Bruyant

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Parfois le silence est brisé
Par des malotrus qui ne savent s'exprimer
Que par gémissements et cris endiablés
Ayant quelques difficultés à vivre en communauté.

Si seulement ils avaient gardés leur timidité !
Mais c'est un autre rouge que ces deux obsédés
Travail de jours comme de nuit, tel des acharnés,
Prenant chaque pièce pour leur chambre à couché.

Si seulement ils pouvaient arrêter
Ou au moins nous épargner
Les jeux grivois ponctué de fessées
Que nos tourteaux aiment à satiété.

Puisse le temps me faire oublier
Ces bruits qui m'ont plus d'une fois outré,
De deux amoureux un peu surexcité
D'avoir trouvé le bonheur tant recherché.

Avant le désert. [TERMINÉ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant