Chapitre 1 : Au Commencement.

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Flash-back : Mai

Ce jour là je m'en rappellerais toute ma vie. Il était dix-huit heures lorsque je décida de m'endormir pour toujours, je prie le tube de somnifère et l'avala d'une traite avant de m'écrouler sur le sol. A mon réveil j'étais à l'hôpital et un mois c'était écoulé, je me souviendrais toujours de ces mots : « Julia promet nous que ça ira mieux » j'ai répondu « promis » en les convainquant que tout cela était dû au harcèlement scolaire alors que la vraie raison était bien pire, mais comment annoncer à ses parents que la tante préférée de la famille était en réalité un monstre de la pire sorte.

Fin du flash-back.

Et nous voilà arrivés New-York après quatre heures de vole je suis heureuse d'avoir quitté la Californie pour reconstruire ma vie ici. Mes parents et moi nous dépêchions de déballer nos affaires dans cette grande et somptueuse maison, il faut dire qu'avec une mère agent immobilière de renommée il n'a pas était très difficile de trouver un logement. Cela fait déjà une heure que nous sommes dans notre nouvelle maison et je décide qu'il est temps que je prennes mes marques, je prends ma voiture et me dirige vers la ville et ses alentours. Après trente minutes de visite un bruit au loin m'interpelle, il semble provenir d'une vielle cathédrale abandonnée. C'est inimaginable malgré son apparence extérieur l'on pourrait croire qu'à l'intérieure elle soit aussi délabrée qu'à l'extérieure mais pas du tout c'est magnifique, il semble y avoir personne à l'intérieure de cette cathédrale mais j'entends toujours ces cries. Je m'apprête à quitter les lieux quand tout à coup j'entends un bruit énorme comme si que quelque chose de lourd venait de tomber au sol, je me retourne et vois une porte à peine entrouverte et décide de m'y diriger. J'ouvre un peu plus la porte afin d'y voir ce qu'il se passe, j'aperçois six garçons : quatre qui semble avoir mon âge et deux plus âgés je dirais dans la vingtaine. Finalement je comprends vite que le bruit que j'ai entendu était un des deux garçons de vingt ans qui était tombé au sol, sans m'en rendre compte un coup de pistolet se faire retentir et impossible de bouger. JE SUIS TÉTANISÉE . Je comprends vite que je suis repérée après ces paroles :

« - Putain, Jace t'as vraiment déconné cette fois !

- ...

   - Déjà, qu'est-ce qu'elle fou ici celle-là ?! Maintenant je dois aussi m'occuper d'elle !

   - ... ( la détente se fait retentir) »

L'instinct de survit me vient et je ne peux m'empêcher de hurler : 

« NON !! »

Je reprends mes esprits et m'explique :

« - Résumons la situations OK. Je ne vous connais pas et vous ne me connaissez pas, on ne se reverra plus jamais, je m'en fiche de votre vie je suis venue car j'ai été interpellée par des cries mais je ne suis pas une source de problème donc oublions tout ça et repartons à notre  vie.

   - Euh... ça ne va pas où quoi on ne te pourra jamais laisser repartir d'ici premièrement tu as vu mon visage et deuxièmement tu viens d'assister à un meurtre. Ne bouge pas ce sera rapide. »

Après ses mots je n'avais plus aucune solution il fallait que je trouve un moyen de m'enfuir. J'ai à peine le temps de réfléchir qu'un des quatre garçon prend la parole :

« - Arrête Jace ça suffit tu en as assez fait, j'ai la solution parfaite pour que l'on s'en sorte tous, fin à l'exception d'une personne, je vois ton regard inconnue mais je ne parlais pas de toi. Quoi que ce que je vais te proposer va changer ta vie.

  - Tu nous raconte quoi là Connor ? (répond le tueur)

  - T'inquiète. La solution est simple inconnue, tu dois nous dire ton nom par mesure de sécurité et puis tuer la personne que j'ai assommé à mes pieds, compris ! »

Après les mots de cette personne présumé Connor, la salle devient complètement silencieuse pendant trente secondes mais avant que je ne puisse sortir un mot de ma bouche la personne assommée se relève et sort un couteau de sa poche. La seconde d'après je me retrouve armée confrontée à un choix de vie ou de mort, en choisissant de tirer je fait le choix de vivre.

La voix tremblante je commence à me présenter :

« - Ju..l..ia E..vans..

   - Désolé, mais comprend que tu étais au mauvaise endroit au mauvais moment, maintenant on est quitte tu ne peux pas nous dénoncer et nous non plus. »

La colère monte et je m'emporte toujours l'arme à la main.

« - Ça vous amuse peut-être de tuer des gens mais moi non, je serais partie en vous oubliant mais non il fallait que je tue quelqu'un pour m'en sortir vivante, maintenant tant que j'y suis je peux aussi vous tuer pour mettre un terme à cela !

   - Va s'y essaie, mais tu n'en seras pas capable et cela est tout simplement dû au fait que tu n'est pas une meurtrière mais aussi qu... »

Avant qu'il finisse sa phrase je tire et m'écroule au sol sous l'effet de la retombée d'adrénaline


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Je tiens à m'excuser si jamais il y a des fautes. J'espère que cette histoire va vous plaire. 

  

Julia and The New-york's BadboysOù les histoires vivent. Découvrez maintenant