Royal // J.JK

Romantic

Nous étions debout l'un en face de l'autre, lui ses mains dans les poches de son pantalon de costume, et moi triturant les volants de ma robe.

"Vous semblez si angoisser..."  Il se rapprocha et pris mes mais dans les siennes. D'un air rassurant il me souri.

"Ne vous en faites pas pour moi, tout va bien. Allons marcher un peu"

Il garda ma main dans la sienne et nous nous en allons vers les allées du jardin, entourer des grandes haies fleurie entretenues par les jardinier du château. Je regardais le moindre insectes qui nous entouraient, la moindre pétale tomber, chaque feuille ou branche qui dépassaient, je les voyaient. Chose que je ne remarque pas en temps normal.

"Je peux vous poser une question ?" Avais-je demander de ma petite voix frêle.

Il avait tourner son regard vers moi, le miens cherchant toujours à se poser sur notre environnement.

"On vous a obliger a vous marier avec moi, alors est-ce que vous aviez déjà trouver l'amour avant, si c'est le cas je vous laisserais tranquille et vous pourrez la retrouver quand vous en aurait l'envie"

"Non ! Je vous assure que non, et puis je ne vous abandonnerai jamais pour une autre femme, vous êtes si douce, pure, sage, bienveillante, attentionnée... Personne ne devrait vous laisser et croyez moi, je vous chérirais jusqu'à ma mort."

C'était la première fois que quelqu'un me disait ça, ses mots, ses gestes, sa voix... Tout.. Tout étaient sincère et j'en avais presque les larmes aux yeux. De voir que dans ce monde de brute, de violence et d'injustice, il peut y avoir des gens sur qui se reposer, lâcher prise, des gens à qui nous pouvons faire confiance rien qu'en voyant leurs sourires, a qui nous pouvons tout dire sans être jugé.

"Je ne vous lâcherais pas non plus croyez moi... Vous m'êtes très cher sachez le."

"Je peux vous prendre dans mes bras ?" Avait-t-il demander, les yeux remplies de joie.

Je me précipite dans ses bras et hume son parfum. Il ressert son étreinte autour de ma taille et place sa tête contre mes cheveux.
Sa chaleur corporelle me serre et me compresse contre lui. J'ai l'impression de me sentir en sécurité et de pouvoir enfin me libérer de mes émotions... J'ai la sensation d'être considérée comme une humaine et non comme une princesse de château.

"Je ne sais comment exprimer mon sentiment envers vous mais vous me donner tellement confiance en vous. Je vous le jure... Comment faites-vous pour autant attirer mon attention ? Jusqu'à ce jour, personne ne m'avait réellement parler de ce qu'il ressentait. Même mes propres parents. Alors j'aimerai d'avoir comment vous faites pour hypnotiser mon regard. Pour autant attirer mon attention. Vous savez, lorsque j'étais petite on m'interdisais de parler aux gardes mais honnêtement je ne comprends toujours pas pourquoi parce rien que les mots que nous venons d'échanger me procurent un bien extraordinaire... Et quand je prend un petit peu de recul, je me rend compte que je vais sortir de ce cocon clos."

"Je vous comprends. Vous savez, on m'a interdit d'aller dans les jardins quand j'étais petit et pendant des années j'étais à l'intérieur d'un château sans grande vies, avec des gardes et des servants partout où que je pose mon regard... Vous voir pour la première était plus qu'un rêve. Et vous revoir me procure énormément d'émotions. J'en ais la voix tremblante. Sentir votre odeur et vous avoir dans mes bras n'est pas réel princesse. Je vous remercie de bien vouloir de moi."

Je m'écarter de lui et lui prend le visage en coupe pour caresser ses joues de mes pouces. Je lui sourit et dépose mes lèvres rosé sur les siennes, plus sèches et en manque d'amour. Je lui transmet tout mon amour dans ce premier baiser... Il m'attrape plu fermement que précédemment et me colle contre son torse. Je détache mes lèvres dès siennes et lui dit.

"C'est à moi de vous remercier pour vos paroles.. Je vais devoir apprendre à être une femme. En réalité je ne sais même pas cuisiner ni comment me comporter avec un homme. Je ne sais que dire si jamais un jour je fais un pas de travers."

"J'avoue que je ne sais comment faire non plus, je n'ai jamais eut de relation et je suis un peu intimidé. Mais si il devait arriver un problème, nous en parlerons et nous y ferrons face. Je vous le promet."

Je le regarde avec un air de confiance et m'éloigne de lui afin d'être à une distance qui me semble correcte pour pouvoir discuter convenablement.

"Si nous allions marché un peu ?"

Il me sourit et me prend par la taille et nous nous entrainons dans les allées de ce grand jardin. Avec une allure de couple. Nous nous avançons vers la fontaine et nous observons l'horizon.