Chapitre 2

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Depuis les temps anciens, les vertueux et les démoniaques ont toujours coexisté au sein du Jianghu.

Le côté vertueux a fait les choses selon les règles, et par conséquent, il est rare qu'ils aient de l'inimitié l'un envers l'autre. C'est cet aspect qui a permis aux sectes vertueuses de créer facilement des alliances entre elles. Elles pouvaient même décider de l'identité du cultivateur le plus fort du monde.

Chaque fois qu'elles voulaient se battre, elles envoyaient des invitations, convoquant une foule pour regarder ; cette mise en place était élaborée au point d'aveugler les yeux.

Quant aux sectes démoniaques, elles ne se contentaient pas de brûler, tuer et piller les autres sectes. Ce qui était encore plus ridicule, c'est qu'elles n'ont pas seulement ciblé les factions innocentes et justes, mais elles ont aussi tué et pillé entre elles.

Par conséquent, en plus d'être collectivement traqués par le camp des vertueux, tous les cultivateurs démoniaques devaient également se méfier de leurs pairs au cas où ils décideraient de les piller pendant que leurs maisons brûlaient. On peut dire qu'ils menaient une vie très difficile.

Les sectes démoniaques qui survivaient dans un environnement aussi défavorable devaient être soit absurdement fortes, soit absurdement effrayantes, et en ce qui concerne le Palais de la Félicité, la secte située au sommet, ils étaient l'absurde parmi les absurdes.

Par conséquent, par déduction, He Huan, le Maître de Palais du Palais de la Félicité, devait être un Seigneur Démon de classe mondiale, absurdement puissant et effrayant.

Heureusement, He Huan n'a pas déçu les attentes des conteurs du Jianghu. Depuis qu'il avait tué le précédent Maître de Palais d'un coup d'épée il y a 80 ans, il avait transformé le Palais de la Félicité en son jardin personnel. Quant aux disciples de sa secte, peu importe qu'ils soient des hommes ou des femmes, que leurs actions et leurs paroles soient frivoles, qu'ils soient dominateurs ou arrogants, ils étaient tous logés confortablement.

Selon un voleur divin qui s'était autrefois infiltré dans le Palais de la Félicité pour tenter de voler des trésors, cette personne autorisait même ses disciples à pratiquer la double culture lorsqu'ils en avaient envie. La secte entière, à part quelques livres pornographiques, était complètement vide de toute arme ou artefact divin. C'était tout simplement trop dur à regarder. Bien sûr, quant à savoir s'il avait examiné ou non la pile de pornos, un certain voleur divin a refusé de commenter.

Les hommes libres et lascifs n'étaient pas quelque chose de nouveau. Que des hommes et des femmes se jettent inconsidérément sur He Huan, quelle que soit son identité de Seigneur Démon, semblait également être dans le domaine de l'attente. Cependant, après avoir eu des aventures et s'être séparés de l'autre partie, ne pas prévenir tout le monde dans le Jianghu, alors nous aurons des problèmes !

En l'espace d'un siècle, qui sait combien de cultivateurs, lors de leur nuit de noces, ont entendu leurs épouses nouvellement mariées baisser la tête et pleurer : "A l'époque, j'étais jeune et ignorante, avec ce He Huan..." ; et qui sait combien de manches coupées1 ont douloureusement entendu les beaux jeunes gens qu'ils avaient finalement réussi à capturer, soupirer maladroitement : "Pardonnez-moi d'être franc, mais en ce qui concerne la technique, je pense toujours que He Huan était meilleur....".

Et ainsi, en un instant, une brise verte a balayé le Jianghu. Les cultivateurs en masse s'agitaient tous facilement, de peur de se mettre accidentellement un chapeau vert sur la tête.

Pour faire face à ces situations, la deuxième secte de justes du monde, le Hall des Trésors Myriades, a mis au point un artefact capable de déterminer les liens de parenté par la moelle osseuse, le sang, le visage, les mains, etc. d'une personne - un véritable testeur de liens de parenté.

Faux Seigneur des DémonsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant