Chapitre 17:"On la garde"

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Holla tout le monde alors j’ai lu vos suggestion et les prend en compte ! Donc bon un nouveaux

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Les mains le long du corps, je me trouvé seul dans une pièce blanche et plutôt grande. Il n'y avait aucune issus, aucun échappatoire mise a pare une porte qui n'est pas ouvrable par l'intérieure. En hauteur plu loin dans la salle une vitre noir se trouvait en hauteur et je deviné leurs regard posé sur moi. Mon cœur ne pouvais s'arrêtais de battre a une allure folle. Je fermas les yeux en baissant la tête et réfléchis .Je me calmas petit à petit et quand j'entendis les portes s'ouvrir l'adrénaline pris le dessus sur mon inquiétais.

Je vis un homme cagoulé arrivé en ma direction mon premier réflex fut de sortir l'arme de Dean mise à l'arrière de mon jean de lui tirer une balle dans l'avant-bras là où se trouvait son arme et de lui en tiré deux dans chacune des jambe le neutralisant totalement. Je m'avanças lui pris son arme et entendis une fille crier de rague.

Je me retournas et vie une fille me sauté dessus elle aussi cagoulé. Elle m'assénas un coup au ventre et un coup de tête je fermas les yeux et tentas de faire partir la douleur alors qu'elle me giflât .Mais quand mes yeux s'ouvrirent je sentis la totalité de la rage que j'éprouvé en moi ressortir. Je la balanças sur le côté et lui assénas plusieurs coups au visage sans m'arrêtais. Je me redressas la voyant rampé sur le côté pour ne plus que je la frappe.

Je me redressât crachant du sang et me retrouvas directement face a un homme qui devait mesuré environs de mètre et pesé exactement 100 kilos tout en muscles. Il me souleva comme une vulgaire chaussette et me jetas a l'autre boue de la pièce ma tête cogné contre le mur, ma cote me fis un mal de chien et ma tête était en feux. Je me redressât et retombas vite due à la douleur de ma cote. Il s'avançait avec rapidité vers moi. Je glissas ma main dans ma jeans et ne trouvas plu mon arme. Je plongeas ma main dans ma veste mais je fus relevais d'une seul main par monsieur muscle. Je pendouillé dans vide tenue par la gorge et sentais mes poumons se vidé de leurs air alors que ma gorge me faisait mal tous comme ma cote. Avec le peu de force qu'il me resté je sortis l'arme de ma poche.

"-C'est finis pour toi princesse, ria il derrière sa cagoule

-C'est finis pour ton foi connard, sifflais je entre mes dent alors que j'appuyas sur la gâchette"

Il tombas a terre me relâchant je retombas sur ma cheville la foulant et rangeas bob dans sa poche. Je me relevas doucement et me tins la cote n'appuyant pas non plus sur ma cheville. Je savais que je devais saigner de la pommette a cause de la fille et que mon cou devait être rouge a cause du bodybuildeur, ma cheville était enflé et quand je posé ma main sur la coté je sentais une douleur atroce mais bien plus apaisent que lors ce que je ne me tenais pas.

Je me retournas et fis face à trois homme cagoulé pris au dépourvue je sortit mon arme et tiras sur l'un des deux qui tombas a terre mais rapidement je me fis incendier de bale c'est alors boiteuse et gravement amoché que je partis me caché dans un renfoncement.

Je me laissas glissais contre le mur la boule au ventre. Je n’allais jamais réussir m’en sortir. Je n’en pouvais déjà plu et je me demande encore comment je faisais pour tenir debout, avoir réussi à me cacher sans me faire toucher par une de leur balle est un exploit que même en bonne état je n’aurais jamais pu faire.

Je me frottas doucement le visage et pensas a tous mon entourage à la chose que je pourrais jamais plu vivre si je mourrais dans cette salle .Je me redressas subitement les larmes aux yeux et sortit bob de ma poche.

Je chargeas mon arme et fis pendre mon bras le long de mon corps et restas un long instant les yeux fermait. Je me penchât doucement  pour voir ou en était les deux hommes et une balle me frôlât l'épaule déchirant la veste en cuir. Je me rangeas immédiatement et me concentras. Je me penchas sur le côté et armas mon arme. Je me penchas sur le côté et visât assez juste pour tirer sur les deux épaule du plu grand. Je me rangeas une nouvelle fois sur le côté. Mes mains étaient tremblantes, je ne l’avais pas tué mais il ne pourra plus se défendre. Je ressortis de ma cachette me mettant à découvert et je tendis mes deux bras mon arme au bout et tiras le plu juste alors que les balles me frôlé. C’est un sourire aux lèvres que je vis les deux hommes tombé par terre.

A second chanceOù les histoires vivent. Découvrez maintenant