L'enfer

Chapitre 2

Bonjour, je crois que je ne me suis pas présentée. Je m'appelle Émily Grey, fille d'Amy et Yan Grey. J'ai 17 ans et j'ai un meilleur ami qui se nomme Jay Lian. Nous vivons dans la ville numéro 13. Aujourd'hui je vais travailler à l'usine de vêtements.

- Bonjour mademoiselle Grey.

-. Bonjour Madame Dear. Comment allez-vous?

- Très bien ma chère. J'ai plier des tissus pour vous à votre atelier. J'ai trouver de superbes couleurs qui vont sûrement vous intéressez.

- Oh! Je vous en remerci!

Je Salut Madame Dear et je me dirige à mon atelier. Dans l'usine, chaque femme possède une tâche. La mienne, est de créer des robes. J'aime bien faire ces robes. Les dessiner est une chose que j'adore. J'aime mettre plusieurs couleurs et des brillants. D'ailleurs, mon patron m'a informé que les riches adoraient mes créations donc cela m'encourage à me surpasser.

Je ne dirais pas que ma vie ne me plaît pas, mais il y a certaines choses que je trouve injuste. Comme le fait de vivre dans une ville sale et pauvre tandis que d'autres vivent dans la richesse, il y a même des gens qui sont vendu comme esclave pour les riches. Au moment où j'ai compris que nous n'avions aucun avenir libre, j'ai commencé à détester la vie. Dans les usines, on nous cri dessus, on nous insultes, et on nous force à travailler durant 10 heures et parfois plus par jour. Ceux qui sont trop faible sont emprisonnés dans les caves et nul ne sait ce qui leurs arrivent par la suite.

10 heures du soir. Je suis épuisée. Mes doigts sont remplies de pansements à force de me piqué avec des aiguilles. Pour moi, c'est une autre journée comme les autres. Jay m'attend devant l'usine. Je le rejoin après avoir dit au revoir à mes collègues.

- Alors, ta journée? Me demande Jay.

- Épuisante! Je me suis encore piqué les doigts.

- Ahah. C'est tout à fait toi!

- Vas-y, moque toi monsieur je ne me fais jamais mal.

On marche ensemble jusqu'à chez moi. Aujourd'hui c'est vendredi, donc nous n'allons pas au dépotoir. Je donne un câlin à Jay et il rentre chez lui. Tandis que je le regarde partir, j'aperçois une vieille dame assise sur le trottoir. Je me dirige vers elle et elle me sourit.

- Bonjour mon enfant. Me dit la dame.

-Bonjour madame. Que faites-vous à la rue?

- Oh cela est une longue histoire ma chère. Tiens, je te donne ce collier. Il mettera tes jolies yeux verts en valeur.

- Je ne peux accepter un si beau cadeau madame.

- Je t'en prie, prend-le. Ma vie tiré à sa fin. Je veux que tu garde ce bijou avec toi. Promet -le moi.

-... Je vous le promets madame.

- Émily! Viens à la maison!

Je regarde en direction de la maison et lorsque je me retourne vers la dame, elle n'est plus là. Après quelques secondes d'hésitation, je me rend chez moi. Ma mère m'a préparer un bon ragoût de boeuf comme je l'aime. À cause qu'elle est blessé à la main, elle ne peut pas travailler donc c'est moi et mon père qui gagne de l'argent pour la famille. J'ai commencé à travailler quand ma mère a eue son accident. Je n'étais qu'âgé de 13 ans. J'étais alors la plus jeune de toute les couturières. Je savais déjà coudre puisque ma mère me l'avais montrée.

- Bien mangé ma chérie? Allons dormir le couvre feu approche.

Ah c'est vrai. Le couvre feu de 11 heure du soir. À cette heure là, il est interdit de sortir de la maison et aucune lumière ne doit être allumée. Les robots sont déjà arrivé. Ils nous surveillent à la place des humains car je penses que les riches sont trop répugné par nous qu'ils n'ose même pas venir dans nos villes.