Chapitre 30

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Il n'y avait aucun mot assez pour fort pour décrire comment mademoiselle Barnes se sentait alors qu'elle déboutonnait doucement sa veste grise. Les termes qui s'en rapprochaient le plus étaient alors impuissance, colère, et dégout. Sachant qu'elle ne pouvait échapper à l'homme devant elle, la jeune femme avait une fois de plus envie de mettre un terme à ses jours. Elle commençait à être à bout. Cependant, parce qu'elle avait présentement quelqu'un qui l'aimait et qui l'attendait chaque soir à la maison, sans oublier les autres membres de sa famille qu'elle chérissait énormément.

La veste grise que Natacha portait tomba finalement à ses pieds. La jeune femme se mit ensuite à déboutonner sa chemise blanche. Herman Invictus lui demanda néanmoins de le faire très lentement, voulant profiter un maximum de ce qu'il considérait comme une magnifique vue. Mademoiselle Barnes ferma les yeux tout en faisant ce qu'on venait de lui ordonner. Des larmes coulèrent le long de son visage à mesure qu'elle dévoilait le haut de son corps. Lorsque la demoiselle arriva au bas de sa chemise, elle la retira de sa jupe et la jeta par la suite à ses pieds comme elle l'avait fait avec sa veste.

Alors qu'elle se retrouvait désormais à moitié nue, l'homme d'affaires se leva soudainement du lit et s'avança vers la jeune femme. Il se plaça ensuite derrière elle, déplaça légèrement ses cheveux afin de mieux voir son cou, et posa délicatement sa main sur son épaule. Il la caressa délicatement avant de rapprocher son visage de sa nuque et de humer son doux parfum. Natacha avait horreur de ça. Cependant, elle ne pouvait pas le montrer.

Herman Invictus posa sa seconde main sur le ventre de la jeune femme et, comme la fois précédente, se mit à la caresser. Là, il remonta ensuite doucement vers sa poitrine avant de l'introduire dans son soutien-gorge rouge. Bien que cela ait été serré, il n'éprouva aucune difficulté à l'introduire totalement. Mademoiselle Barnes s'efforçait de ne pas faire attention à ce qu'il était en train de faire, et ce même si cela lui était douloureux à la fois physiquement et émotionnellement. Tandis que l'homme d'affaires malaxait le sein de Natacha, il lui donnait en même temps de nombreux baisers dans le cou. Sa peau était tellement douce qu'on aurait dit celle d'une enfant. D'ailleurs, à cause des 28 ans qui les séparaient, la jeune femme était en réalité une enfant comparée à lui.

Natacha Barnes se sentait de plus en plus mal. Cela n'avait absolument rien à voir avec sa précédente expérience. La dernière fois, son patron s'était juste contenté d'effleurer sa peau pendant quelques minutes et de passer à l'acte. Cette fois-ci, il prenait son temps. Est-ce parce qu'ils étaient en début d'après-midi et avaient donc tout le temps devant eux ? La réponse était évidente. Comme il l'avait si bien dit plusieurs minutes auparavant, Herman Invictus était le patron de tout le monde dans l'entreprise. Dès lors, il pouvait décider de partir ou pas au travail, et si un de ses employés avait le droit ou pas de finir plus tôt. Par conséquent, les deux se retrouvaient dans cette chambre d'hôtel à faire quelque chose qui la répugnait grandement.

L'homme d'affaires posa sa main libre sur les fesses de la jeune femme qu'il appuya fermement quelques instants plus tard. Il déboutonna ensuite sa jupe et baissa doucement la fermeture éclair. Celle-ci rejoignit alors les autres vêtements sur le sol, dévoilant au passage une petite culotte de la même couleur que son soutien-gorge. Cela permit à monsieur Invictus de glisser sa main à l'intérieur et d'aller s'amuser avec les parties intimes de la demoiselle.

Le majeur d'Herman Invictus frottait contre le clitoris de Natacha Barnes avec une extrême douceur. Tandis qu'il faisait plusieurs mouvements de va-et-vient d'avant en arrière, l'homme d'affaires donna à nouveau de nombreux baisers dans le cou de la jeune femme. Cela lui rappelait d'agréables souvenirs d'une époque lointaine où il n'était encore qu'un simple étudiant universitaire. À cette époque, de nombreuses fêtes étaient organisées chaque week-end et voyaient des comportements similaires se produire dans son institution scolaire.

Abus de Pouvoir Tome 1 Terminé (En correction)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant