~Une nouvelle talentueuse escrimeuse~ [Zoro]

Chapitre 3

PDV Minara :

Je revint a moi doucement reprenant petit a petit mes esprit. J'étais encore en vie, moi qui pensait qu'ils m'auraient retrouver pour me tuer. Mais rien. J'étais bel et bien en vie, encore endormie, mais vivante. Plus je revenais a moi, plus je commençais a essayer de distinguer ou je me trouvais actuellement. C'était chaleureux, une agréable odeur de fleur flottait dans l'air. Je sentie soudainement des tissus sur ma peau : des draps. J'étais dans un lit.

Je réussi a bouger mon bras droit sur mon visage et distingua une sorte de pansement. J'ouvris les yeux avec une légère difficulté. Je me trouvais dans une chambre plongée dans une légère obscurité. Elle était très joliment décorée : les murs étaient verts et fait de bambou. Quelques tableau étaient accrochés : un représentait des cerisier en fleur, un autre une cascade d'eau et un dernier, un paysage magnifique. Je sentie la présence de quelqu'un a côté de mon lit, a ma gauche. Je me figea, essayant de distinguer le moindre bruit. J'entendais seulement sa respiration lente et détendue. Je tourna la tête du côté gauche et vit un garçon, d'environ 6 ans, assis sur une chaise. Il me regardait dans les yeux, de son très joli regard gris. Je le dévisageais en silence : il avait un visage assez fermé et sérieux. Il était habillé d'un kimono, le kimono de l'école de combat du sabre du village. Il avait l'air musclé et assez grand pour son âge. Puis, mes yeux retournèrent observer ses cheveux : ils étaient d'un vert incroyable.

Ha ouais, étranges cheveux dis donc... On dirai un cactus...

Il dut remarquer mon regard étonné et amusé par la vision de ses cheveux.

 - C'est mes cheveux qui t'amusent et t'intriguent autant ?

 - Heuu... désolé, c'est juste que, je n'ai jamais vu des cheveux avec une couleur pareille, dis-je en redirigeant mon regard pour l'implanter dans ses yeux.

 - Hm. Je comprends. Et je vois ta question venir d'ici : oui c'est ma couleur de cheveux naturelle.

 - Au fait, je suis où là ?

 - Chez moi.

 - Pardon ? Chez toi ? Je me redressa pour m'asseoir. Mais je suis arrivée comment ? Parce qu'il me semble que je me suis évanouie dans une rue.

 - Oui, c'est ça. Mais la rue dans laquelle tu t'es évanouie est celle qui permet d'arriver ici. Et comment tu es arrivée chez moi ? Mon père passait a cet endroit en revenant du boulot et il t'a vu et t'a amenée ici.

Ils ne font donc pas partie de ceux qui ont attaqué ma famille... moi qui pensais que tout le village était contre elle, ce n'était pas le cas.

 - Merci beaucoup.

 - C'est totalement normal d'abriter une fillette comme toi qui dort dans la rue. Au fait, je me suis pas présenter : moi c'est Zoro. Roronoa Zoro.

 - Ravie de faire ta connaissance Zoro. Moi c'est Minara. Minara....sans nom de famille. J'avais baisser la tête en finissant ma phrase.

PDV Zoro :

"Sans nom de famille" ..... elle est orpheline ? Elle n'a pas l'air d'avoir envie de parler de sa famille, si elle en a une bien sur. Bon, je vais pas la mettre mal.

 - Enchanté Minara. Je vais te laisser te reposer. Si jamais t'a besoin de quoi que soit, n'hésite pas a nous appeler.

Je sorti de la chambre, fermant la porte derrière moi et alla me rendre dans ma chambre histoire de me changer et me doucher car je sortait de l'entrainement.

Une vingtaine de minutes plus tard, je sorti de ma chambre, changé et lavé. Je me dirigea vers la cuisine pour aller voir mes parents quand, étant dans le couloir, j'entendis t/p discuter avec mes parents.

J'entra dans la cuisine et vis mes parents assis autour de la table, t/p assise en face d'eux. Elle avait l'air d'être totalement rétablie. Un sourire assez timide était sur ses lèvres.

 - Minara?  Aimerai tu nous, expliquer la raison pour laquelle tu était dans la rue ?

PDV Minara :

Oh non... tout sauf cette question s'il vous plait. Je n'ai pas envie d'en parler, de cette nuit d'horreur. Je ne peux pas leur dire la vérité. Si je fait ça, il vont savoir mon identité et se comporter d'une certaine manière avec moi. Mais je veux que les gens se comportent comme si j'étais une fille normal. Je dois leur mentir, pas le choix...

 - Ma famille a été tuée il y a 2 semaines, en mer en péchant. J'étais avec eux sur le bateau mais j'ai atterrie sur la plage. Je ne sais pas pourquoi je suis la seule survivante. J'ai donc du vivre dans la rue par mes propres moyens.

Leurs yeux étaient écarquiller suite a l'annonce que je venais de faire. Je voyais qu'ils cherchaient leurs mots. Le père de Zoro réussit, après plusieurs secondes, a parler. Le père brisa le silence qui s'était installé. 

 - Je...je ne sais pas quoi dire tellement tu m'a impressionné. Je n'ai jamais vu une fillette réussir a survivre dans la rue et qui est, en plus, très débrouillarde. J'ai juste une petite question a te poser si cela ne te dérange pas.

- Non allez y.

- As-tu, je ne sais pas, une très bonne connaissance, un parrain ou une marraine chez qui habiter et chez lequel on doit de ramener ?

 - Non, je n'ai malheureusement aucun endroit où aller. Je vivais seule avec mes parents et mon grand-père.

Il tourna la tête en direction de sa compagne pour la questionner du regard. Après une petite minutes de concertation, ils se retournèrent vers moi. La mère de Zoro prit la parole.

 - Vu que tu n'as nulle part où aller et que tu es vraiment très jeune, souhaite tu habiter, dès à présent chez nous ?

J'ouvris grand les yeux, un sourire apparaissant sur ma bouche. Je ne m'attendais pas le moins du monde a cette proposition. Je l'es regardais, ébahie.

 - C'est vrai ? Vous me demandez sérieusement de vivre à présent chez vous et de faire partie de votre famille ?

Ils hochèrent la tête, un sourire apaisant sur leur visage.

 - Ce serai avec plaisir. Je vous serai éternellement reconnaissante de ce que vous faites pour moi.

Je détourna le regard un court moment, mais je vis que, a l'entrée de la cuisine, se trouvait Zoro. Il était debout, a nous écouter parler. Suite a ce que je venais de dire, un sourire étirai ses lèvre. Je tourna complétement la tête dans sa direction et nos regard se plongèrent dans celui de l'autre.