La caserne 51

chapitre 15: une seule petite minute

Pdv Boden
Je découvre des photos de chaque membre du 51, chaque personne de mon équipe est présente sur ce mur avec des fils rouges qui les rejoignent. A ce moment là j’ai la confirmation que c’est ma caserne qui est visé
Moi: Lieutenant Seager venez voir
Seager: Il y a tout vos hommes sur ces photos ?
Moi: Malheureusement oui. Je vais contacter contacter le lieutenant Dawson
Seager: Oui, il vaut mieux
Je prends mon téléphone et compose le numéro d’Antonio Dawson
Moi: Lieutenant Dawson, c’est le chef Boden!
Antonio: Oui chef Boden que puis je faire pour vous ?
Moi: J’ai découvert les photos des membres de la caserne
Antonio: Dans la maison où il y a eu l’alerte ce matin ?
Moi: Oui c’est ça
Antonio: N’en parlez pas à vos pompiers, je vais essayer de retrouver le propriétaire de la maison
Moi: Tenez moi au courant !
Pdv Gabby
L’intervention s’est bien passé, maintenant que c’est terminé je demande à Brett de passer par le med pour que j’aille voir Casey comme après chaque intervention, sur la route je reçoit un appel du Chef
Moi: Allô chef ?
Boden: Oui Dawson est ce que tu vas voir Casey et Severide ?
Moi: Oui, je ne sais pas si Kidd vous a dit mais Severide s’est réveillé
Boden: Non elle ne me l’avais pas dit, c’est une super nouvelle. J’aimerai que tu revienne me voir avant d’aller voir Casey stp c’est assez important
Moi: Oui pas de soucis chef j’arrive immédiatement
Boden: Merci
Après avoir fini l’appel avec le chef je demande à Brett de faire un détour par la caserne avant d’aller voir Casey
Nous n’avons pas le temps de rentrer à la caserne que le central nous signal encore un incendie
Brett: Il y a beaucoup d’incendie aujourd’hui
Moi: Je ne trouve pas ça normal, on a pas autant d’intervention sur des incendies d’habitude
Brett: On arrive sur les lieux
Moi: Il n’y a pas de fumée. Central vous êtes sûr de l’adresse ?
Central: Oui
Stella et Herman s’avancent vers l’immeuble pour vérifié que rien n’est défectueux
Tout d’un coup des coups de feu retentissent, et deux balles touchent l’un d’entre nous...