Je suis Kiara Monpilou, une jeune fille de 17 ans, lycéenne. Je vie dans la ville de Normia dans la zone C au Nord. Mon père est policier toujours absent, toujours à travailler. J'ai perdu ma mère quand j'était enfant. Je suis un peu autoritaire, égocentrique. J'ai un mental de fer, une soif de vivre, généreuse et protectrice. Ma meilleure amie s'appelle Ayamé, on se connait depuis le lycée.
Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.
Il est 17h50, je suis en cours d'Histoire, le prof M.Gobert est chiant à mourir, personne n'écoute son cours, tous sur leurs téléphones. Je suis au premier rang à droite près de la sortie. J'attends que ça sonne pour aller dans le parc avec Ayamé. Je la regarde au 3 ème rang à droite mais elle regarde par la fenêtre. Les chuchotements des élèves deviennent de plus en plus fort. Le prof se retourne pour faire pression sur les élèves mais sans résultats. Il devient rouge comme une tomate.
M.Gobert : SILENCE !!!! Vous ne voulez pas écouter ? Moi, j'ai mon bac... Qu'est-ce qu'il plus important que mon cours ?
Personne ne l'écoute, tous sur leurs téléphones. M.Gobert attrape le téléphone d'un élève nommé Max.
M.Gobert : Ces écrans vous bousille le cerveau
Max : Mais monsieur ! c'est important ! C'est les monstres, apparemment il en aurait un monstre qui fonce droit vers nous !
M.Gobert : Ne dit pas de bêtise ! On est proté-
C'est la sonnerie de 17h55. C'est fini, tout les élèves sortent de la salle. Je me dirige vers la table d'Ayamé.
Kiara : Aya ! On va au parc ?
Ayamé se lève et commence à partir vers la porte, arrivé à la porte elle se retourne.
Ayamé : Tu viens ?
Kiara avec le sourire aux lèvres : OUIIIIII
J'attrape le bras d'Ayamé. Elles marchent vers leurs casiers, changent de chaussures. Elles se racontent et parlent de tout et de rien. Arrivé dans le parc, elles vont dans les jeux pour enfant chacune a sa balançoire. Ayamé regarde son téléphone.
Ayamé : Merde...
Kiara : Qu'est-ce qu'il y a ?
Ayamé : J'ai oublié, je dois aller acheter du lait j'en ai plus...
Kiara : tu veux que je t'accompagne ?
Ayamé : Non c'est bon, on se voit demain !
Ayamé partie en courant comme une fusée.
Kiara ῞penser῞ : Ça doit être dure pour elle, Vivre seule. Je connais... mais elle doit aussi travailler pour avoir de l'argent
Je décide de rentrer chez moi. Je mets un pied en dehors du parc mais l'alarme retenti. Une vague de panique tout le monde cours vers les bâtiments ou se cacher, je fis de même mais tout les bâtiments, magasins sont fermé, je tape aux portes des maisons mais personne ne répond. Ils ont tous trop peur de voir un monstre. Je cours me cacher dans les jeux pour enfant dans le parc mais un chasseur de monstres m'attrape le bras.
Le chasseur de monstres : Qu'est-ce que tu fous la ? Yokai !! Je crois l'avoir trouvé !
Yokai : C'est vrai !! Enfin...
Il me regarda d'un air heureux.
Yokai : Tsuna, c'est toi ?? *il me prend dans ses bras* ça fait 2 ans qu'on te cherche, les autres vont être content
Kiara : Je crois qu'il y a fausse route
Il me lâcha et se cacha derrière l'autre chasseur de monstres. Des bruits de pas se rapproche de nous, le monstre s'approche. Je vois ce que je n'aurais pas dû voire.
Le chasseur de monstres : On n'a plus le temps, tu es Tsuna oui ou non ?
Kiara ῞penser῞ : Je veux vivre même si je dois mentir pour cela et...
Kiara : O-oui... C'est moi
Le chasseur de monstres : Ça faisait longtemps Tsuna ! Tu te rappel de moi, Bakebi ? On n'a pas le temps pour les retrouvailles, je vois que tu n'as pas tes armes. Bon reste en arrière Yokai avec moi.
Bakebi et Yokai se retournent face au monstre. Yokai fonce vers le monstre. Le monstre lui tira sa langue pour l'écrasé mais Yokai saute au-dessus, sort un couteau, coupe la langue du monstre. Le monstre fit un coup en arrière qui mis en évidence sont ventre. Bakebi tira une balle avec son arme, en plein cœur. Le monstre tomba sur le dos mort. L'alarme pour dire que c'est fini sonna.
Bakebi : Trop facile
Yokai : On peut renter maintenant
Je les suivi jusqu'à une voiture noire, Bakebi monta devant et conduit. Yokai se mit à la place du passager et moi je me mis à l'arrière. Il roula jusqu'à un portail gardé par des chasseurs de monstres. Les gardes contrôlèrent l'identité de Bakebi et ils nous ont laissé passer. Il appuya sur une télécommande et un tunnel s'ouvrit. Il alla en bas, je vis un grand parking avec plein de voitures noires. Bakebi se gara et on sortit de la voiture, marcha jusqu'à entre dans un bâtiment sous-terrain. Yokai ouvrit la porte avec un pass, je vis un très long couloir. Je les suivis on ne croisa plein de personnes armées. Ils m'emmenèrent jusqu'à une salle avec des armes partout et de toute sorte. Yokai m'apport un katana je le prend gentiment. Une personne entra dans la salle, Bakebi et Yokai fit ῞Garde à vous῞.
Bakebi et Yokai : Chef !!
Chef : Une mission pour vous, dans 1 semaine protéger le passage
Bakebi et Yokai : Oui !!
Le Chef sort et nous laisse.
Yokai : On n'a du temps libre, cool
Bakebi : Tsuna on va faire notre rapport avec Yokai tu nous rejoins dans notre dortoir, ça n'a pas changé de place depuis 2 ans
Sur ses mots ils partirent. Je pris mon téléphone et appela Ayamé pour tout lui dire.
Au téléphone :
Ayamé : Hallo, Kiara ça va ? Tu as pu te cacher ?
Kiara : Euh... je n'ai pas pu me cacher...
Ayamé : QUOI ???? Comment ça ?
Kiara : J'ai dû mentir, 2 chasseurs m'ont aidé. Je n'ai pas tous compris, ils cherchaient quelqu'un j'ai fait croire que c'était moi et maintenant je suis devenue chasseuse de monstres, j'ai même un katana. Ce n'est pas trop la classe ?
Ayamé : Mais qu'est-ce que tu racontes ? Kiara réveille-toi !! Tu ne sais pas te battre et tu veux tuer des monstres.
Kiara : j'ai ma première mission dans 1 semaine je vais protéger le passage
Ayamé : Oh tu m'écoutes c'est du suicide ce que tu fais
Kiara : Ayamé... J'ai toujours été seule depuis ma naissance mon père toujours absent a cause de son travaille. Ma mère a dû m'élever seule, c'était tellement dure pour elle qu'elle est tombé dépressive et buvait beaucoup. Quand mon père rentrait plus tôt il s'engueulait avec mère et finissait toujours par partir. Un soir mon père est rentré plus tôt, ma mère est rentrée en même moment totalement bourré. Ils s'engueulaient encore et encore. Ma mère a pris le pistolet de mon père qui était sur la table et la pointé vers mon père. Elle a ri et mis la mise sur sa tempe et elle a dit « Ce monde est complément pourri », elle tira. Son corps est tombé au sol baignant dans son sang. Cette scène je la vois dans mes cauchemars. Si je meurs je pourrais la revoir encore une fois... juste une fois...*Les larmes me montent aux yeux*
Ayamé : Je suis désolé mais je ne peux pas te laisser perdre ta vie sans rien faire. J'arrive...
