Je ne vais pas vous raconter ma vie, vous dire combien de frères et soeurs j'ai, ni le nom de ma ville où encore la taille de mon frigo.On sais tous qu'on en a rien à foutre. Vous savez comment je m'appelle et c'est déjà bien, très bien même.
Pour commencer je vais vous raconter le commencement, logique.
.
Mes yeux s'ouvrent dans la lumière du soleil.. Non, il fait noir, il fait froid, en même temps vous me direz que le mois de février n'est pas connu pour ses records de chaleur. Je suis allongée sur mon lit dans une position que je ne serai califier, les draps sont en pagaille, le peux D'oreillers que j'ai sont éparpillés sur le sol, et l'odeur de la vodka flotte encore dans l'aire. Ah oui, j'ai du sortir hier. Ou?je sais plus. Avec qui? J'en sais rien. Et on vas dire que je m'en fout un peu.
Je me lève, non sans peine de mon lit, et me dirige vers la salle de bain pour constater les dégâts. Et effectivement je ne suis pas très jolie à voir, mes cheveux châtain sont emmêlé jusque sur le dessus de mon crâne, mon rouge à lèvre ainsi que mon liner et autre maquillage sont étalé sur mon visage de façon très abstraite. a part à un Picasso je sais pas trop à quoi je peux ressembler. Après une douche, dont l'eau chaude à été coupée en plein milieu de mon rinçage de shampoing, ce qui m'a, fortement, énervé, j'enfila une tenue simple, Jean et t-shirt de mon père, de toute façon on est dimanche. Déjà 15h, je suis restée toute seule tout ce temps ? Oui. Est-ce que j'ai des amis ? Je préfère être seule, c'est un choix comme un autre mais j'ai jamais aimé m'attacher aux gens, à quoi ça sert, de toute façon ils finiront tous par te lâcher et se barrer à un moment ou un autre et toi tu restera la comme une andouille à pleurnicher sur ton sort,et puis est-ce que j'ai besoin de quelqu'un ? Non, je me suis toujours débrouiller toute seule et ça me vas très bien comme ça. Comme on dis, on est jamais mieux servi que par soi-même. Je fis un rapide tour sur mon ordinateur, un rapide passage sur chacun des réseau sociaux dont je dispose. Oui rapide, je n'ai jamais été je genre de fille qui raconte sa vie sur Facebook, qui poste 5 photo par jour, À 300 j'aimes sur sa photo de profil et à la moitié de la France en ami.
Au lycée je ne suis ni la pouffiasse que tout le monde envie parce qu'elle est populaire ou je ne sais quelle connerie, ni celle dont tout le monde a pitié.
Je suis celle dont tout le monde connaît le nom mais d'on peux la connaissent. Ouais je suis la fille bizarre, froide avec tout le monde qui n'as pas d'humour, c'est moi la dépressive.
C'est drôle que l'on dise ça parce que j'ai une vision totalement différente de moi même.
Les gens parlent sans même vous avoir déjà parlé parce qu'ils ont besoin de se sentir supérieur, c'est un fait.
.
Je hais la sonnerie de mon réveil, surtout quand il sonne à 6h31 (oui, une minute de plus c'est toujours ça)un lundi matin. Mais bon pas le choix, comme dis papa "le monde appartient à ceux qui se lèvent tôt"...ou un truc du genre. Étant donné que vous devez sûrement savoir comment une personne normal se prépare je vais passer cette étape inutile.
Donc, je descend machinalement les escaliers, deux par deux pour aller plus vite et passe saluer mon père avant de sortir
- caio à se soir bye saionara asta la vista
-À se soir raphy
-Il vas falloir que tu arrête avec ce surnom débile
Dis-je en croquant dans une pomme à pleine dent
-Tu est ma petite raphy
-Je te rappelle que je vais avoir 17 ans dans 2 mois
-Tu vas être en retard... Encore
Il sourit à ces mots, ces vrai que moi et les horaires ça fais deux. Pourtant j'essaye vraiment
-SALUT
Je claqua la porte et grand coup et partit en courant vers mon arrêt "7h25" non non non non je vis mon bus arriver "plus que 100 mètres accélère raph accélère "Trop tard.
Et forcément il pleut comme vache qui pisse (ne dites rien sur les expressions de ma grand-mère) et si je ne trouve pas rapidement quoi faire je vais fondre sur le trottoir. c'est une image.
Une voiture roule, ralenti, ralenti, ralenti, s'arrête à mon niveau. A cause de ce temps de merde je ne suis même pas fichu de voir qui est à l'intérieur. Le conducteur se décide enfin à ouvrire la vitre de sa porche, et... Oh non.
-Je devine que tu a raté ton bus
-Tu devines bien, crétin
-Tu compte te noyer ici ou je peux te déposer
-C'est très gentil de ta part, Ethan, mais je pense être assez grande pour me débrouiller toute seule
Toute seule
-C'est toi qui vois
Sur ces mots il partit en faisant gronder le moteur de sa ridicule batmobile
Jalousie, me dit une petite voix dans ma tête. Il prit, bien évidemment, tout le soin de m'eclabouser en partant.
Connard.Vous voulez savoir qui est Ethan ? Pour faire simple c'est le beau gosse, drôle et intelligent, enfin il paraît. Personnellement je comparerai plus son cerveau à celui d'un porc d'élevage, mais chacun a son avis sur la question. C'est pas le mec populaire sur qui toutes les filles bavent, ça serait trop facile. Mais ce mec est littéralement un bel enfoiré. Il habite à deux trois maisons de la mienne, nous avons été dans la même crèche,la même école, le même collège et maintenant le même lycée. Et on a du s'adresser la parole 4 fois, bon 5 avec ce matin. Oui je sais se que vous allez dire "tu le juges mais tu ne le connais pas nia nia nia". Le peux de fois où j'ai entendu ça voix m'ont suffit.
Il pleut, j'ai froid, je vois raconterai la suite plis tard, la je dois sauver mon mascara, je prie mes jambes à mon coup et partit en courant comme une espèce de cinglée vers ma petite maison ou mon père m'attendais déjà dans le voiture.
Merci papa.
Arrivé au lycée je pris vite def' mes affaires et partit en direction de ma salle.je ne suis pas en retard, parfait.-Bonjour Raphaëlle
Pas besoin de me retourner pour savoir qui est derrière moi.
-Ta gueule Ethan ? Dis-je avec mon plus beau sourire.Le professeur ouvre finalement la porte, philo, 2 heures.
-Breaking Down Part 2
Ok je ne suis pas fière du tout de ce chapitre, je le trouve ennuyant sur les bords et qui raconte peux de choses finalement mais j'elabore un truc mille fois mieux
Kiss
YOU ARE READING
Breaking Down
RandomTu sais quoi, la première fois que j't'ai vu, ouais la première fois, je l'ai su, j'ai su que t'allais foutre ma vie en l'aire et que j'allai rien faire contre, parce que tout ce que j'allai vouloir c'était toi. "Je détruit tout ce que je touche, al...