27. FINAL. Réecriture.

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À présent je ferme les yeux et je laisse silencieusement les larmes couler sur mes joues. Quand j'ai senti le poids de cet homme sur moi, j'ai compris que le pire arrivait.

Il pose bien son truc sur moi pendant que je me vomis de l'intérieur. J'essaye de garder mon calme et de penser à autre chose mais les larmes ne cessent de couler. Je pense à Erwan, Erwan, Erwan, je m'en veux tellement, je m'en veux pour tout. Tout ceux à qui j'ai fais du mal, même tata Naomie, je m'en veux. Je commence à me dire que c'est une malédiction que je paye pour lui avoir menti ce matin.

Je sais que je suis déjà rouge, j'ai déjà rougis. Je sens que si je réussis à me sortir de cette situation, après avoir subi se viol, si je m'en sors, je mettrais fin à mes jours car je pollue le monde. Je pollue le monde et l'environnement de ceux qui tiennent à moi.

Sentir la respiration de cet homme sur moi me répugne, je me sens tellement sale. Il attrape mon sein et me lèche le cou. J'ai envie de vomir, j'ai même déjà de la peine à respirer. Je supplie le ciel pour faire une crise d'asthme là maintenant, je veux m'évanouir, je ne veux pas vivre ça étant consciente, remmener moi mes verres d'alcool que je me bourre avant qu'il ne commence je vous en prie.

Pourquoi ces derniers temps, ce genre de situations n'arrivent qu'à moi ? Je me dis vraiment que c'est une punition du ciel, pour avoir fais la pute. Je ne souhaiterais cette situation à personne. Plus jamais mon Dieu, plus jamais, j'ai compris la leçon. Plus jamais on ne me reverra.

Il se remet encore à tapoter son sexe sur le mien et me fait un rire de psychopathe. Avec ses deux acolytes qui rient à leurs tours. Bande de porcs. Il se rapproche de moi pour essayer de m'embrasser et c'est à ce moment que je commence à me débattre, tout sauf ça. Je ne veux pas que ses lèvres se posent sur les miennes, je cris, je cris jusqu'à m'époumoner et il me donne une première gifle en me demandant de me taire

••• - hey approche. | s'adressant à un de ces deux acolytes| mets lui ton sexe dans sa bouche, pour qu'elle apprenne à la fermer

Et ce chien se rapproche de moi avec toutes ses dents dehors et commence à ouvrir son pantalon en vitesse. Il sort également son sexe et le pose sur ma bouche mais je serre les lèvres et les fais rentrer à l'intérieur de ma bouche. Il m'ordonne d'ouvrir la bouche en me traitant de pute mais je n'obéis pas. Et il se met à m'appuyer les joues pour créer un passage à son sexe mais je serre des dents. Et il me crache dessus.

Au même moment le patron enfonce trois doigts en moi et fait des vas et viens violents. Et ça a l'air de bien lui plaire vu qu'il rit de plus en plus fort et crache dessus. J'ai mal, ce qu'il fait me brûle en plus, je ne sais plus où donner de la tête, entre ce dégénéré qui m'appuie les joues pour y mettre son sexe en haut, et le psychopathe qui me blesse le sexe en bas.

Je vois également l'autre vigile se rapprocher de moi et lui il se jette sur mes seins. Je suis sûre que je vis mes dernières heures sur terre. Vous n'imaginez pas ce que ça fait de vivre une telle chose et ne pas pouvoir se débattre car tu as les mains attachées.

Tellement ce porc me faisait mal au sexe que j'ai poussé un gémissement de douleur et l'autre en a profité pour glisser sa verge dans la gorge. Il m'enfonce ça bien loin dans la gorge au point où j'avais de la peine à respirer. Et comme réflexe je lui ai mordu le sexe le plus fort possible et il se met à crier et me donne un violent cou au nez ce qui me fait saigner.

Il se tord de douleur et l'autre vigile se met à s'énerver. Il attrape ma tête et me donne des gifles en me traitant de « méchante fille qui va avoir une grosse punition ». Et lui aussi il me mord le téton. Je croyais que ma vie s'arrêtait, je vous assure. La douleur était inimaginable, je pleure de plus belle et je crie au point de sentir mes veines se dessiner sur mon cou.

 𝑳𝒂 𝒑𝒖𝒕𝒆 𝒅𝒖 𝒄𝒐𝒍𝒍𝒆̀𝒈𝒆. |Réécriture|Où les histoires vivent. Découvrez maintenant