Les malheurs de Cesira

Chapitre 1

Il était une fois une petite fille qui portait le nom merveilleux de Cesira .
Cesira est née dans l'une des familles les aisées du pays la famille Walker . Ainsi Cesira ne manquait jamais de quoi que ce soit ,elle obtenait toujours ce qu'elle voulait quand elle le voulait . Mais un tel privilège devait attirer les regards de certains hantés par la jalousie ce qui les poussent souvent à commettre des actes plus horribles les que les autres.
Cesira était maltraitée par les garçons de sa classe, tous les jours sans exception Cesira était confrontée aux humiliations, aux moqueries, aux forces les plus méchantes et stupides, mais ils ne s'arrêtèrent pas là bien au contraire ils la frappaient, la maltraitaient , la torturaient, Cesira pleurait, hurlait, tremblait de douleur et tous cela sous les regards peureux et lâches des autres filles de sa classe qui étaient figées ,comme paralysées de peur d'être frappées à leur tour.
Mais malgré les apparences Cesira n'était pas du tout atteinte par tout cela, elle était mal aimé par son école certes mais elle pouvait rire et se détendre auprès de sa seule véritable amie et n'était autre que sa maman Judite Walker. Cesira adorait sa mère elle qui était toujours là pour elle pour la réconforter lorsqu'elle était triste et dégoûter de la vie, lorsqu'elle faisait des crises de colère et elle était également l'épaule sur laquelle Cesira pouvait pleurer quand cela était nécessaire, Oui! Cesira voyait sa mère comme un pour cadeau des dieux oui elle se disait même [ Ma maman a moi c'est un cadeau des dieux c'est le cadeau du bonheur !]
Mais en oubliant que chaque bonheur a une fin et celui ci ne faisait pas exception à la règle.

Le jour de l'anniversaire de Cesira , fût le plus beau jour de sa vie, son père Kentaro Walker lui organisa une grande fête, après tout Cesira avait maintenant 10 ans elle était devenue grande désormais alors pour l'occasion sa mère alla lui chercher le cadeau qu'elle lui avait préparée deux semaines avant ,elle pris sa voiture et roula le plus vite possible vers le magazin qui conservait le cadeau de sa grande fille chérie.