Au début de l'année 2021, soit environ un an et demi après être devenu, grâce à mes exploit de super hero, la nouvelle coqueluche des habitants du Japon, je fus frappé d'une terrible crise, apprentis héros et nouveaux héros arrivèrent toujours avant moi , syndrome qui, paraît-il, n'est pas rare chez les nouveaux  héros ayant connu un succès immédiat et fracassant. La maladie n'était pas venue d'un coup: elle s'était installée en moi lentement. C'était comme si mon cerveau, atteint, s'était figé peu à peu. À l'apparition des premiers symptômes, je n'avais pas voulu y prêter attention: je m'étais dit que l'avance et la puissance reviendrait le lendemain, ou le jour d'après, ou le suivant peut-être. Mais les jours, les semaines et les mois avaient passé, ce n'était jamais revenue.

Ma descente aux enfers s'était décomposée en trois phases. La première, indispensable à toute bonne chute vertigineuse, avait été une ascension fulgurante: ma première victoire ma propulsé en 2ème position du podium des héros. C'était l'automne 2021 et en quelques semaines mon nom devint un nom: on me vit partout, à la télévision, dans les journaux, en couverture des magazines. Mon visage s'affichait sur d'immenses panneaux publicitaires dans les stations de métro. Les critiques les plus sévères des grands quotidiens du étaient unanimes: le jeune Katsuki Bakugou allait devenir un très grand héro. Une victoire, une seule,et je me voyais désormais ouvrir les portes d'une nouvelle vie: celle des jeunes et grands héros. Je déménageai de chez mes parents près de UA, pour m'installer dans un appartement sobre, je me mis à fréquenter les traiteurs de costume les plus célèbres, je m'attachai les services d'un ancien héros de grandes rénomé qui gérait l'entreprise et venait m'entraîner dans une salle dans mon nouveau chez-moi.

Durant les six premiers mois qui suivirent ma victoire, je m'étais "contenté de profiter de la douceur de ma nouvelle existence". Le matin, je faisais des rondes pour éviter les éventuels attaques de vilain. Puis, content de moi-même et jugeant que j'avais assez travaillé, je m'en allais flâner dans les bars, où les passants bruissaient à mon passage. Je consacrais le reste de mes journées à profiter des nouveaux droits que la célébrité m'octroyait: droit de m'acheter tout ce dont j'avais envie etc...
J'étais un héro célèbre; j'avais l'impression d'exercer le plus beau métier au monde. Et, certain que mon succès durerait toujours, je ne m'étais pas soucié des premiers avertissements de mon agent qui me pressé de me remettre au travail et de combattre de grands vilains au lieu de les l'essaie au plus jeunes.
Enfin " l'essaie au plus jeunes " s'était se que je me disais pour ne pas m'énerver au faites que je n'arriver pas à temps.

C'est au cours des six mois suivants que je réalisai que le vent était en train de tourner: les lettres d'admira teurs se firent plus rares et dans les rues on m'abordait moins. Bientôt, ceux des passants qui me reconnais saient encore se mirent à me demander: «Monsieur Bakugo, quand allez-vous revenir en force? On vous voit de moins en moins » Je compris qu'il fallait m'y mettre et je m'y étais mis: j'avais noté tout les nom de vilains sur des feuilles volantes et esquissé des synopsis sur les scénario de combat à venir. Mais rien ne se passé comme prévu. J'avais alors pensé à d'autres idées et esquissé d'autres synopsis. J'avais ensuite essayé de changer de méthode: j'avais appelé mon meilleur amis du lycée jusque tard dans la nuit pour qu'il me " réconforte ", lui aussi était passé par là mais lui était très vite parti de cette phase. Mais le lendemain, c'est paroles me paraissait fades. J'entrais dans la seconde phase
de la maladie.
À l'automne 2022, il y avait une année que ma première victoire était paru et je n'avais pas encore gagné la moindre grande victoire. Je compris que la gloire était éphémère. Elle était une gorgone affamée et ceux qui ne la nourrissaient pas se voyaient rapidement remplacés: les héros du moment, ce héro au cheveux vert qui a avouer l'origine de son pouvoir,  les autres qui ont pris pour eux ma part d'attention. Il ne s'était pourtant écoulé que douze petits mois depuis ma victoire: un laps de temps ridiculement court à mes yeux mais qui, à l'échelle de l'humanité, correspondait à une éternité. Durant cette même année, pour le Japon, un million d'enfants étaient nés, un million de personnes étaient mortes, une bonne dizaine de milliers s'étaient fait tirer dessus ou attaquer, un demi-million avaient plongé dans la drogue, un million étaient devenues millionnaires, dix-sept millions avaient changé de téléphone portable, cinquante mille étaient décédées dans un accident a cause de vilain et, dans les mêmes circonstances, deux millions avaient été blessées plus ou moins gravement. Quant à moi, je n'avais fait qu'une seule misérable victoire.

Je décidai de partir en vacances pour me changer les idées: je m'offris un mois dans un palace en France, soi-disant pour me ressourcer, persuadé que la détente me permettrait de retrouver la puissance. Mais la France n'était évidemment qu'une magnifique tentative de fuite : où que vous fuyiez, vos problèmes s'invitent dans vos bagages et vous suivent partout.

La troisième phase de mes malheurs débuta dès mon retour au Japon. Dans l'avion qui me ramenait de France, je lus un article sur un jeune héro qui venait de sortir d'une immense embuscade, et à mon arrivée à l'aéroport du Japon, je vis son visage sur de grandes affiches dans le hall de récupération des bagages. La vie me narguait: non seulement on m'oubliait, mais pire encore, on était en train de me remplacer.

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Je vous mets en garde, de grandes parties seront tiré du livre " la vérité sur l'affaire harry quebert " de joël dicker
Mais ce ne sera totalement pas pareil, je n'es lus que 9/10 pages du livre après c'est ma mère qui m'a raconté l'histoire à sa manière et je n'est pas l'intention de le terminer, tout sera tiré de mon imagination.
Je ne sais jamais comment commencer une histoire alors je m'aide de livre voilà tout