os: au premier regard

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PDV OMNISIENT:

1er novembre 1813. Un homme, d'un certaine âge, gérant sa boutique, renseigne une cliente. Celui-ci étant occupé, ne remarque pas la porte de sa boutique s'ouvrir, puis se refermer en faisant sonner une clochette ; laissant entrer une personne... des plus étranges. On ne pouvait ni dire si c'était une femme ; ni dire si c'était un homme, tout simplement car on ne voyait rien d'elle. Tout son corps ainsi que son visage, était recouvert d'un voile noir épais, de sorte à ne rien lui laisser apparent.

Elle s'avança dans l'aller central, le plus discrètement possible, essayant de ne pas attirer l'attention.

Arriver devant le rayon dédier au victuaille, elle s'arrêta. Elle se dirigea dans celui-ci, longeant les rayons en mettant plusieurs en-cas dans un sachet, caché dessous ça cape.

Arrivant au bout du rayon, son sachet rempli au possible, elle souleva légèrement son voile, regardant aux alentours comme pour vérifier l'absence de témoin, laissant apercevoir un œil d'un vert émeraude éclatant.

Elle se redirigea discrètement et d'un pas presser vers la sortie, s'empressant de passer la porte.

Enfin dans la rue, elle ne s'arrêta pas, continuant de marcher de plus en plus vite, évitant les passants qui marchaient dans le sens contraire.

Une porte s'ouvrit en un bruit sourd, faisant se retourner certains passant vers la source du bruit, laissant voir un vieille homme l'air énerver.

- « Au voleur ! arrêter cette personne ! Cria le vieillard en pointant l'étrange individu qui venait de sortir de sa boutique.

La personne en question, se mit à courir, ce qui fit voler le haut de son voile, faisant apparaitre son visage.

Cette personne était en réalité un homme, un jeune homme pour dire. Il possédait une chevelure noire aux reflets vert, volant pendant sa course, de grands yeux vert émeraude magnifique, des joues parsemer de tache de rousseurs ; rougies fasse au froid de ce début de mois de novembre.

Il courait. Non, le mot exact serait fuir. Il fuyait.

-Arrêtez-vous ! c'est un ordre ! » déclara un des hommes qui le poursuivait ; vêtu d'un uniforme noir, son casque de la même couleur, un sifflet attacher à une corde autour du cou.

Il n'en fit rien, ne l'écoutant pas, continuant de courir de plus en plus vite.

Arriver au bout de la rue, il tourna dans une ruelle. Sautant avec agilité au-dessus des quelques obstacles se trouvant sur son passage, prenant de l'avance sur les forces de l'ordre, moins doués pour éviter les obstacles.

Il bifurqua à droite, arrivant devant un mur en bois. Il déplaça une planche de bois, laissant apparaitre un trou à l'intérieur duquel il se faufila, remettant le morceau de bois à sa place après son passage.

Le jeune homme continua sa course dans l'allé, avant de rentré dans un bâtiment miteux, qui semblait être à l'abandon. Il ouvrit une porte, rentrant dans une pièce, puis la referma aussi vite qu'il l'avait ouverte.

Il s'appuya contre celle-ci avant de laisser s'échapper un soupir de soulagement, passant sa main dans ses cheveux.


PDV IZUKU:

Moi, c'est izuku. Izuku midoriya. Je n'ai ni famille, ni amis, ni petit ami.

Je vis à la rue.

Enfin... pas totalement.

Je vis dans un bâtiment abandonner. C'est miteux, moisi... il fait froid, ce 'est pas confortable... mais c'est mieux que la rue.

Je vis dans ces conditions à cause de la société. Je ne suis ni noble, ni riche, ni de classe moyenne, ni de la royauté. Et, n'ayant pas trouver de travaille, je vole. Je suis devenu un voleur. Je déteste faire ça. Arnaquer les gens, les piller. Je ne suis pas méchant. Je ne vole seulement le stricte minimum. J'ai à peine de quoi manger, à peine de quoi m'habiller, pas de quoi m'occuper.

Os: Au premier regard.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant