la poussière d'une plume

Chapitre I page n°1

un début tumultueux

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j'entendais des bruits de pas venir en ma direction.

Je commençais à courir inconsciemment, je courais, courais... respire, respire... Dans cette ruelle où même la lumière de la lune ne parvenait à éclairer la rue. Une personne, ou quelque chose qui s'en approchait, me poursuivait. j'en avais la certitude. C'était, «une chose», qui me donnait un sentiment de mort. Je pouvais ressentir son animosité se rependre autour de moi. Ma peau et mon souffle devenaient de plus en plus brûlant à chaque inspiration, m'en cœur pouvait se rompre à chaque instant tellement la douleur était omniprésente. Une sueur froide se nichait le long de ma nuque, me donnant la chaire de poule. Mon corps s'enflammait de terreur au milieu la nuit glacial.

Ma respiration devenait à chaque seconde de plus en plus saccadé et brouillon. Mon anxiété ne cessez de redoubler. Je n'osais même pas m'arrêter pour voir le portrait de mon poursuivant.

Dans cette infinis terreur, je pouvais y voir l'espoir d'une fin, d'une lumière, d'une étincelle pouvant me sauver de cet enfer. Un carrefour où une foule foulées son sol, remplissant le lieu tel un vase.

Une lumière blanche m'envahissait, m'aveuglait. J'entendais des son, des gens qui parlaient, des bruits de pas m'entourant, mais je ne voyais rien hormis cette lumière blanche. - Que se passe t-il?- C'est la question que je voulais prononcer, mais rien, aucun son ne sortait de ma bouche, elle semblait cousu. Je me sentais comme engloutit dans cette lumière blanche. Je pouvait ressentir le froid de quelque chose en métal sur mon dos nus. J'étais nus et je ne pouvais pas bouger, même le clignement de mes yeux, d'habitude naturelle, ne pouvait se mouvoir. J'étais comme paralysée.

Voix : Mon dieu, la pauvre. Qui a bien pu lui faire ça ?

Voix : Je l'ignore, mais nous allons le découvrir.

*Bruit de métal*

Quelque chose de froid touchait ma peau, je sentais comme un liquide sortir de moi, me faisant paniquer. Le son des voix ne parvenaient plus à mes oreilles.

Je me sentais plonger dans l'obscurité où un mal être grandissait. J'avais l'impression de me noyer et de brûler de l'intérieur. Je ne parvenais plus à sentir m'en souffle comme s'il était engloutit, ma tronchée devenait feu, ma gorge devenait de plus en plus rappeuse mon corps se brûler de l'intérieur. Je me sentait partir ailleurs, loin de ces voix.

Dans cette incompréhension je me noyais dans l'obscurité mal seine.

Des cries, des sanglants, des hurlements dé-froids, des grésillement m'enlaçaient dans une étreinte infernale.

J'ouvrais mes yeux dans un enfer où des flammes régnaient en maîtresse. De nombreuses personnes criaient et couraient, désorientés. C'était des cries de bébés, de détresse d'enfants sans parents et de parents cherchant leurs enfants. Le toit en bois crépitait, il allait céder face à la passion effroyable des flammes. Sous mes yeux une scène de chaos se formait, où se mélangeait la passion des flammes ardentes et les lamentations de ses victimes.