Le placard

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Charlie: Il t'a vu mourir...

Ma respiration se coupa net, petit à petit mes larmes continuèrent de rouler sur les joues, dans un silence qui glaça le sens.

Fred: PUTAIN MAIS TU POUVAIS PAS LA FERMER SÉRIEUX !? TA VU DANS L'ÉTAT QUELLE EST DÉJÀ ?!

Il poussa violemment son grand frère qui recula de quelques pas. Fred était fou de rage, Adèle était comme sa sœur, sa meilleure amie, sa confidente, il tien énormément a elle rien de plus, enfin normalement... bref il tenait trop à elle pour la voir souffrir comme ça.

Pendant ce bref instant, mon pouvoir ce déclencha et provoqua une onde puissante d'énergie. George se précipita vers moi pour me calmer. Il me pris dans ses bras et me serra fort contre lui, tout en me chuchotant les paroles rassurantes de notre musique préféré. Une fois que je fus enfin calmer et hors de dangers pour les autres et pour moi même, il se tourna et s'adressa à ses frères.

George: Oh les mecs calmez vous par Merlin ! Vous êtes des frères, pas des ennemis ! Alors vous vous calmer maintenant, elle a pas besoin de supporter ça en plus !

Fred et Charly n'oser plus bougeaient et s'excusèrent mutuellement mais la tension était encore palpable. George me pris dans ses bras, je mis cacha pour pleurer en silence.

Fred: Allez on rentre, tu va prendre froid comme ça. Répondis-t'il, le sourit au coin des lèvres.

George: Puis tu as besoin de sommeil.

Moi: Hum...

Je voulu faire quelques pas en direction du Terrier des Weasley quand tout à coup, Charlie m'attrapa délicatement le poignet et me fis pivoter face à lui. La nuits noirs laisser apparaître quelques étoiles vagabondes par ci-par-là, et la pleine lune faisait assez de lumière pour entrevoir les yeux bleus étincelant du dragonnier.

Charlie: Adèle je... je suis désoler... je ...

Moi: Ce n'est pas la peine, le coupe-je, ce qui est fait et fait c'est trop tard. En toute honnêteté je préfère savoir la vérité, mais ce n'est pas ce qu'il me fait le plus mal.

Charlie: Tu n'as pas peur de mourir ?

Moi: Si, un peu, comme tous le monde je suppose. Mais c'est... cette image de mon père ...

Je ferma les yeux et serra les poings, prête à exploser comme une bombe à retardement.

Charlie: Hé hé hé, chut je suis là d'accord, on est tous là avec toi ok ? Il pris ma tête entre ses mains et me fixa du regard. Ce n'était qu'un cauchemar, Sirius est plus fort que tu ne le pense, il ne mourra pas. Il passa son bras derrière mon dos. Aller on rentre, tu va prendre froid.

Une fois arriver dans le salon, je vis que Mrs Weasley m'avais pporter un tasse de chocolat chaud, tandis que Mr Weasley venait d'allumer le feu.
Harry etait là, sur le canapé en face de moi, je m'assoit alors sur l'autre canapé en face de lui.

Moi: Harry, ça va ?

Harry: Oui oui je commence à avoir l'habitude mais j'avoue que là... c'était horrible...

J'avais tellement envie de lui demander que ce qu'il avait vu en détails, comment es ce que je suis morte, es ce qu'il a vu la même choses pour moi à propos de mon père ?
Mais a la place de cela, je le laissa partir se coucher après une bref accolade.

J'étais seule, assise ici. Enfin du moins c'est se que je penser quand je découvris Charlie descendre les escaliers avec un plaide et vêtue d'un pull cette fois ci.

Elle Où les histoires vivent. Découvrez maintenant