yaoi domination

Vestiaires bdsm

Je m'appelle Ethan, j'ai 16 et je suis en première dans une classe foot, c'est pas génial niveau cours mais niveau mec, c'est le pied. Les mecs de ma classes sont tous super beau, ils font du sport tous les jours donc ils sont vraiment musclé. Comment je le sais ? Il se pourraient que je les matte dans les vestiaires avant et surtout après le sport, quand ils sont tous transpirant, quand leur boxer humides laissent deviner la forme de leur intimité...

Le problème, c'est qu'ils sont tous herero et homophobe, et moi, vous l'aurez deviner, je suis gay. Après comme je ne suis pas du tout efféminé, personne ne le sait, enfin je crois...

Demain, je vais voir jouer les gens de ma classe, ils ont un match contre Angers, j'ai hâte d'y être, rien que d'y penser, de penser a Mathis, le gardien, il est grand, toujours en jogging gris qui laisse deviner ses formes, plutôt imposantes d'ailleurs, il transpire pas mal, du coup en sport son t-shirt est toujours collé a ses abdos et à ses biceps, qu'il contracte souvent pour se vanter. Une fois, a la cantine, il a mis une pomme contre ses biceps et l'a éclaté rien qu'en contractant, rien que d'y penser, je bande presque. Mais bon, il est 22h, il faut vraiment que je dorme.

Le lendemain j'étais pas trop concentré sur les cours, toute la classe a par moi et les 5 autres filles qui ne font pas de foot, étaient en jogging de foot. Je voyais tous les muscles de leurs cuisses se contracter et la formes de leurs entre jambe. Je me concentra pour ne pas bander quand la sonnerie retenti et me tira des mes pensées. Je sorti de la classe quand Mathis passa a coté de moi et murmura "PD" a mon oreille avant de rejoindre ses potes .

Une fois arrivé au stade le match se passa et Mathis me jetais des regards entre 2 arrêts, j'étais rouge de honte a chaque fois.

Le match pris fin, on avait gagné 2-1, tout le monde était content, je descendis féliciter mes potes quand Mathis me fit signe de s'approcher.

"_Suis moi et ferme ta gueule"

J'obéis et le suivit dans une salle, il était plus grand et plus musclé que moi, son corps était trempé de transpiration, il sentait une odeur forte et virile.

Il me fit rentrer dans une pièce qu'il ferma derrière lui.

"_Qu'est ce que tu ..."

Il me mis sa main, toujours vêtu de ses gants de gardien sur ma bouche

_Mmmmmmh

je sentais de la transpiration me rentrer dans la bouche je voulu enlever sa main de ma bouche quand il saisit mes poignets et me les bloqua au dessus de ma tête. Je ne pouvais plus bouger, il pouvait faire ce qu'il voulait de moi.

L'odeur forte de son gant emplit de transpiration me fit bander, j'essayait de me contrôler mais rien n'y faisait, il approcha sa tête de la mienne, je vis en détail ses lèvres et son duvet qu'il ne rasait pas. Il me lécha la joue et me murmura à l'oreille

_ Je savais que t'étais PD

je voulu répondre mais son genou vint se placer sur mon entrejambe, ce qui m'arracha un gémissement, il appuya encore plus sur mon intimité "mmmmmmh", ça faisait mal désormais, je me débattais en vain.

Il enleva enfin sa main de ma bouche

_Mathis, je ...

Je n'eut pas le temps de finir ma phrase qu'il m'embrassa sauvagement, je sentais ses lèvres salées entre les miennes, les poils dominant sa lèvre supérieure. Il voulut introduire sa langue dans la mienne mais je lui refusa l'accès en serrant un peu mes lèvres. Il me saisit alors les cheveux et me mordit la lèvre inferieure, ce qui m'ouvrit la bouche sur la surprise et la douleur. Il n'en fallait pas plus pour Mathis qui introduisit sa langue dans ma bouche. Nos 2 membres bougeaient ensemble, dansaient jusqu'à que Mathis me saisit ma bite et mes couilles entre ses mains.

_Tu bande bien ma salope

Je voulu répondre quand il me plaqua au sol et m'enleva mon t-shirt et mon short, il plaça son crampon sur ma gorge ce qui me coupa la respiration. J'avais une vue plongeante sur son short qui était clairement devenu trop petit pour lui. Il avait une bite énorme, ce qui me fit bander de plus belle.

Je me rendit compte que je manquait d'air, je me débattais mais je n'arriva pas a enlever le pied de Mathis sur ma gorge

Il sorti son téléphone et pris une vidéo, je me débattais encore plus, mais il appuya encore plus, ce qui me coupa la respiration. Je le vis s'approcher de mon entre jambe avec son téléphone.

-Si tu veux pas que je diffuse cette vidéo, tu vas devoir faire tout ce que veux.

Il relâcha son emprise, j'essayai de négocier mais rien n'y faisait.

-Bon allez tu me soule, je l'envoie dans le groupe de la classe

Je fus pris de panique

-Attend, je suis d'accord, je vais faire ce que tu veux

Mathis esquissa un sourire

-Alors dit que t'es ma salope.

J'hésita un moment, puis Mathis repris son téléphone pour me menacer.

-Non, arrêtes , c'est bon je vais le dire, je suis ta salope.

-C'est bien petit chien, à genoux maintenant. Ordonna t'il

J'obéis, puis il s'approcha de moi, son intimité bien visible à travers son short a quelques centimètres de ma bouche. D'un coup il me pris les cheveux et colla mon visage contre son short.

-Bouge pas ta compris salope

j'acquiesça la tête collée à sa bite.

Il enleva ses crampons, et me pris les cheveux une nouvelle fois, bien plus violement, ce qui m'arracha un gémissement. Il colla son crampon contre mon nez et l'attacha autour de ma tete. L'odeur de pieds était atroce .

Il me retourna et m'attacha les mains avec les lacets de son deuxieme crampons.

-Je dois allez voir mes potes sinon c'est bizzare mais je reviendrais, bouge pas ! dit il en rigolant.

-Oh attend j'allais oublié

Allongé contre le sol, ne sentant qu'un odeur de pieds, je le vis s'approcher et enlever ses chaussettes blanches devenus grises avec la sueur du match.

Il me redressa et m'enfonça une chaussette dans la bouche, je protesta en me débattant.

-Alors comme ça t'obéi pas, ok alors ma petite salope veut une punition

Je voulut m'excuser

-hmmmmm hmmmm

Mais rien n'y faisait , je n'avais qu'un gout de sueur et de pieds dans la bouche.

Il enleva sa deuxième chaussette et me l'attacha autour des jambes .

Il parti enfin, me laissant la, en caleçon , attaché et bayonné, ne pouvant respirer qu'une odeur de pieds...