À une amie, écrit un soir d'insomnie
Je vais vous raconter l'histoire de ces quatres années où avant là rentrée on est tous pressés, et après une journée, on finit par pleurés.
Une sorte de jeux de hasard, où certains se marrent, tandis que d'autres, ne valent pas un liard.
Je me souviens de ces années passées, où on avait du mal à en parler.
Ce sentiment d'oppression, toi aussi tu l'a ressenti, comme une contagion à laquelle on aurait fléchis.
Tu as essayée, tu t'es confiée, je t'ai écouté, sans pouvoir t'aider.
J'sais c'est du passer, mais je ne peu oublier le jour où tu as pleuré.
Je t'ai regardée te décomposer, comme une fleur séchée à qui ont a trop demandé.
Je suis restée à côté, sans pouvoir parler et me sentir désolée.
Aujourd'hui on en à reparler, je t'ai avoué avoir regretté, ne pas avoir trouvé les bon mots pour t'apaiser.
Tu m'as dit de ne plus y penser que ce n'était rien, "C'est du passer.".
Mais je ne peux m'imaginer, qu'est-ce qu'il se serai passé, si tu avais décidé de te rendre de l'autre côté...
Mais comment pouvais-je t'aider, si moi-même j'ai du mal à me lever, et que chaques soirs je le passe à pleurer?
Alors j'ai préféré ne rien dire, quitte à passer pour une mauvaise amie et croupir de vilenie.
Tu sais, nos chemins ont finit par se détourner, comme si le destin avait remarqué à quel point c'était compliqué.
Pourtant, je continuai à m'inquiéter, me demandant si ça allait allez.
Plusieurs mois ont passé, et j'ai décidée que nos routes devaient se retrouver.
Tu as pris une nouvelle année, et je suis venu te féliciter.
Aujourd'hui, je suis heureuse de t'annoncer, qu'on à réussi à s'évader de cette prison pas si dorée.
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Si tu te reconnais la dedans, c'est que tu es certainement l'amie en question et que par je ne sais quel sorcellerie, tu en est venu à lire mon poème. Je voulais te dire que je m'en sus extrêmement voulu, aujourd'hui encore, mais qu'aujourd'hui je suis vraiment heureuse de t'avoir dans ma vie ^^'
