[4-Entraînement]

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[Point de vue Bakugou]

C'est avec les hurlements de la vielle que j'ai eu le putain de plaisir d'ouvrir les yeux, elle me les brises sévère elle aussi. Je me suis alors dépêché de me lever de mon lit pour remarquer qu'il pleuvait des cordes dehors... Génial. J'ai donc filé sous l'eau chaude de la douche pour réveiller mes muscles. Une fois sec, les cheveux encore humide, j'ai enfilé mon uniforme et est descendu les marches pour me rendre à la cuisine. La vioque m'y attendais son café dans la main, je suis passé à côté d'elle sans lui adressé la parole pour récupérer mon petit dej et une tasse de café; je me suis assis sur l'une des chaises hautes du comptoir, commençant à manger. Et là , mes oreilles se sont faites, une foi de plus ,attaquer;

"KATSUKI TU NE DIS MEME PAS BONJOUR A TA MERE ? QUEL MALPOLIE"

"ON SE DEMANDE QUI M'A EDUQUER COMME CA, HEIN LA VIOQUE"

"TU VAS ARRETER DE MAL ME PARLEZ ET VA METTRE TA SATANE CRAVATE"

"NON ELLE ME CASSE LES COUILLES CETTE CRAVATE DE MERDE"

Elle s'est tourné vers mon père , installé dans le canapé du salon,

"Et tu me soutient même pas ?"

Il avait lever les yeux de son téléphone pour regarder ma mère

"Tu sais que je n'aime pas beaucoup les cris mon amour"

elle soupira légèrement calmé

"Oui je sais c'est juste ton malpolie de fils qui me manque encore de respect"

Durant leur petite discussion sur mon caractère de merde je m'était dépêché d'engloutir le repas devant moi avant de plus ou moins discrètement me lever sans faire attention à ce que disait les dinosaures à côté. Arrivé à la sale de bain ,je pulvérisai les germes à coup de brosse à dent , et fit une minuscule explosion avec la paume de ma main droite pour redonner à mes cheveux leur aspect normal. Un retour dans le salon, sous les rugissement de ma mère, vite ignorer, j'ai saisi mon sac et un parapluie noir posé à l'entré d'une main, et la porte de l'autre avant de sympathiquement l'a claqué derrière moi. C'est dingue à quel points ils me les brises les deux.

Et parce que la vie ne me laisse jamais de répit, je quitte des vioque qui me saoule grandement pour retrouvé des idiots inférieur qui me saoule grandement. Vraiment un plaisir, c'est de l'ironie pour les deux crétins du fond qui aurait pas saisi. Après 10 minutes dans les transport, casque sur les oreilles pour apprécier mes minutes de tranquillité, j'étais au lycée.

Tout le monde s'était dépêcher de rentrer dans l'établissement à cause de ce temps de chien. J'étais renter dans la classe, après avoir posé mon parapluie à l'entrée, assis à mon bureau toujours le casque sur les oreilles. Aizawa est venu tout gâché en se ramenant à l'heure, m'obligeant d'abréger mon appréciation de la musique. Les cours commencèrent, et soyons honnête, rien de passionnant, beaucoup de choses de filière générale enfaite. Les heures passaient assez lentement jusqu'à l'heure du repas, et bordel ce que j'avais faim. J'allais fuir cette classe moisi pour aller contenter mon estomac quand la tête d'ortie s'approcha de moi un sourire idiot sur le visage. Evidement il était venu me demandez de manger avec lui et ses débiles de potes et par non-envie de me fatigué à luter contre cette boule d'énergie insupportable, j'avais accepté avec un soupire et un simple "ok". Ce midi là on était beaucoup autour de la table du réfectoire. Il y avait les idiots en CDI, ceux qui était toujours là; le Pikachu, L'emballeur de cadeaux avec ses coudes et évidement tête d'ortie et aussi l'alien qui traînait souvent là et la meuf écouteurs, qui venait de plus en plus souvent depuis notre sortie au game center. Etrangement ils n'étaient pas trop bruyant, ils discutaient de plats et de snacks et j'y prêtais peu attention; j'ai évidement fini mon plat avant tout le monde qui continuait à blablater; je n'avais pas vu la flamme olympique couleur fraise à côté de moi me regarder;

-Apprendre à grandir, avec Toi- [KIRIBAKU] -FrOù les histoires vivent. Découvrez maintenant