Chapitre 3

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PDV de Max. (Aka le fainéant actuellement).

Je me prends un gros coup sur le haut du crâne. Mon instinct me pousse à vouloir attaquer la personne qui vient de faire cela.

C'est le gros con de l'école. Le dénommé Sébastien, un putain d'harceleur de mes couilles.

C'est vrai qu'il m'avait pris en grippe à partir de cette année si d'école.

Je pense qu'il est censé de mourir en se jetant lui-même dans un portail comme un idiot alors qu'il n'était pas éveillé.

Mais c'est vrai il n'est pas éveillé. Il n'a donc pas la force d'un éveillé. Donc il sera facile de le mettre par terre.

-Sébastien : Alors comme cela, tu penses que l'on va te laisser comme ça. Tu n'es qu'un putain de...

Je lui fais un balayage, il se retrouve au sol. Enfin il vient plutôt de faire un gros smack au sol.

J'entends le rire d'une enfant. Ne me dites pas que je viens de faire cela devant quelqu'un qui pourrait le rapporter.

Mais il ne semble y avoir personne. D'ailleurs les autres n'ont pas l'air d'avoir non plus entendu.

Les deux larbins tentent de me frapper.

Je leur fous à tous les deux un coup de poing dans leur pif.

Ils tombent tous les deux sur le sol.

Ils ont toujours été rien d'autres que les chiens de garde de Sébastien.

-Sébastien : Cela ne va se passer comme cela.

Je lui fous un coup de pied.

-Max : Ferme-là. Je n'ai pas de temps à perdre avec un déchet telle que toi.

Je lui en bouche un coin. Je le vois trembler, il a dû sentir un peu de mon aura meurtrière. Il va falloir que j'évite d'en dégager trop souvent.

Je pars les laissant se pisser dans leurs frocs.

Ils ont vu l'agneau se transformer en loup devant leurs yeux. Cela a de quoi les perturber grandement.

J'espère juste ne pas être celui qui va devoir nettoyer leurs grosses traces de pisse. Je n'ai pas envie de passer une partie de ma journée à faire ça.

-Floflo : Ah bah tu es là. Tu es toujours aussi Mimi, Maxou.

Oh mon dieu, la folle de service et accessoirement mon amie d'enfance. Floflo, de son vrai nom Véronique. C'est une blague, c'est Florence son vrai nom.

Une vraie folle, elle vient me tirer mes putain de joues. A la fin, elle va finir par me faire ressembler à un saint Bernard.

J'entends une voix dans ma tête alors que je viens de m'installer à mon banc.

-Camille : Alors comme cela, je peux te parler directement dans ton esprit.

Attends, cela veut-il dire qu'elle m'a vu me laver rapidement ce matin ?

Je n'ai pas le temps de tenter quoique se soit que je me fais frapper à la tête par un prof.

-Prof : Pouvez vous me dire qu'elle est....

Je regarde la question qui est marqué au tableau.

Je lui donne la bonne réponse ce qui lui fait fermer son claquet à merde.

Tous le monde me fait des signes d'encouragement. C'est le genre de prof qui est détesté. Si tu savais que toi et les autres élèves aller mourir dans l'attaque de goblin qui sont sorti de leurs portail.

D'un coup, j'entends l'alarme incendie se déclencher à voir la tête du prof. Ce n'était pas prévu.

J'entends des cris au loin.

Je vois des petits trucs verts.

Des gobelins, ils envahissent l'école. Ils vont enlever des filles vivantes pour se reproduire avec elles.

Ils vont tuer tous les garçons.

Un garçon ouvre la porte de la classe. Il a un gobelin sur le dos.

Je fonce sur le gobelin, je lui donne un violent coup dans la tête.

Des monstres de rang peuvent être tuer par des armes normales. Comme des flingues ou bien des couteaux.

On peut aussi les tuer en leur écrasant la tête.

Ce que je fais.

Je récupère le couteau du gobelin.

Tous le monde part dans tous les sens.

Il faut fermer le portail. Mais en serais-je capable ?

Je ne suis actuellement qu'un rang E avec aucune compétence.

Avec mon ancien rang cela ne m'aurait pas posé de soucis. Mais là. De plus pour faire un donjon on est censé être un groupe de raid.

Je n'ai cependant pas trop le choix.

Il va falloir que j'accomplisse cet exploit.

Je fonce vers l'endroit où est censé être le portail.

Je tranche le dos de plusieurs de ces gobelins.

-Camille : Je pense que le portail d'ici ne pouvait d'ouvrir que si un chasseur passait devant. En tout cas, c'est ce que m'indique l'énergie que je ressens. En plus, elle est bizarre.

Je pense que je dois avoir fait bug le système. C'est de ma faute si l'attaque a eu lieu maintenant.

Je dois prendre mes responsabilités.

Je me trouve devant le portail. C'est l'heure de vérité.

Il faut changer tous cela. (Essai 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant