"La fille de la pisciiiine cette inconnue subliiime, noyé dans ses pupilles subtil est le souv..."
La musique se coupe, je prends une grande inspiration qui remplit mes poumons et me gonfle la cage thoracique. Je garde quelques secondes, le temps d'ouvrir difficilement les yeux et j'expire par le nez tout en m'étirant. Cela doit faire une heure que je somnole sur ma chaise longue au bord de la piscine du camping. J'ai du mal à gardé les yeux ouverts, je me les frottes et laisses une main au dessus pour les protéger du soleil. Tout en baillant j'admire l'eau, elle est calme, personne n'est dedans pourtant nous devons frôler les trente-cinq degrés.
Le camping se trouve en Dordogne, il est entouré d'arbres et une rivière le traverse. C'est un endroit calme, je trouve cela dommage qu'il ne soit pas au complet au mois d'août. À croire que les gens ne cherchent plus que des vacances festifs et n'aiment plus le calme et la tranquillité. Je suis en vacances avec mes parents, c'est probablement la dernière année que je pars avec eux. La tranquillité me va très bien, j'occupe mes journées par de la lecture, de la natation, de la randonnée et encore de la lecture. Pour moi c'est la définition même des vacances : se reposer. Nous ne sommes pas nombreux dans le camping et vu le peu d'activités possible d'y réaliser les gens partent plutôt faire des randonnées, c'est le cas de mes parents, ils partent le matin et rentre dans l'après-midi. J'aimerais juste faire du canoë avant la fin des vacances, le paysage à l'air si beau le long de la rivière.
Je me lève et plonge dans la piscine, je la traverse en apnée de toute sa longueur. C'est quelque chose de stupide mais depuis les douze ans je "m'entraîne" à traverser les piscines où je vais en apnée. Je ne dois pas sortir la tête de l'eau avant d'avoir touché le bord. c'est un exercice plus difficile qu'il n'y parait, avec le peu d'entraînement dont je dispose la reprise est souvent catastrophique. Le chlore me pique les yeux, et je pense être à la moitié du chemin car le fond commence à partir en pente. Je continu mon avancée mais commence à manquer d'air, je fais la brasse avec mes bras et bats des pieds en même temps. J'expire toute l'air qu'il me reste dans les poumons puis avec le plat des mes mains me propulse vers la surface. Merde il ne me restait que deux mètres et j'avais atteint mon objectif, je ressayerais plus tard.
Je sors de l'eau et prends soin de tirer sur mon bermuda pour qu'il se décolle de ma peau car il laissait apparaître un peu trop la forme de mes parties intimes à mon goût. Je vais pour m'allonger sur le transat et bronzer quand je me rappel que j'ai finis mon livre. Je m'essuie, prends La part des ténèbres, puis me dirige vers l'accueil qui met des livres à disposition gratuitement.
J'entre dans l'épicerie, qui sert également d'accueil, en disant bonjour à la personne qui se tient derrière le comptoir. Je vais d'abord me servir une boisson gazeuse que je règle au comptoir puis me dirige vers l'étagère qui sert de dépôt de livres. Une fille s'y trouve, elle doit avoir vingt-cinq ans, elle est blonde, porte un paréo bleu turquoise. Tout en posant mon livre dans la rubrique français je lâche un bonjour un peu timide, à quoi elle répond "Bajure". En regardant sa main droite je comprends, elle tient un ouvrage orthographié étrangement, probablement du néerlandais au vu du nombre de répétitions de lettres à suivre dans le même mot. On se regarde et on se sourit, elle à les yeux d'un vert émeraude qu'elle dirige aussitôt vers la quatrième de couverture de l'ouvrage qu'elle tient en main. Je retourne mon visage vers la direction de l'étagère, à vrai dire je tourne plutôt ma tête sur le coté pour pouvoir y lire le titre des ouvrages. Les thèmes sont en désordres, il y a de la romance rangé collé a de la science-fiction, à coté de policiers... J'avance ma tête et y découvre un gros livre, bleu/vert, il s'agit d'Harry Potter et des reliques de la mort. Le film n'est pas encore sorti au cinéma, mais doit l'être dans l'année. Je devrais apprécier, je le prends et le tire des autres livres dont il est coincé et relève ma tête de victoire.
BIIIIIIM
Ma tête vient de heurter celle de l'inconnue. Apparement elle penchait la sienne dans l'autre sens et comme elle mesure un bon dix centimètres de plus que moi nous ne nous sommes pas aperçu que l'on se trouvait l'un sur l'autre. On se frotte la tempe droite pour faire passer la douleur, tout en m'excusant de ne pas avoir fait attention. Elle me regarde avec un sourire en disant "C'est moi auqsi ja pas regarde désolée.". Son accent me fait littéralement fondre, elle doit le remarquer car elle se pince les lèvres et me dis "bon journée". Je reste là, à la regarder sortir de la boutique, me frottant la tempe. Je retourne du coté épicerie et prend un sandwich en plus, tous cela m'a ouvert l'appétit.
Je suis de retour au transat après avoir mangé et il fait extrêmement chaud, je décide de faire des longueurs pour me rafraîchir, je suis une nouvelle fois tout seul dans la piscine. Lorsque j'essaie de réaliser ma troisième traversée sous l'eau , rendu à mi-chemin, je me retrouve propulsé contre le carrelage. Quelque chose vient de me tomber dessus, ma tête heurte le carrelage et je recrache toute l'air que j'ai en moi. Je vais pour remonter mais BIIIIM un pied vient heurter ma mâchoire inférieur et me fait claquer les dents. Bordel, il m'arrive quoi encore??
Une fois sortis de l'eau je prend une grande inspiration et crache mes poumons tout en me dirigeant vers le bord. J'entends une voix se diriger vers moi, une voix féminine. Qu'est ce qu'il se passe?
"-Oh marde, je suis vraiment une bourde ! Je t'avais pas vu sous l'eau, excusez-moi.
J'ouvre difficilement les yeux, mon inconnue de la librairie se tient à coté de moi.
-Ça va tu vas bien?
Je me mets à bafouiller. -Heu, oui oui ça va, oh putain t'as pas fais semblant.
Je me frotte la nuque, j'ai mal partout mais ne n'ose rien lui reprocher, la pauvre elle n'a pas fait exprès.
-Tu es sûr? On dirait un bosse sur ta tête.
Elle approche sa main de mon front et commence à touche l'endroit où elle mets tombée dessus.
-Oh oui, c'est bien un blessure ici, viens j'ai du givre dans la tente."Sans même me donner le choix elle me tire hors de la piscine et me presse de la suivre. Pendant deux minutes nous marchons précipitamment pour ne pas dire courir, mains dans la mains. J'ai la sensation que mon cerveau bouge dans tous les sens à l'intérieur de mon crâne. Tout en courant je la regarde, elle ne porte pas son paréo cette fois, elle porte un maillot de bain une pièce noire, et j'aperçois son corps. Elle n'est pas "skinny" ni même "chargée" elle est charmante, de petites poignées d'amour son visibles et de l'arrière je ne voit que ses cheveux qui tapent contre ses fesses, elles ne sont pas musclées juste naturellement bien formées. Elle lâche ma main pour ouvrir sa tente, nous sommes arrivés. On rentre à l'intérieur et mon Dieu quelle chaleur il y fait ! La porte en tissu se referme sur nous, pendant qu'elle cherche quelque chose dans le mini-frigo de camping qu'elle possède. Dans la tente il y a trois compartiments et une pièce de vie au milieu. Je m'assoie sur une des chaises de camping qui se trouve dans ce dernier. Son frigo se trouve dans le compartiment en fasse de la porte, les deux autres compartiments sont des chambres je suppose. Elle sort un pain de glace dans une exclamation de victoire.
"Je vais te mettre ce givre sur le crâne." Dit-elle en se penchant au dessus de moi. Elle pose la poche de glace sur ma bosse, la soulève pour regarder de nouveau la blessure, et la repose en inspirant un bruit de souffrance "Ouuuh c'est pas joli le blessure". Je baisses les yeux et ils tombent juste en fasse du haut de son maillot de bain, au niveau de sa poitrine. Le tissu qui cache ses seins se rejoint par des croisillons, un peu comme des résilles. Elle à une paire de seins blanc qui contraste avec son maillot, qui à mieux y regarder n'est pas noir mais bleu foncé. Ils sont si volumineux que je risque de me les prendre dans la figure si je bouge ne serait-ce que d'un centimètre. Elle s'en rend compte et s'écarte de moi aussitôt tout en laissant tomber la poche de froid au sol.
Je la ramasse directement tout en m'excusant. Je suis rempli de gêne, je n'imagine pas ce qu'elle doit ressentir comme dégoût jusqu'à ce qu'elle rompe son silence.
"-C'est moi, j'aurais du y penser... Et puis à cause de cela tu as une autre bosse...." Elle pointe du doigt vers moi, je descend les yeux vers mon entre-jambes, je ne m'étais même pas aperçu que j'avais une érection ! Je plaque directement mes mains dessus de honte. Je dois être rouge comme une écrevisse. Je n'ose plus la regarder ni même bouger, j'attends que le sang circule.
"-Tu sais, ce n'est rien. Tu me plait beaucoup aussi." Je remonte la tête de surprise, et elle vient poser sa chaise à cotée de la mienne. "Vraiment, tu es plutôt beau garçon." Sa main commence à caresser mon torse, de toute sa longueur, du bout des doigts, mon souffle commence à saccader. On se regarde droit dans les yeux, pendant que sa main glisse sous mon maillot, la mienne commence à lui caresser les hanches jusqu'à ses fesses. Elle se rapproche de moi et nos lèvres ses touchent, les langues se rencontrent et pivotent ensembles. Les caresses deviennent plus intenses, du bout des doigts elle agrippe mes testicules, les massent puis les relâchent pour attraper mon pénis et le masturber doucement. Je retire ma langue de sa bouche pour reprendre mon souffle. Elle me fait un effet monstre. J'essaie de passer ma main vers l'avant de son maillot pour caresser son clitoris mais elle se met à califourchon sur moi, de sa main gauche elle me masturbe et de la droite elle force ma tête à aller vers elle pour qu'elle puisse m'embrasser, je ne résiste pas. Mes mains se retrouvent contraints à ne pouvoir que masser ses fesses, je glisse mes mains sous son maillot pour faire de lui un string quand soudain, la deuxième fermeture de la tente s'ouvre. Elle saute de sur-moi, ses parents viennent de rentrer.
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Histoires de la vie
RomanceDe courtes histoires de la vie, plutôt osées exclusivement réservées aux personnes majeures. Portant sur vos demandes. Je ne serait bien sûr pas tenus pour responsable de votre interprétation.