Alors bonjour, bonsoir et bienvenue sur le résumé d'un recueil d'os.
Je n'ai pas grand chose à dire puisque c'est un recueil d'os tout ce qu'il y a de plus basique, à par que ce sont des Oc et non des readers.
Pour plus d'informations sur le déroulé...
J'espère que cet Os te plaira et qui correspond à tes attentes. J'ai essayé de faire un lemon sympathique, tout en gardant la vision que tu avais d'Atsumu lors d'un rapport. De plus, j'espère avoir réussi à être réaliste quant à ses complexes physiques.
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☽❝ Pour être irremplaçable, il faut être différente ❞☾
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PDV Manon :
-Alors dites moi, quelle est la réponse à cette équation ?La voix bien trop aiguë de notre prof de math résonne désagréablement dans mes oreilles.
Lassé de ce cours ennuyeux à mourir, ne comprenant pas un traître mot de ce qu'il baragouine, je décide d'abandonner, la tentative de comprendre les maths étant veine. Ce n'est vraiment pas fait pour moi, je préfère largement la littérature qui me correspond plus, surtout les langues. Ça va faire bientôt 2 heures que ce maudit prof parle de chiffres et de lettres, créant encore plus de confusion dans mon pauvre esprit, déjà torturé par mes multiples problèmes. Une énième migraine semble pointer le bout de son nez, alors que la journée a commencé il y a peu.
Je jette un coup d'œil furtif à mon portable pour savoir l'heure exacte, l'horloge de la classe ayant été cassée par nul autre qu'Atsumu et son frère, lors d'une ultime bagarre, la routine. Mes yeux se plissent de désespoir, alors qu'un lourd soupir, venant de mon âme, se glisse par la légère ouverture de mes lèvres. Il reste encore vingt épuisantes minutes avant que la pose n'arrive. Le bruit fait par mes poumons semble alerter ma meilleure amie, Nazli, puisqu'elle tourne sa tête vers moi, bien qu'elle soit complètement plongée et attentive aux explications, plus que farfelus, de ce satané prof. Je secoue négativement la tête pour répondre à sa question silencieuse, lui indiquant que tout va bien et qu'aucune crise est en vue. Ses grands yeux chocolat s'humidifient très légèrement, alors qu'ils se plissent, créant un regard inquiet. Je fais avec mes doigts un OK pour lui assurer que tout va bien, lui offrant un beau sourire.
Elle reporte finalement son attention sur le cours que donne l'enseignant, rassuré que tout se passe bien en ce début de lundi. Pour ma part, comprenant que je n'arriverai plus à reprendre le fil conducteur du cours, je retire mes lunettes en fer qui glissent de mon joli nez, les posant délicatement sur la table pour ne pas les abîmer, parce que ça coûte une blinde ces merdes. Je frotte mes yeux fatigués, massant par la suite mes tempes pour soulager mes maux de crâne et détendre cette partie de ma tête. Ne portant pas d'élastique à cheveux, puisque je l'ai - encore une fois - oublié dans ma salle de bain, je prends un crayon de bois assez grand pour les attacher, tout en faisant attention à ce que je ne tire pas trop sur mon crâne. Je prends mes doux cheveux blonds d'une main, il ne touche pas encore mes épaules, mais j'ai la chance de pouvoir les attacher, les enroulant autour du crayon. Quelques mèches rouges, qui parsèment ma crinière mi-longue, tombent par-ci par-là, balayant au passage ma frange elle aussi teintée en rouge.
