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Appel téléphonique Mama...
- tu viens quand ?
- dans une semaines.
- d'accord,djaména et Téréna viennent aussi ?
- oui.
- okay. Priya se joindra à vous sa te dérange pas ?
- non,pas du tout.
- si non,mama ça va mieux depuis...
- c'est la vie Saouda,il a fait le choix de délaisser sa famille. Ont doit continuer à vivre nous aussi même si sa fait mal.
- ta raison...
- je te laisse,j'ai du boulot.
Fin de la conversation.
Elle me dit qu'elle va bien mais je sais qu'elle n'es pas sincère.
Depuis le départ de mon père au Soudan. Il nous a plus donné aucune nouvelles,malgré le nombre d'appels et messages qu'on lui a laissé. Rien ils nous répondais.
Ont d'abord pensé aux pires mais lorsque son frère nous a appelé nous disons de sa part qu'ont arrête de l'harceler et qu'il a refait sa vie.
Là,à était une véritable annonce.
Il nous abandonné.
Cela va faire un ans maintenant Et quelque mois.
Ma mère a eut beaucoup de mal à avalé la pilule et avait presque même arrêté sa carrière de chirurgienne.
Aujourd'hui,elle va beaucoup mieux grâce aux soutiens de moi et mes sœurs.
Elle va toujours mal mais continue à monter la pente à son rythme.
Moi de mon côté. Je restais forte pour ma mère,mes sœurs aussi également qui elles aussi était sur le point de perdre le file.
Sa fait mal d'apprendre qu'après tant d'années à grandir à ses côtés Il a fini par nous abandonné.
J'aurais presque préféré ne pas le connaître au moins,je n'aurai pas de souvenirs de sa présence.
Malgré ce qu'il a fait sa reste mon père et j'aurais toujours une par d'amour en vers lui.
ARONE
Le corps humide,j'enveloppa la serviette au dessus de mon torse sculpté.
Saouda. Cette femme je l'ai dans la peau.
Je n'aurais jamais pu penser pouvoir demander la main d'une femme que j'ai pu voir seulement quelques fois.
Je ne voulais pas passer au dessus de cette occasion surtout après plus d'une année,je n'aurai jamais pu penser la revoir. J'ai lancé le coup qu'elle dise non où pas.
J'enfila mon dernier vêtement puis alla à la rencontre de ma fille qui m'appeler presque en hurlent.
Pris de panique,je descendue les escaliers d'un pas pressé jusqu'au salon. Puis m'arrêta d'un coup sec face à son image.
- Véra...
- je marche. Dit t'elle en pleurant.
- tu marche,essaie de venir vers moi c'est bien. Dit je en m'avançant vers elle.
Au moment où elle allait atteindre mes mains elle trébucha au sol en sanglots. Je la pris dans mes bras et l'enlaça.
- c'est très bien. C'est que le début tu remarchera. Lui murmure ai-je dans les oreilles.
