~~On inverse les rôles~~

Chapitre 18

Salut tout le monde, comment allez-vous ? Moi ça va très bien, on se retrouve aujourd'hui pour le chapitre 18 de cette histoire, j'espère que ça vous plaira, bonne lecture !
Je tiens à préciser que des scènes violentes comme le viol seront abordées dans ce chapitre donc les âmes sensible vous êtes prevenus

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Cette torture dura une semaine, Léo venait et s'en prenait à la jeune femme. Il ne l'avait pas enlever du lit pour la torturer, au moins elle n'avait pas besoin de se déplacer de la chaise au lit. De toute façon elle ne pouvait même plus se lever.

Ses doigts n'étaient pas guéris et parfois le noiraud s'amusait à les toucher ou les bouger pour faire souffrir la jeune femme. Il lui avait d'ailleurs brisé les deux jambes. La jeune femme avait aussi les deux avant avant-bras cassés, elle avait même des côtes cassées. Un profonde entaille avait aussi été faite sur son ventre et ses deux cuisses. Son arcade avait été ouverte et plusieurs bleu se trouvaient sur son visage et enfin sa lève inferieur était-elle aussi ouverte.

Amy faisait de son mieux pour guérir toutes ses blessures mais elle ne pouvait s'empêcher de s'en vouloir en voyant le corps de Mikasa. La jeune femme avait à peine la force de manger et elle était à peine consciente. Quand Léo venait il souriait de voir qu'elle n'était presque plus capable de garder les yeux ouverts. La noiraude avait l'impression d'être dans une sorte de brume, elle ne voyait pas ce qui l'entourait. Tout ce qu'elle visualisait, c'était des formes flou et le bourdonnement dans ses oreilles ne lui permettait pas de comprendre totalement ce que les gens lui disaient.

Léo n'était néanmoins pas satisfait totalement car la noiraude ne parlait pas, il voulait qu'elle supplie, il voulait la briser totalement. Car malgré la douleur, il n'avait pas vu une seule larme sur le visage de la noiraude. Il avait entendu ses grognement et ses cris de douleurs mais ça ne suffisait pas, il lui en fallait plus toujours plus.

La noiraude ouvrit les yeux en entendant la porte s'ouvrir, elle tourna la tête dans sa direction pour voir qui venait d'entrer et elle se lamenta intérieurement en voyant Léo arriver.

Le noiraud n'y fit pas attention et s'approcha du lit de la jeune femme et s'assit sur le bord observant la jeune femme. Mikasa lui lança un regard, l'homme souria et finit par se lever pour s'assoir sur la taille de la noiraude. Mikasa gémit de douleur, son corps la faisant tellement souffrir.

Léo l'ignora et se baissa sur la jeune femme plaquant ses lèvres sur les siennes. Mikasa écarquilla les yeux et tenta de se dégager malgré la douleur mais elle était trop faible, Léo réussit à la maintenir allongé en appuyant sur ses côtes et alors que Mikasa grogna de douleur, il en profita pour glisser sa langue dans la bouche de la noiraude, approfondissant le baiser. Il finit par se séparer de la jeune femme qui finit manquer d'air. Un filet de bave coulait le long du menton de la jeune femme.

- Tu sais, cette semaine, je me suis amusé à te torturer mais aujourd'hui on va faire quelque chose d'encore mieux, ce pourquoi tu étais destiné à l'origine, ricana le noiraud.

Quelque chose brisa dans le cœur de la jeune femme, elle savait ce qui allait arriver et elle ne pourrait pas y échapper. La noiraude s'y était préparer mais il y avait une lueur d'espoir au fond d'elle qui se disait qu'elle pourrait y échapper mais là elle se prenait la réalité en face.

Elle tenta de se redresser pour repousser l'homme, elle ignora la douleur mais quand il appuya fortement sur ses côtes elle se laissa tomber sur le lit en se tordant de douleur. Léo vérifia que la jeune femme était calmer et en remarquant qu'elle ne bougeait plus il souria.

- Et bah voilà, tu vois quand tu veux ! Dit-il narquoisement.

Il déboutonna ensuite la chemise de la jeune femme, déchirant les manches pour l'enlever complètement, laissant la jeune femme en soutien-gorge. Il fit la même chose pour le pantalon. La jeune femme se trouva rapidement en sous sous-vêtement sous le regard plein de désir de Léo, ce type la dégoûtait.