Kitty trouble

Chapitre 20:

Les jours suivants le manoir Riddle fourmillait d'activité. Tom et Harry apprirent diverses choses sur les jumeaux, surtout ce qu'il ne fallait pas faire. La première chose qu'ils comprirent est que les jumeaux n'aimaient pas être séparés et qu'ils commençaient à crier s'ils n'étaient pas à moins de cinq pieds(1) l'un de l'autre. Cela abouti à la fusion magique des deux berceaux de sorte que les deux petits puissent dormir ensemble.

Ils eurent beaucoup de visites, en majorité des mangemorts qui voulaient voir les bébés. Ce qui permit au couple d'apprendre que leur progéniture n'aimait pas être entourée de trop de gens. Cet événement finie en vingt minutes de pleurs incessant, et chaque personne présente essaya de d'arrêter les sanglots des jumeaux de plusieurs façons, allant des grimaces aux jouets secoués devant leurs yeux (principalement des jouets aux couleurs de serpentard). Chacun dû finalement partir et les pleurs stoppèrent.

Aussi si l'un d'eux commençait à sangloter, l'autre s'y mettrait immédiatement même sans raison, seulement parce que l'autre le faisait. Riddle commençait à penser qu'ils le faisaient exprès.

Pendant les moments où les jumeaux étaient endormis, leurs parents se relaxaient et faisaient la sieste.

"Je ne pensais pas que ce serait si difficile," murmura le mage noir allongé sur le lit.

"Moi non plus," lui confia son amant étendu à ses côtés, ses oreilles aplati et sa queue reposant près de lui. Ils étaient épuisés. Ils n'avaient pas eu une nuit complète depuis des jours. Ils pouvaient se lever à n'importe quel moment à cause des petits. Toute pause était accueillie avec bonheur, même s'il ne dormait pas à chaque fois. "As-tu déjà ouvert la lettre qu'on à reçu?"

Le mage noir resta silencieux un instant, "je ne pense pas," il chercha dans sa poche et l'en sortie. Il la fixa d'un air lasse avant de l'ouvrir et dans sortir deux enveloppe séparées. "Celle-là est pour toi," dit-il en jetant la lettre sur le visage de son amant.

Harry souffla dessus, ce qui la fit se soulever mais pas se déplacer, "ça vient de qui?" demanda-t-il en s'en emparant pour la tenir devant lui.

"Je sais pas."

Potter l'ouvrit et la lue, "Oh. Ça vient de Ron et de Hermione."

"Humm?"

"Oui," il ricana, "Ils veulent plus de photos des jumeaux et les voir en chair et en os. Et ils disent aussi, je cite 'Par Merlin, quand Tom a-t-il décidé de mettre fin à la guerre?' Pas qu'ils se plaignent, tout le monde s'en réjouit."

"Je savais qu'ils le seraient," sortit son compagnon en survolant sa lettre.

"Elle vient de qui?"

"Dumbledore."

Le Survivant roula paresseusement jusqu'à ce qu'il rentre dans son amant et qu'il se serre contre lui, "Qu'est-ce qu'il dit?" demanda-t-il en posant son menton sur son bras.

"Le ministre et lui veulent me rencontrer pour parler de mes requêtes," répondit le serpentard en laissant tomber le morceau de papier sur le lit.

"C'est bien non?"

"Oui, très bien. J'espère juste que ça se passera correctement."

"Tu veux que je vienne avec toi?"

"Non. Je pense que se serait mieux pour toi que tu restes ici. Je ne pense pas que se serait utile à l'heure actuelle."

"Tu as raison," bâilla le plus jeune.

"Bien sûr." Le petit brun lui frappa le bras avec le dos de sa main. "Haw."

"J'espère que ça t'as fait mal," continua-t-il en roulant sur le dos.