quatre

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ta tête sur mon épaule

la peluche emprisonnée autour de tes bras,

tu étais tombé dans ton sommeil en parlant de rêves qui n'aboutiraient jamais

les tourments avaient refait surface tel les tâches de sang sur les bords de ton pyjama

et je sais que tu aurais voulu pleurer toute la nuit

dans cette obscurité apeurante

mais tes lèvres m'avaient simplement susurré,

"tout ira bien, hier est mort"

si j'avais su hyuck

que tes deux bout de chaires détenaient les effluves de la mort

je t'aurais tenu la main jusqu'au bout du chemin

désormais

la nuit est effrayante

et les crimes violent parcourent mon coeur












































fin

violent crimes| ᵐᵃʳᵏʰʸᵘᶜᵏOù les histoires vivent. Découvrez maintenant