Eldarya

Chapitre 1 : Bienvenue à Eldarya

Je m’appelle Leilani, j’ai l’âge de la vie lycéenne et je viens juste de la terminé cette année, mais je me sens si stressé car, je vais avoir une nouvelle vie, une nouvelle loi, une nouvelle responsabilité… Aaah… bienvenue dans le monde de la réalité, là, où la terre se pourrisse, ou la pollution devient vraiment gênant et ardent, et au loin, encore des jeunes qui se font raquetter. Dans mes pensées, j’aimerai avoir un monde différent où je pouvais respirer l’air. Je me dépêche un moment. En rentrant chez moi, j’entends des disputes de mes parents qui s’en prennent maintenant à un lave-vaisselle. La vie du quotidien quoi… Je monte dans ma chambre tout en leur disant que je suis rentrée, j’ouvre la porte de ma chambre que j’ai vu ma mèche tombée. J’ai compris tout de suite que mon petit frère était dedans depuis quelques temps que je me dépêche à le voir dans sa chambre.

« Aaron ! T’es encore entré dans ma chambre ! Qu’est-ce que tu as pris cette fois-ci ?! »

Je le vois porté mon soutient gorge autour de sa poitrine et qu’il allait m’imiter avec un ami. Qu’il se retourne rapidement vers moi et court. J’ai mis quelques secondes à le rattraper, qu’il fit semblant de pleurer tout en hurlant. J’ai pu enfin récupérer mon sous vêtement et j’entre dans ma chambre en me laissant tombé sur mon lit.

« J’en ai marre, dis-ai-je enfourné dans le lit. »

Mon smartphone se mit à sonner, c’était un message : « Salut ! J’aimerai qu’on se promène dans la forêt ensemble. Ça te dit ? – Stella » Stella est ma meilleure amie depuis notre enfance, malheureusement, on ne se verra peut-être plus car elle va déménager loin de ma ville car son père a trouvé du travail au loin. Ça me rend folle. Je prends des vêtements assortis, une robe rouge bordeaux, un gilet immaculé de blanc/orange, des chaussettes noires, et des bottes en cuire. Je sorte de ma chambre et part en direction de la sortie que je dis que je rentrerai d’ici trois heures. Mes parents continuèrent de se disputer entre eux et cette fois c’est une sorte de compétition entre cuisinier. Pensez-vous comme vous voulez mais pour moi, je trouve tout à fait normal.

Quelques temps furent courte quand je me retrouve dans la forêt avec ma meilleure amie, on se parle de tout et de rien quand elle s’est mis devant moi, me tenant fébrilement l’une de mes mains et dépose son autre main sur la paume.

« Tiens, pour que tu ne m’oublies pas, il parait que ça te porte de bonheur et elle nous montre que notre lien d’amitié sera toujours là quel qu’en soit l’endroit où nous trouvons. On sera toujours les meilleures amies au monde. Et ça va te rajouter un peu de couleurs de ta peau ! »

Je reste figée un moment en regardant le collier, elle a une lumière si étincelante comme du cristal. Je lui souris et accepté son offre. Stella m’aide à la mettre autour de mon cou que j’en tremble tellement que je suis heureuse d’avoir une partie des liens qui nous unissent. Stella prend un chemin qui indique chez elle en me saluant, que je la saluai en retour avec une mine triste.

Je me promène dans la forêt pour changer des idées et pour oublier un peu les moments tristes quand je me suis arrêtée vers un sentier un peu écarté du chemin, d’ailleurs, je n’ai jamais venue par ici auparavant. Etant curieuse de nature, je passe ce chemin ne souciant pas ce que j’allais trouver. Et, je vis au loin, des champignons étranges, dont je n’ai jamais vu dans le coin. Elles ont poussée d’une façon étrange, on dirait presque un cercle. Je m’approche un peu plus pour voir mieux. Mais au moment où j’ai mis le pied dans le cercle, des lucioles s’envolent autour de moi puis une lumière luminescente vint m’envelopper, m’aveuglante. Je me protège de cette lumière en fermant les yeux et les devant. Je sentais le vent qui m’emporte alors que je suis debout en me protégeant mon visage de la lumière. J’ouvre plusieurs fois mes yeux pour mieux voir. Je me trouve dans une salle géante et très luminescente…

« Mais…. Où suis-je ?! Demandais je en regardant autour de moi, c’est…. Pas possible ? Je dois rêver ?... »

Je tourne encore. Cette salle est immense, on peut s’y perdre ! Mais ce qui m’intrigue le plus c’est de voir un gros cristal qui est devant moi, il brille aux milles éclats ainsi qu’à travers le soleil. J’approche lentement cette merveille en me chuchotant : « Elle est magnifique… », Je m’apprêtais à la toucher quand un cri arrive derrière moi :

« He ! Qu’est-ce que tu fais ici ?! Enlève tes salles pattes du cristal ! »

Je me tourne directement que j’aperçois une femme avec des oreilles de…. Renard ?! Elle se tient devant moi tenant sur sa main droite une sorte de bâton à clochette. Ses yeux bleus me fait froid au dos que je me dresse un peu en aillant lui dire que je n’ai rien fait.

« Je t’interdis de toucher quoi que ce soit de ce cristal ! Elle est de notre propriété et puisque tu me sembles étrangère, je te vais te remettre sur le droit chemin ! »

Elle sort un pouvoir de feu bleu étincelante que tout à coup, on entendit un autre bruit qui provient ailleurs. J’aimerai bien lui expliquer la situation que c’en est impossible. Du coup, elle se décida d’un autre sort et appelle un certain « Jamon » d’emmener dans le cachot. Je me recule de peur que je me sois percutée par une sorte de mur… plutôt une sorte de pectoraux. Je me lève le visage et j’ai vu… Un orque ?... ou un cochon ? Phacochère ?!... Il me saisit par le bras que je ne puis échappée. Je me débattais presque pour expliquer à la femme renard, mais elle n’entend pas un seul de mes mots.

« Lâchez-moi ! Criai-je. Emmenez-vous ! Et où est-ce que je suis ?! Répondez-moi ! »

L’orque au nom de Jamon, ne répond pas, je regardais autour de moi. Dans la rampe de l’escalier, je vois ces décors. Un décor tout à fait magnifique mais inquiétant à la fois. Me retrouvant devant le cachot dont l’endroit est lugubre avec un lac étrange de vert fluorescente, l’orque ouvra une des cellules et me jeta comme une chaussette, renfermant ensuite. En quoi-je suis embarquée ? Je me suis mise à quatre pattes parce que la cellule se balance et je secoue les barreaux de la cage en criant :

« Vous faites erreur ! Je ne sais pas de quoi vous parlez ?! Sortez-moi d’ici ! »

Un bruit soudain fit entendre, que je me tourne vers ce lac. Quelque chose sort de ce lac. Au moins, je ne suis pas toute seule dans cet endroit putride, mais je ne devrais pas réjouir trop vite. La chose sort de ce lac et m’esquisse un regard de proie que je suis effrayé, il m’a même sourit. Il se replonge dans le lac comme si il attendait que son festin tombe dedans et le dévore tout cru.

Je viens de passer une journée de cauchemars…