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J'avais enfin pris la mesure du mal qui me frappait: être un grand héro en partant de rien m'avait semblé très facile, mais à présent que j'étais au sommet, à présent qu'il me fallait assumer mon talent et répéter la marche épuisante vers le succès qu'est l'héroïsme, je ne m'en sentais plus capable. J'étais terrassé par la maladie des écrivains et il n'y avait personne pour m'aider: ceux à qui j'en parlais me disaient que c'était trois fois rien, que c'était sûrement très commun et que si je n'arrêter pas des vilainz aujourd'hui, je le ferais demain. J'essayai, deux jours durant, d'aller travailler dans mon ancienne chambre, chez mes parents. Mais cette tentative se solda par un échec lamentable, auquel ma mère ne fut peut-être pas étrangère, notamment pour avoir passé ces deux journées assise à côté de moi, à me scruter et à me répéter: «bakugo, tu n'es pas dans ton état normal »
-Maman, toi aussi, tu t'inquiète ce n'est pas normal.

Ce soir là, quand j'avais pris la route en direction de chez moi,quelqu'un me suivait, il faisait noir mais j'étais étrangement calme. Je pouvais sentir son odeur, une odeur de vanille c'était apaisant. Je me disais que c'était sûrement une de ces groupie qui se souvenais encore de moi, j'espérais que non. J'allais tourné, pour rentré définitivement chez moi mais elle m'arrêta
- demain, à 5h17, sur la grande place en fasse de UA un vilain surpuissant fera son apparition vas-y.
- Comment vous-
Elle était déjà partie. Le lendemain à 5h15 j'y étais, elle avait raison.

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⏰ Dernière mise à jour : May 29, 2021 ⏰

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Elle Meurt A La Fin Où les histoires vivent. Découvrez maintenant