8 chapitre

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- Ma fille a été enlevé- ce sont les seul mots que le boss a prononcé avant de sombré dans une interminable pluie de larme.

J'étais étonné par son aveu, je ne savais absolument pas qu'il avait une fille car il n'en avait jamais parlé. J'étais vraiment mal pour lui, le voire pleuré ainsi me fend le cœur, je le considère comme mon père, celui qui m'as élevé et qui m'as offert un toit  comme nous tous dans la maison.

La suite de son aveu m'as beaucoup choquer, je comprend qu' avec notre réputation il ne doit pas être très apprécié surtout chez la concurrence mais comment ils ont sue qu'il avait une fille d'autant plus que même nous ne le savions pas.

- Ton frère ?- Questionnais-je

-Oui mon frère,  mon petit frère,  le seul membre de ma famille qui reste et aussi le chef des scorpions. Avouait-il

Je suis très surpris par ses dires,  comment son propre frère a pu le faire sa ?  Par jalousie me dit il,  car d'après son petit frère Marc, ses parents on toujours préféré le boss a lui et aussi parce qu'il était jaloux que le boss ait encore une famille quant lui n'en avait plus. 

Il y a plus de dix ans déjà,  son frère avait perdu son épouse dans des conflits de gang or celle si ne savait même pas qu'il était le chef d'un des groupes.  Il s'en voulait tellement qu'il avait oublié son enfant et avait fini par l' abandonner me contait le boss.

Cette histoire me rappelle une autre histoire, la mienne, celle de ma vie. Sauf que dans mon cas mon père n'était pas le chef d'un gang mais le chef d'une grande compagnie de voyage et ma mère qui n'est pas morte dans un conflit entre gang de rue mais elle a été la victime d'un braquage qui a mal tourné.  Le seul point commun est que j'ai comme cet enfant été délaissé par mon père.

J'aime beaucoup le boss et le voire ainsi  m'énerve, c'est vrai que avec ces revélations je me rend compte que je ne connais pas grand chose sur la vie du boss  mais je voudrais tous faire pour qu'il arrêt d'être aussi triste, je ne le supporte pas.

- Tu dois pensé que j'ai abandonné ma fille ? - dit il.   Je ne reponds rien et il continue

- J'aime ma fille, plus que tous au monde et je ne l'ai jamais abandonné.   Il ce trouve qu'il y a bien des années, ma fille vivait avec ses grand parents, du côté de sa mère a cause de mon mode de vie.  Je ne voulais pas la mêlée a tous sa.  Mais il y a quelques années encore elle est revenu a New york et a intégré un gang, sans que je le sache.  J'ai appris qu'il s'agissait des pédérios, j'ai rien pu faire pour qu'elle  change d'avis , pour qu'elle quitte ce monde mais têtu comme elle est, a décidé d'ignorer ma demande.

- Je n'es jamais eu cette idée en tête,  voilà presque neuf ans que je te connais et jamais je ne me permettrais d'avoir une tel pensé. Tu es un père pour nous tous ici.

- Je te remercie Sacha, je te considère comme ma propre fille. Il me souri et je le rend son sourire 

-J'aimerais que tu me rende un service. dit-il

-Bien sur, tous ce que tu voudra.

-Je veux que tu te charge personnellement de retrouvé ma fille, j'ai plus confiance en toi dans cette maison que quiconque c'est pour cette raison que je voudrais que tu t'en occupe.

- Bien sur...je ferais tous ce que je peux. Je te promet qu'on l'as retrouvera.

-Je te remercie. J'ai juste un truc a te dire..

- Oui.

-Je sais que dans le temps tu sortais avec...Lucas, le bras droit de pédérios.

- Oui. Dis je en fronçant un peu les sourcils.

- Je t'es dis que ma fille faisait parti de ce gang! on va devoir collaboré avec eux parce qu'ils savent que Lindsay est ma fille. Nous sommes devenu ami avec Bill, le chef du gang des pederios donc il a accepté que nous travaillons ensemble.

- OK. Je vais pas te caché que sa me contrarie de devoir travailler avec lui mais je dois laissé mes sentiments de côté pour pouvoir mené a bien une mission surtout celle ci.

- Je te remercie beaucoup, dernière chose, ne prend pas trop de risque. Je tiens a toi autant qu'a ma fille et vous perdre toute les deux seras encore plus dure.

-Ne t'inquiète pas, tu me connais.

-Justement.

Je le souri et me dirigais vers la sortie quant il me stop.
Je me retourne et il était là, debout. Sans m'y attendre il me prit dans ses bras et me serra très fort. Je l'encerclais également de mes bras  et le serra a mon tour, j'ai laissé une larme, puis deux et trois coulé sur mes joues, on c'est lâché et j'ai enfin pris la porte jusqu'à ma chambre.   Je me suis un peu allongé sur mon lit et j'ai fermé les yeux.

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Voilà les gensVraiment vraiment sorry

Bad LoveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant