Elle

Le grand et le petit

Je longe les longs couloirs en suivant le directeur. Il me pointe une classe.
Le directeur: voici ta classe. J'espère que tu t'y plairas.
Moi : Merci beaucoup.
Lorsque j'ouvris la porte de ma nouvelle classe, tout les regards se tournairent vers moi, ce qui me gêna pas vraiment. Je ne suis pas le genre de personne gêné tout le temps.
Moi: Bonjour, je m'appelle Alex! Je vient d'arriver à l'école!
Les personne chuchotait entre eux. Certaines filles rougissait.
Le prof: Ah, oui! J'avais oublié que tu arrivais aujourd'hui! Voilà ton bureau.
Il me désigna un bureau au fond de la classe. Au bureau voisin il y avait un garçon de petite taille.
***
À la fin des cours un rassemblement de filles sont venus me voir.
Filles: salut! Comment ça va? D'où tu viens?
Moi: bonjour je m'appelle Alex. Je vais bien et je vien de Québec!
Filles: En fait on a une question à te poser.
Moi: C'est quoi?
Filles (en chœur): Tu as une copine?
Moi: euh, non.
Les filles s'exclamaire. Une aux cheveux roux,aux yeux verts et aux lèvres rosée s'avança vers moi.
La fille: Salut. Je m'appelle Cassandra. Je vais te dire qui éviter dans cette classe. D'abord il y'a Juliette et Simon: des nerds plates juste bon à répondre aux questions du prof. Ensuite y'a Clara qui pue de la gueule et Catherine une gothique qui est super chiante. Mais surtout, Gabriel un gars qui dit jamais rien, il est tout petit. Y'é nul. D'ailleurs c'est ton voisin de classe. Pauvre toi!
Moi: Je pense pas que ce soit un problème... D'ailleurs à quoi ça sert tout ça?
Cassandra: Juste pour que te sache qui sont les bonne personne...
Elle se colla a moi. Je l'a repoussa.
Moi: Désolé. Je n'aime pas vraiment avoir des câlins avec des personnes presque inconnu.
Cassandra: Ah. D'accord. Désolé d'abord. Mais tu va voir que bientôt je serai très connu à tes yeux.
Elle s'en alla avec un petit sourire au coin de la bouche. Une grande partie des gars de la classe sont venu vers moi.
Un gars: Yo, mec, tu vient de faire draguer par la fille la plus populaire de l'école! C'est pas rien!
Moi: Je pense bien que je m'en fiche. Je ne veux pas de copine.
Le gars: Hein?! Tu sais combien rêverait d'être à ta place?
Moi: Non. Pas vraiment. Maintenant, excusez-moi mais je vais aller dans ma chambre.
Je parti vers les long escaliers en bois du hall. J'ai trois étages à monter. Ma chambre est la 482.
***
Ma chambre était tellement grande! Dans la chambre, il y avait un lit double avec une commode rouge sur le côté droit et une mini bibliothèque sur le côté gauche. La lampe pouvait changer de couleur. Dans la salle à manger, il y avait une grande table en chêne avec des chaise-divan. Un gros pot de géranium était posé au centre de la table avec écrit: Bon déménagement, Maman. Dans la cuisine, je m'aurait cru dans top-chef. Le four et le lave vaisselle était dissimulé dans le comptoir blanc. Le frigo était énorme mais ne prenais pas trop de place. Les casserole était suspendu. Dans le salon, il y avait un gros divan bleu marin avec, au dessus, une reproduction du tableau "une nuit étoilée" de Van Gog. Devant le divan il y avait une table à chevet avec un paquet de livres dessus. Devant la table à chevet, il y avait une énorme télévision.Un grand piano noir comme la nuit était à coté d'une grande fenêtre qui menait un balcon. Dans la salle de bain, tout était blanc. Il y avait une douche ET un bain. Bonheurs. Il y avait une toilette ( évidemment) et un lavabo.
Je rangea toute mes affaires. Je ne trouva pas mes clés de vélos. J'avait du les échapper tantôt en venant ici. J'aurais pu partir à leurs recherches mais la paresse pris le dessus et je resta allonger sur mon lit. J'aurais que à aller le chercher demain au objets perdus. Je regarda mon cadran. Déjà 7:42. J'enleva ma chemise pour me mettre en pyjama. J'entendis en bruit venant de la porte d'entrer. C'était Gabriel. Il rougi énormément et tourna la tête.
Gabriel : Désolé, désolé, désolé! Je savait pas que tu te changeais. J'ai trouver cette clé par terre et il y avait ton nom dessus et je t'ai vue rentrer dans cette chambre et la porte était ouverte alors je me suis permis de rentr...
Il me regarda. Je rougissais moi aussi.
Gabriel: Mais, mais. Tu es...