Chapitre 1 : L'Envoi

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Terre, An 2087

La pollution, les guerres, le surpopulation, le complotisme de masse, l'asphyxie de l'humanité et la destruction lente et progressive de notre Terre, autant de problèmes auxquels l'Homme est confronté tous les jours, et autant de questions qui restent encore aujourd'hui sans réponses.

Tout du moins, jusqu'à maintenant on l'espère. Nous sommes le 27 Octobre 2087, il est 4h39 quand soudain, un énorme rayon de lumière jaillit de l'Institut de Recherches Scientifiques Avancées de Fréjus (IRSAF) puis s'évapore en une fraction de seconde, suivi d'une grosse détonation.

Dans une salle sombre au sous-sol de l'établissement, un homme tente de trouver un passage vers le passé. Cet homme n'est autre que Richard Petrin, une soixantaine d'années au compteur, le regard luisant d'un enfant, les cheveux long grisonnant, une blouse blanche qui lui arrive aux genoux en guise d'apparât, en somme, le portrait craché du Doc Emmett Brown.

 Cet homme n'est autre que Richard Petrin, une soixantaine d'années au compteur, le regard luisant d'un enfant, les cheveux long grisonnant, une blouse blanche qui lui arrive aux genoux en guise d'apparât, en somme, le portrait craché du Doc Emmet...

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R : HAHAHAHA J'AI R֤EUSSI !!! s'écria-t-il en courant dans toute la pièce.

?? : Calmez-vous Richard, nous ne savons pas ce qu'il en est réellement. Certes ce portail est une réussite indéniable, mais il est peut-être aussi un échec cuisant.

Ces paroles sortaient tout droit de la bouche d'un homme d'une quarantaine d'années, le regard perçant, les épaules carrées, sûrement un militaire vu sa stature, le dos bien droit, les mains dans le dos et le torse bombé. Le portail dont il fait référence illumine la pièce d'une manière intense.

R : Je le sais très bien Taylor, mais regardez ! Regardez cette merveille ! Rien que d'arriver à ce résultat, ce sont des dixaines d'années de recherches ! s'exprima-t-il en fixant le portail.

T : Je le sais bien, mais les félicitations viendront plus tard. Avant tout, nous ne devons pas nous écarter de l'objectif initial Doc. La machine est-elle prête à être envoyée ? demanda-t-il d'un ton sec.

R : Oui elle l'est Général. J'ai travaillé sur cette machine pendant plusieurs mois pour arriver à ce moment là.

Tout en lui répondant, le Doc sortit une machine à l'allure de mini-robot sur quatre roues d'une quarantaine de centimètres. Elle était composée de la plus simple des manières d'un point de vue extérieur, un revêtement en fibre de carbone, un moteur à peine visible, d'énormes roues tout-terrain et une caméra portée entourée de deux panneaux solaires.

 Elle était composée de la plus simple des manières d'un point de vue extérieur, un revêtement en fibre de carbone, un moteur à peine visible, d'énormes roues tout-terrain et une caméra portée entourée de deux panneaux solaires

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R : Je l'ai équipé d'une multitude de capteurs afin d'obtenir le maximum d'informations nécessaires sur l'environnement visé. Tout est en place, on initialise la procédure. DIX ! NEUF ! HUIT ! SEPT ! SIX ! CINQ ! QUATRE ! TROIS ! DEUX ! UN ! ENVOI !

Richard mit en route la machine est la fit traversé le portail.

T : Le signal est toujours actif Doc ?

R : Oui Taylor, le signal est toujours actif, à elle maintenant de récolter un maximum d'informations, la phase de récupération démarrera dans une semaine.

T : En espérant que cette excursion soit concluante, nous en avons besoin Doc, et vous le savez.

R : Oui je sais Taylor. Nous verrons cela d'ici 168 heures. 

De l'Autre CôtéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant