Us Against The World//Larry

Chapitre 1

"Des fois ça me fait de la peine de les voire triste quand je les jette.Et puis après j'en baise un autre et ça me passe."

*Louis Tomlinson*
[Appartement de Louis, 11HAm]

[STANLEY] (doucement) "Lou?"

[LOUIS] (sur les nerfs)"Ta gueule."

Louis ne voulais pas se réveiller. Il était bien trop tôt, bien trop mauvais temps. En plus il y avait cet sangsue qui ne voulais pas rentrer chez lui.

[STANLEY] "Lou?"

Il commençait sérieusement à l'agacé.

[STANLEY] (doucement à l'oreille de Louis) "Réponds mon ange."

Il l'avait énervé. Louis soupira. Fort. Et sortit des couvertures en prenant bien soin de ne pas faire face à l'imbécile derrière lui.

Il se sert du jus de fruit et ignore complètement son amant.

Stanley se lève à son tour, s'approche du châtain et l'enlace avant d'enserrer sa taille et d'embrasser sa nuque.

[LOUIS] (agacé)"Tu fais quoi là?"

[STANLEY](son nez dans la nuque de Louis) "je te dis bonjour."

[LOUIS] (le repousse)"Stanley. On n'est pas ensemble. Tu fais chier à ne pas vouloir comprendre.Tu es juste mon plan cul."

Et là, la gifle que Louis reçu à ce moment le fit sourciller. Celle là, elle lui laisserait une marque.

Stanley Harrison était le genre de stéréotype complètement amouraché d'un type qui s'en ficherait complètement si du jour au lendemain il devait partir très loin et pendant très longtemps. Il est beau mais il n'a absolument rien dans la tête.

[STANLEY]( vexé] Je ne suis pas là pour assouvir tes pulsions sexuelles et me barrer après.

[LOUIS](ironique) "Si justement. Coup d'un soir. Un. Si tu n'es pas content arrête de revenir à chaque fois mon chou."

Une gifle. Encore.
Stanley était rouge. Il prit ses affaires et arrivé à la porte d'entrer il se retourna vers son partenaire d'une nuit qui s'était déjà attablé.

[STANLEY](Petit, espérant) "Tu ne me retiens pas Lou?"

[LOUIS] (se servant son café) "Non. Et arrêtes de m'appeler comme ça."

[STANLEY]"Tu ne me reverras plus jamais Louis."

[LOUIS] (ignorant Stanley)"Claque la porte en sortant."

C'était la troisième fois que Stanley revenait et il ne comprenait toujours pas. Louis n'avait besoin que de sexe. Il n'avait pas de sentiment. L'amour n'existe pas. C'est bien trop faux. Bien trop brute.

Ce qui existe, c'est les sensations physiques. Le plaisir charnel. Le sexe.

Le châtain soupira longuement à l'idée que la semaine prochaine, il prendrait Stanley sauvagement dans son lit.

Ce matin là, Louis était en retard. Il ne se pressa pas pour autant et retourna s'allonger dans son lit.

Le châtain voulut se rendormir quand son téléphone vibra. Un message.

[Louis-Liam,Messages]

[LIAM]: T'es où?

[LOUIS]:Couvre moi.