"Un orage, lui, moi, ma peine et rien qui ne compte autour."

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Mettez vous au calme, une douce musique calme et reposé dans votre lit et savourez cette triste mais belle histoire. :)

( Nan vraiment lisez pas ça en soirée ça gâche tout. )

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An 852,
Il doit être tard.
Il fait nuit.
Je suis fatigué et pourtant je n'ai aucune envie de dormir.

Il y a quelques jours nous sommes enfin allés dans la cave de mon père, dans le mur maria. A Shinganshina, ma ville, la ville où ma mère est morte. La ville où mon père ma transmit ce pouvoir, ce monstre, avant de courir droit vers la mort. Cette mort ? Moi.

Eren ... c'est mon nom.
On aurais pus m'apeller faucheuse. Ou malédiction.
Les gens autours de moi souffrent ou meurent.
Je ne provoque pas de bonheure, de moment de joie ou d'amusement.
Non.
Je provoque la mort.

Malgré Armin, Mikasa et tout le bataillon, toute ma maison, je me sens si seul ...

Une chambre ma enfin été atribuée, cela fait des mois que je dors dans le cachot...

Je me dirige vers ma chambre qui, contrairement à celle des autres soldats, est une chambre où je suis seul.

Je suis devant la porte, une porte en bois.
Je pose ma main sur la poigné, mais la porte ne s'ouvre pas ... les clées ... on m'a pas donné les clées ...
Étant sous la charge du caporal chef livai je me dirige, exténué vers sa chambre qui est également son bureau.
Avec une énergie extrêmement molle je frappe à sa porte.
Personne ...
Après bien 5 minutes de réfléxions intense je décide, par pensés suicidaires ou par fatigue, de rentrer dans son bureau.

Un bureau, une chaise, une porte qui mène surement à sa chambre, et une fenêtres.

Je me dirige vers celle ci.

Il est vrai que j'accorde un certain interet et une certaine attirance pour le caporal livaï...

Il n'est pas comme les autres..
Il est différent, il me regarde avec ses beau yeux métalics non pas d'un regarde dégouté qui observe un monstre non, son regard ne dis pas ça.
Bien que extrement froid il me dit de m'accrocher et que même si il est, normalement, là pour proteger les autres de moi il sera aussi là pour me proteger des autres, ou de moi même...

Je suis devant la fenêtre, je l'ouvre.

Je tire la chaise qui est juste dèrriere moi et la place devant la fenêtre.
Je suis assis sur cette chaise en bois, les bras sur le rebors de la fenêtre et la tête posée sur cette dernière.
Je suis bien là ...
Je n'ai pas envie de bouger, je n'ai plus envie de rien faire, je n'ai plus la fois.
Plus la fois de bouger.
Plus la fois de croire en l'humanité.
Plus la fois de vivre.

Je regarde le ciel, l'air est lourd.
Le ciel gronde.
Un orage.
J'adore les orages.

Ils me rapelle une personne ... une personne à qui je tiens beaucoup ..

Les deux se ressemblent, l'orage est froid et dur, tout comme lui, mais hypnotisant et majestueux à la fois...

Son visage, son caractère, sa façon de penser, tout.
Tout me plait chez lui.

D'un coup un bruit se fait entendre et un éclaire traverse le ciel.
Comme un dragon d'une couleur indéscriptible fend de sa majestueuse carure éléctrique la meanteau du ciel bleu.
Un phénomène naturel si puissant qu'il peut en détruire le second roi de la chaine alimentaire.
L'homme.
Le sois disant être le plus puissant et intelligent.
L'homme celui qui se pense suppèrieure alors qu'un être aussi idiot que les titan peuvent en un coup de pieds exterminer toute cette race immonde.
Cette race dont je fais partie.
Cette race qui me dégoute.
Tous, tous me dégoutes à pars peux être une personne ...
Je pense à lui ... beaucoup trop... j'imagine ses lèvres posée sur les miennent, un sentiment aussi éléctrique que l'éclaire qui viens , à l'instant, de frapper dans la pelouse du Qg.

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⏰ Dernière mise à jour : Aug 24, 2022 ⏰

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Orage // Os Ereri/RirenOù les histoires vivent. Découvrez maintenant