Ce chemin à l'ombre des cerisiers en fleurs dégageait une ambiance particulière. Un sentiment de quiétude dérangeant pour ma venue en ce lieu.
Mon regard fixer sur le bout de l'aller, insensible à la beauté de ce paysage qu'il s'offre devant moi. Les pétales des fleurs de cerisier virevoltante dans la brise et venant s'échouer sur les pavés à mes pieds. Les rayons de soleil étincelant qui prece l'épait manteau de ces arbres centenaire réchauffe ma peau de leurs douce chaleur. Et rien de ce spectacle n'arrive à m'atteindre. Même ce décor Frédérique ne peut me faire détacher le regard du font de l'aller. Cette endroit est mon cauchemar, mon enfer personnel. Et mon regard fixe inlassablement le bout de l'aller. Comme un rappel constant de ce qui c'est passé et qui m'amène ici, en ce jour ensoleillé, dans cette endroit si souvent éviter et tant redouter.
Mes pieds avencent pas à pas même si mon esprit leur hurle de s'arrêter. Et à chaque pas de plus toute les cellules de mon corps ce déchire à l'idée de me retrouver au bout de l'aller.
Et me voilà en face de vous, plus misérable que jamais, de l'envie de vous revoir et les multiples tentatives de venir vous rejoindre sans succès.
Mais qui veillerai sur ceux que vous avez laissé si ce n'est pas moi ?
Ton nom sur cette pierre ne fait qu'empirer ce que mo corp me cri depuis cette instant.
Car tu le savais ? Tu t'en doutais non ?
Tu a déjà du y penser, que ta mort je la ressentirait physiquement. Et que dés l'instant où ton dernier souffle de vie ce serait échapper de ton corps, même en étant loin de toi... Je le ressentirait jusqu'au plus profond de mon âme ! Ce vide immense que tu aurais laissé en moi, y a tu déjà pensé comme moi j'y es pensé ?
Et que ma mort puisse t'atteindre de cette façon... Sa ma toujours été insupportable.
D'une certaine manière je préfère que les chose ce soit déroulé ainsi !
Car tu n'as pas à éprouver cette souffrance considérable. Cette douleur qui, s'en crier-gare, te réveille en pleine nuit à tant faire suffoquer et ne pouvoir reprendre ton souffle. Cette douleur omniprésente à t'en faire devenir complètement fou. Mais à la qu'elle tu t'accrocher désespérément...
...oui. Je suis heureuse que tu n'ai jamais à la ressentir !
Et me retrouver devant vous...
Devant toi... Ma main dans la sienne, est une souffrance tel que je prie chaque seconde que cela me tue.Mais toi comme moi, savont que...
Que le jour où je quitterais ce monde n'ai pas près d'arriver...Que le jour où je pourrais te revoir...
Me tenir à t'es cotés...N'arrivera jamais.
Alors je suis la, devant vos nom gravé dans la pierre, ma main dans la sienne. Ces doigts serant les miens dans une étreinte réconfortante, avec l'espoir qu'un jour peut-être je puisse éprouver pour lui ne serait-ce qu'une infime étincelle de l'amour que j'ai pour toi...
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recueil
Randomj'ai créer ce recueil pour partager les texte que j'ai écrit au lycée pendant des jeux d'écriture. et il est possible que j'y posterait d'autre texte que j'écrirait plus tard