Julia and The New-york's Badboys

Chapitre 2 : Un nouveau départ de choque.

Je me réveille, je ne comprends pas il y a encore cinq secondes j'avais une arme à feu dans les main et là plus rien mais surtout plus personne. Je suis allongée sur un banc à l'intérieur de la cathédrale, je m'apprêtais à sortir de la cathédral pour rentrer chez moi me disant que tout cela devait être un mauvais rêve mais lorsque je me relève du banc j'aperçois un petit mots, je le lis :

      « Mais aussi... que tu n'as plus de balle, désolé il ne m'en rester que deux :)

-Jace »

Je comprends vite ce que cela signifie, j'ai tué une personne et les personnes qui m'ont forcés à le faire se sont enfuis. Je m'en veux, je suis venue ici pour me reconstruire et dès mon arrivée les problèmes commencent, au moins ce qui est sûr c'est que je ne reverrais pas ces garçons et que malgré tout je peux oublier ce qui vient de se passer et faire comme si de rien n'était.

Je rentre chez moi et commence à faire un travail sur ma mémoire afin d'oublier ce qui vient de se passer, au fil du temps j'ai développé la capacité à bloquer certains souvenirs afin de me protéger. 

A peine rentrée mes parents s'inquiète, en même temps je comprends il est vingt-trois heures et depuis quatre heures ils sont sans nouvelles. Mes parents me connaissent, ils savent que lorsque je ne me sens pas bien la seule chose qui peut me calmer est une balade en pleine air, je leur explique donc que j'avais besoin d'une balade car la rentrée me stressait et que je n'ai pas vue le temps passé. Il me laisse allez dormir sans plus de question surtout que demain c'est la rentée et pour être honnête j'ai peur, je n'ai eu qu'un seul ami dans ma vie avec lequel je n'ai plus de contact, je ne sais pas comment m'en faire de nouveau et par dessous tout j'ai peur que le harcèlement ne recommence. Depuis le collège je me fait harceler tout simplement parce que j'ai toujours étais « la petite intello anorexique » de la classe, je le reconnais je suis douée en classe et certes je suis très mince mais ce n'était une raison. 

Je me couche en espérant que demain sera un jour meilleur.

Six heures.

Je me lève, j'en ai tellement pas envie mais bon j'y suis obligée. Par réflexe je met un pull et jogging noir quand tout à coup je m'en rappel, à St Davis High School on y vient en uniforme c'est-à-dire un chemisier blanc, le pullover noir sans manche au logo de l'école assortie par dessus et enfin une petite jupe trapèze noire. Je décide de remplacer le chemisier blanc par un noir tout simplement parce que je n'aime pas les uniforme, c'est ma manière de me rebeller. J'enfile mes converses direction le lycée, la dernière année enfin.

J'arrive à il est sept heures, je m'arrête à la boulangerie à cotée du lycée pour y prendre le petit déjeuné, je ne peux m'empêcher de remarque tout ces élèves se faire la concurrence à la plus belle voiture, au plus beau sac, à la soirée la plus marquante mais le plus surprenant est le visage des personnes lorsqu'ils apprennent qu'ils ne font pas partis des classes A. De ce que j'ai entendu les classes A sont les classes d'élites, il y en a une pour chaque niveau et dire qu'ici tout le monde veut faire partie des meilleures tout le contraire de mon ancien lycée. 

Je me dirige vers le tableau et je me vois en classe A, en même temps je suis excellente sur le plan académique cela ne m'étonne pas mais deux noms sur cette liste me dérange « Connor Smith  » et « Jace Jones » après ce sont des noms tellement commun la probabilités que ce soit les garçons de hier est infime. Je décide de ne plus y penser et de me diriger vers ma classe B22.

Je fait partie des premières à m'installer, je repère une table au fond et m'y installe, la classe commence à se remplir assez vite et bizarrement les élèves de ma classe semble assez populaire, je comprends mieux pourquoi mes parents ont employés le terme « l'élite de l'élite ». Le professeur arrive enfin on est complet et aucun garçon de la veille n'est présent, j'en conclu que je me suis inquiété pour rien. La classe se prépare pour commencer le cours quand tout à coup l'on toque à la porte, je n'en reviens pas eux...