LE RETROUVAILLE (fin)

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Une année après l'avoir rencontré je l'ai perdu a jamais car elle est décèdee. Ce jour là j'étais sur la terrasse, je me sentais fatiguée, angoissée et pas dans mon assiette aussi c'est comme si quelqu'un m'avait frappé avc du gourdin. Ma grand-mère était au dehors avec ses camarades quand le téléphone sonna : c'était mon pèrere avec une voix triste, abbatu, annonça la nouvelle de le mort de la femme qui lui a toujours comblé de bonheur, la femme qui lui a donné huit magnifiques trésors, la femme qui l'avait aimé lui et toute sa femme , son amie , son épouse , la mère de ses enfants venait de rendre l'âme.

Et ma grand-mère monta pour me faire part de cette désagréable nouvelle ; lorsqu'elle me l'a dit , tous les moments que j'ai pu passer avec elle revenait dans ma tête comme un rétro, comme si je revivais ces moments , ma douleur n'a égal qu'à celle de ne pas pû lui dire à Dieu. Au même moment je ne sentais plus mes jambes , je voyais mon monde s'écrouler comme une montagne de neige qui fond sous le soleil , je n'arrivais plus à associer les mots, je n'eus plus le contrôle sur mes larmes.

Ma vie souhaitais la bienvenue à la détresse et à la solitude. Pour la deuxième fois je perds une mère sans pour autant avoir eu le temps de les rendre fière et de réaliser leur rêve, de les monter a quel point je les aime et je me sentais  coupable et meurtrie , c'était comme si la vie lui même me tourné le dos, comme si elle voulait m'arracher le cœur vivant et même si mon père est encore en vie j'étais quand même classée dans le dossier des orphelines.

l'orphelineOù les histoires vivent. Découvrez maintenant